Tocqueville De La Démocratie En Amérique

Larousse, 1991. (1ère éd. orig. 1980). Simon (Pierre-Jean), Histoire de la sociologie, Paris, Presses universitaires de France, 1991. Séance 3 : 7 octobre : Deux précurseurs : Tocqueville et Marx Texte n°2 : Tocqueville (Alexis de), « Influence de la démocratie sur les sentiments des américains », in De la démocratie en Amérique [1840], Tome 2, Folio Histoire, 2002, pp. 137-147. [Chapt. I, II, III]. Texte n°3 : Marx (Karl) et Engels (Friedrich), « Bourgeois et prolétaires » in Manifeste du parti communiste

Il y a deux catégories d'auteurs : les inspirateurs et les précurseurs anciens : Aristote (IVe siècle avant JC) et Machiavel (1469-1527). les inspirateurs et précurseurs modernes : Montesquieu (1689-1755), Tocqueville (1805-1859) et Marx (1818-1883). Ces auteurs sont tout d'abord des philosophes, qui ont abordé les questions politiques avant beaucoup de monde. Pendant de très nombreux siècles, le monde des idées dominait le monde des faits. La pensée, y compris

Schumpeter et l’autre théorie de la démocratie Gilles Paquet Faculté d’Administration Université d’Ottawa 1. Introduction 2. Démocratie: substance et forme 3. La démocratie en tant que méthode 4. Tests 5. Conclusion Texte présenté au Colloque SCHUMPETER organisé par le Groupe de recherche et d’étude sur les transformations sociales et économiques [GRETSE] et l’Association d’économie politique [AEP] à l’Université de Montréal le 26 janvier 1990. Les commentaires de Claude Galipeau et de

Sensibilisation La démocratie, au sens étymologique, c’est le peuple (demos) qui commande (kratein). Elle naît au Vème à Athènes, sous une forme directe : les 40 000 citoyens d’Athènes égaux et libre (ce qui exclut les femmes et les esclaves) sont appelés à voter les grandes décisions qui concernent la cité. Au cours des siècles, la démocratie prend des formes différentes (démocratie représentative) et elle évolue dans son contenu (de la démocratie libérale à la démocratie sociale.) Au XXème siècle

Qu'est-ce que, au juste, une démocratie ? Si l'on se réfère tour à tour à l'étymologie du mot et aux multiples régimes qui se sont réclamés d'elle, de l'Antiquité à nos jours, la démocratie se révèle être une idée simple et... un problème. Une idée simple d'abord : la démocratie est en effet ni plus ni moins que le pouvoir direct (krátos, en grec) par et pour le peuple (le démos). Un problème, ensuite, parce que cette idée simple est, en fait, difficilement applicable dans la réalité, y compris

………………………………………………….6 8.1. La démocratie comme régime politique ……………………….6 8.1.1. Étymologie …………………………………………..6 8.1.2. Principes ……………………………………………..6 8.1.3. Typologie ……………………………………………7 8.1.3.1. Démocratie directe ………………………..7 8.1.3.2. Démocratie représentative ………………...8 8.1.3.3. Démocratie semi-directe …………………..8 8.1.3.4. Démocratie participative …………………..8

Synthèse de la 1ère partie Cette synthèse a été réalisée à partir des deux ouvrages suivants (surtout les passages consacrés à l’analyse de la pensée des auteurs) : Aron R., 1967, Les étapes de la pensée sociologique. Montesquieu. Comte. Marx. Tocqueville. Durkheim. Pareto. Weber, Paris, Editions Gallimard. Delas J.-P. et Milly B., 2005, Histoire des pensées sociologiques, Paris, Armand Colin. Introduction Les sciences sociales (dont la sociologie) sont bien souvent considérées comme le produit

au sein de celui-ci, nous verrons qu'en effet, le pouvoir des juges est renforcé en comparaison notre mode de fonctionnement en France, ce qui pourrait laisser croire à un «gouvernement des juges» que l'on pourrait considéré comme contraire à la démocratie. Mais nous conclurons tout de même en rappelant qu'un fort pouvoir judiciaire présente des avantages certains, tant que celui-ci ne détient pas le pouvoir absolu, comme c'est le cas aux États-Unis. I/ Le système judiciaire étasunien... A/

la souveraineté est « divisée » ou « répartie » (F. Rouvillois, Droit constitutionnel. 1. Fondements et pratiques, Paris, Flammarion, coll. Champs Université, 2e éd., 2005, p. 64). Pour Tocqueville, la « division de la souveraineté » est également la caractéristique de la fédération (De la démocratie en Amérique, Livre I, première partie, chapitre 9, « Eloge du fédéralisme », Paris, ed. 10/18, 1963, p.88-105). Caractéristiques de l’Etat fédéral : - la répartition des compétences entre l’Etat

position. Il va alors reformuler la problématique utilitariste. Les utilitaristes pensent la société comme fonctionnant grâce aux intérêts et à un certain type de représentation du peuple (par les élites). Il va la déplacer en amenant l’idée que la démocratie représentative a une fonction éducative et non pas seulement régulatrice. Il va ainsi formuler le problème dont il va traiter au cours du reste de son œuvre qui est celui de la conciliation « des avantages qui découlent du jugement indépendant d’un