Tocqueville De La Démocratie En Amérique

les angoisses des hommes ? Tocqueville, dans son extrait de De la démocratie en Amérique, nous propose une confrontation entre religion et politique . En effet, il prétend que l’homme ne peut assumer son indépendance religieuse et une liberté politique . Cette affirmation nous confronte à une question : ne pourrait on donc pas être un homme politique tout en étant croyant ? Tocqueville fait une comparaison entre deux « peuples » , celui qui se base sur la démocratie et celui qui se base sur la

Problématique: La démocratie telle que nous la définissons peut elle être appliquée de manière parfaite? I. Les fondements du régime démocratique. A. De la démocratie directe à la démocratie représentative 1) L' héritage antique La démocratie est née dans les cités grecques. Elle repose sur le pouvoir des citoyens. Elle est dite limitée car le nombre des citoyens est très réduit (un dixième de la population à Athènes): en effet, ni les métèques (étrangers ) , ni les femmes considérées comme

de 1789 proclame la souveraineté nationale que le marxisme pourchassera en vain de toutes ses forces. En effet, à l’opposé de la souveraineté populaire (Rousseau), qui accorde une place importante au peuple dans la gestion des affaires publiques (démocratie directe, mandat impératif, voir même élection aux fonctions publiques dans le cas du marxisme), la souveraineté nationale essaie de tenir le peuple à distance. Selon cette conception, la souveraineté qui appartient à la Nation, n’appartient à personne

tyrannise point, il gêne, il comprime, il énerve, il éteint, il hébète[3], et il réduit enfin chaque nation à n'être plus qu'un troupeau d'animaux timides et industrieux, dont le gouvernement est le berger. » Alexis de Tocqueville (1805 – 1859), De la démocratie en Amérique (1835 – 1840), Volume II (1840), Quatrième partie «  De l’influence qu’exercent les idées et les sentiments démocratiques sur la société politique », Chapitre VI « Quelle espèce de despotisme les nations démocratiques ont à

entre les citoyens. Pour lui l’intérêt particulier est contraire à la recherche de l’intérêt général donc chacun doit renoncer à tous ses droits naturels pour obtenir la liberté civile que procure la société. Il fait reposer sur ce pacte social la démocratie. Dans son livre 2 il définit ce que doit être une loi, « Quand tout le peuple statue sur tout le peuple, […] c’est cet acte que j’appelle une loi. » 1774 = mort de Louis 15 et arrivée de Louis 16, son petit-fils HISTOIRE CONTEMPORAINE Commence

cher que les avant-dernières) Gains de productivité peu probables pour des postes peu qualifiés Une très grande spécialisation implique une organisation très rigide et parfois contre-productive (cf. limites du taylorisme, vues en T.C.) Pour Tocqueville, c'est la dégradation du sort des plus défavorisés et la perpétuation d'une forme renouvelée de l'aristocratie, devenue à ses yeux la plus dure qui ait paru sur la terre envers les ouvriers. Pour Marglin, une meilleure habileté ne vient que

simplement un moyen de reprendre l’intitulé du sujet dans l’introduction] Le besoin de constitution, entendue comme texte suprême régissant l’organisation politique de l’État, apparaît au XVIIIe siècle : les troubles politiques, en Europe comme en Amérique, débouchent alors sur la rédaction de constitutions – la constitution américaine est ainsi discutée en 1787, la première constitution française étant promulguée en 1791 à l’issue des deux premières années de la Révolution. L’objectif de ces constitutions

soumis aux lois, puisqu’elles ne sont que des registres de nos volontés ». Il faut donc constater le statut très particulier de l’acte législatif. Pour Rousseau, il n’est pas possible de mettre en place une démocratie directe, sous la forme Athénienne. Il faut donc mettre en œuvre une démocratie représentative, qui est le moins mauvais des systèmes. Cette idée se renforce par l’idée que dégager l’intérêt général est un travail complexe, qui par définition impose l’existence d’un législateur :

système totalitaire aux caractéristiques de la croyance religieuse, car si le totalitarisme est une crise de notre démocratie moderne, il est toutefois fondé sur une « croyance de masse ». Le régime totalitaire est il alors un art de gouverner reposant sur les bases de la relation qu'entretient l'homme avec le surnaturel ? Est-il seulement le despotisme né des failles de la démocratie ou bien une forme de religion nouvelle ? Pour répondre à ces interrogations, nous envisagerons successivement les

est bon alors de les confronter à celle d’un penseur libérale : Tocqueville : aristocrate mandaté par le gouvernement Louis Philippe, envoie Tocqueville pour observer la démocratie en Amérique en commençant par l’observation du système carcérale. «  De la démocratie en Amérique ». On le qualifie de libérale, et il est favorable à une monarchie constitutionnelle, au suffrage universelle à condition qu’on éduque les masses. Tocqueville fait allusion a des épingles, c’est un exemple pris a Adam Smith