Tiret

du droit de réponse c’est le fait qu’une personne mise en cause dans un moyen de communication peut exiger de faire connaitre son point de vue au public visé. Le droit au respect de la présomption d’innocence protège encore l’honneur par l’art 9 tiret 1 du code civil une personne poursuivie pénalement est présenté publiquement comme coupable avant condamnation elle peut demander l’insertion dans la publication concerné une rectification . Section 2 le respect de la vie privée Le droit au

une chronologieDes la remiere phrase le dramaturge s’attache à eviter une tmeporalite realiste (dans la modernite de l’ecrtiure) ça peut se passeLe brouillage de la temporalite est très moderneIl met entre deux tirets, comme si entre parentheses, l’information la plus importanteLes deux tirets seules les lecteurs peuvent les voir, le spectateur ne les verra pas mais c interessan de voir qu’une des info les plus importante de cette scene est presente comme un info secondaire alors que’lle nous apprend

désagréable « Nuit, la lune » Champ lexical de la nuit Création du motif du clair-obscur en référence aux peintres tels que Rembrandt, Fusili Tirets Ponctuation Montre l’hésitation du récit du rêve et aussi un retour au réel « J’ai vu, je raconte » Pronom personnel première personne Présent d’énonciation Nécessité d’un retour au réel. Ancre le poète dans le présent Tirets virgule 2 signes de ponctuation à la suite à plusieurs reprises Rythme haché, malaise, sensation d’égarement. La lune Métaphore pour

composante essentielle du spleen. Ce poème est composé de cinq quatrains à rimes croisées. Les quatre premiers quatrains forment une seule et même phrase avec une anaphore de « quand » et le dernier quatrain est une phrase indépendante séparée par un tiret marquant une rupture énonciative. Comment ce poème traduit-il, par son écriture l'état spleenétique et en particulier l'ennui qui en résulte ? Nous verrons, dans un premier temps, que le poème présente un décor marqué par la dégradation et la décomposition

| |La ponctuation |Présence d’une ponctuation |Pas de ponctuation particulière. |Pas de guillemets ou de tirets. | | |particulière : 2 points, |( Changement de pronoms + |( Pronoms et tps du récit | | |guillemets ou tirets |concordance des tps | | |L’effet |Il rend une scène proche et

les émotions pour convaincre. *Les procédés de la persuasion: 1er §: L'injection l2 « dieu me pardonne », les tirets l8: mise en valeur de l'État (sa définition) = subordonnée relative. 2ème §: ponctuation émotive au service du contraste entre « Ces États florissants » et « Utopia »: profonde admiration; question rhétorique l14-15 « car qui ne la sait? » 3ème §: tirets avec ironie grâce à l'antiphrase: « ce bienheureux argent » *L'organisation du « discours »: présentation en §:

lumière est circonscrite à la « lune », une « plaque en métal clair » et à l'œil « de lumière », difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non ») 2. Une promenade amoureuse qui dégénère - « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. - Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». - Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation

renforcé par une oxymore : un chant mystérieux et funèbre « enterré ». Le vers 6, lui, commence par un tiret, cela montre de nouveau une rupture. Le pronom neutre ça se rapporte à l’origine du chant, il introduit un dialogue : un personnage en interpelle un autre mais on ignore à la fois ceux identifiés et leurs rapports.Strophe 3 : Le vers 7 commence également par un tiret, c’est la réponse du dialogue. Le chant en question est celui d’un crapaud. La personne à laquelle a été désigné

pauvre » mis en fin de vers et accentué par un tiret montre bien la situation misérable de la jeune fille. Ce mouvement, le cœur de l'extrait, oppose la jeune fille et les autres femmes, séductrices. La jeune fille n'a a priori rien de séduisant, elle n'a rien. Ce mouvement introduit également une dimension plus visuelle et musicale, qui apporte une certaine véracité à ce passage introspectif. La typographie joue aussi un rôle visuel, par la présence de tirets. Le troisième mouvement se détache de

des fables est l'emploi fréquent de substituts du nom, d'adjectifs, de groupes nominaux, qui remplacent le nom. Le dialogue est très présent, c'est un discours rapporté, et dans la fable, le discours est rapporté directement, avec des guillemets ou tirets. Le discours direct est généralement annoncé par des verbes introducteurs de parole, comme par exemple avec « disant ». Quelques fois, il y a l'utilisation des propositions incises. Exemple : Le Torrent et la Rivière : Répétition du « ren » : image