Tite-Live

dix membres => les décemvirs (10 magistrats) élus et investis du pouvoir consulaire, sont chargés selon Tite-Live : «  de faire des lois afin de rendre pour tous, des plus grands aux plus petits , la liberté égale » . §2. Les Decemvirs et leurs œuvres. Ils reçoivent les pleins pouvoirs pour rédiger un code de loi. En 450 av JC, 10 tables de loi sont rédigées. On y trouve selon Tite-Live «  la source de tout le droit privé et public ». On élit en mai 450 av JC un nouveau collège de décemvirs

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Article du journal Vox Latina Lucius Junius Brutus (dignitas) Lucius Junius Brutus, fondateur légendaire de Rome à l’existence controversée Lucius Junius Brutus, fils d'une sœur de Tarquin le Superbe, craignant d'éprouver le même sort que son frère, qui avait été tué par son oncle, à cause de ses richesses et de sa prudence, fit semblant d’être idiot d’ou le surnom de Brutus (idiot en latin). Brutus et ses compagnons soulèvent la population qui vote pour l’abolition du pouvoir

Ancus Marcius: Ancus Marcius était le 4ème roi de Rome. Il était d’origine Sabine. Il eut à affronter les Latins qu’il battit, il les déporta au pied du mont Aventin qui fit, alors, parti de Rome. Ce fut un constructeur, on lui doit en particulier le pont SUBLICUS qui, le premier, franchis le Tibre. Une légende veut qu’il soit à l’origine du port d’OSTIE mais l’archéologie montre que cette création fut plus tardive. A sa mort, son fils n’étant pas en âge de régner, la couronne fut donnée à Tarquin

Traduction de « Sédition à Capoue » Extrait Tite-Live « Huius certaminis fortuna et Faliscos » à « Q. Servilio collega ad Urbem relicto » « Alors qu’ils faisaient une trêve, la chance de cette lutte força les Falisques à chercher à obtenir un traité au sénat et tourna les Latins qui déjà avaient rassemblé leurs troupes, de la guerre romaine à la guerre pélignienne. Ainsi la renommée de la chose accomplie ne se tint pas dans les limites de L’Italie mais les Carthaginois aussi envoyèrent les

Latin: Horace Corneille respecte assez fidèlement le récit de Tite-Live pour la succession des actions et au plan de narration : 1) Exposition de la situation : la guerre entre Rome et Albe Corneille : dans l’acte I scene 1, Julie et Sabine parle de la situation : « Mais aujourd’hui qu’il faut que l’une ou l’autre tombe […] aux vaincus » Tite-Live : dans le livre premier. « Le peuple romain […] hégémonie » 2) Le choix

gouverne d’elle-même, au lieu d’être soumise à un maître (que celui-ci soit un Etat étranger ou un tyran indigène) ; c’est la liberté au sens antique du mot : la collectivité est libre, non les individus. Dans Discours sur la première décade de Tite-Live, II, chapitre II (Quels furent les peuples que les romains eurent à combattre, et combien ils furent opiniâtres à défendre leur liberté), Machiavel se demande « Pour quelle raison les hommes d’à présent sont moins attachés à la liberté que ceux

Sertorius, tragédie. Corneille quitte Rouen pour Paris (7 octobre). 1663 : Sophonisbe, tragédie. Il reçoit une pension de Louis XIV. 1664 : Othon, tragédie. 1666 : A gésilas, tragédie. 1667 : Attila, tragédie, jouée par la troupe de Molière. 1670 : Tite et Bérénice, comédie héroïque, jouée huit jours après la Bérénice de Racine. Traduction de l’Office de la Sainte Vierge. 1671 : Psyché, tragédie-ballet, avec Molière, Quinault et Lulli. 1672 : Poème sur les Victoires du Roi en Hollande. Pulchérie

misent davantage sur le sentiment et apparaissent moins héroïques et plus humaines. La comparaison avec Racine tournera au désavantage de Corneille lorsque les deux auteurs produiront presque simultanément, sur le même sujet, Bérénice) (Racine) et Tite et Bérénice (Corneille). À la fin de sa vie, la situation de Corneille est telle que Boileau demande pour lui une pension royale qu'il obtient de Louis XIV. L’œuvre étendue et riche de Corneille a donné naissance à l’adjectif « cornélien » qui signifie

se ferme sous les applaudissements du public. Les spectateurs, émus, viennent d'assister à la Première de la tragédie du jeune Racine Bérénice; dans sa loge, Louis XIV verse quelques larmes…Le défi est réussi: Racine dépasse Corneille dont la pièce Tite et Bérénice n'obtiendra jamais le succès attendu. A partir, d'un sujet simple, de "presque rien" , le jeune dramaturge, passé maître dans l'art de la tragédie régulière, déploie tout son talent. S'inspirant de l'histoire antique, il met en scène l'empereur