Toi Mon Semblable

2. L’analphabétisme d’Hanna : excuse ou explication? À travers l’histoire d’Hanna, l’auteur tente de comprendre le parcours d’un nazi ou comment un homme – une femme – en vient à accepter comme travail une participation à l’extermination de ses semblables. L’analphabétisme apparaît ici comme clé à cette compréhension : s’agit-il d’une excuse? d’une explication? d’une façon de contourner la vraie question morale? L’attitude d’Hanna lors de son procès de même que ses lectures en prison montrent bien

se lèvera pas demain, car rien d'impossible à l'une ou l'autre des solutions ne peut être avancé. Il s'agit alors pour Hume d'expliquer la nature d'une telle relation, car il n'est pas moins vrai que "de causes qui paraissent semblables, nous attendons des effets semblables" (EEH, p. 96). b. Le principe d'accoutumance (ou d'habitude). Pour Hume, si l'imagination est libre dans son pouvoir de composition des idées, elle ne l'est pas dans la croyance en ces mêmes idées. Ainsi, on peut imaginer

glorifiée et on imagine un beau paysage agréable. La femme est comparée à une charogne : « Et pourtant vous serez semblable à cette ordure/A cette horrible infection »(v37 et v38). Le poète veut nous montrer que la beauté est éphémère, ne dure que le temps d'une vie, et on sent qu'il a une envie de vengeance envers la femme qui elle, sera réduite à être enterrée et semblable à la charogne, alors que son poème à lui restera et sera immortel : « vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses/Moisir

l’assassin : Ma femme est morte, je suis libre ! Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu'un roi je suis heureux ; L'air est pur, le ciel admirable... Nous avions un été semblable Lorsque j'en devins amoureux ! L'horrible soif qui me déchire Aurait besoin pour s'assouvir D'autant de vin qu'en peut tenir Son tombeau ; - ce n'est pas peu dire : Je l'ai jetée au fond d'un puits, Et j'ai même poussé sur elle Tous les

se trouve « ici », instaure « un ailleurs » qui n’est pas géographique mais ressenti et subjectif, poétique et existentiel. Cette "étrangéité" se confirme dans une certaine dualité, alors même qu’il a « un nom » qu’il est « là parmi » ses semblables, qu’il est identifiable il est dépossédé de son identité, de sa subjectivité par la personnification successive de ses « souliers » qui « vont sur le goudron », de sa « bouche » qui « parle », de ses « ses yeux » qui « voient » de ses « mains

l’aspect d’une litanie, lassante, qui suggère la constante reprise des mêmes actions et des mêmes situations • Composé de vers irréguliers, le poème est construit sur une énumération d’actions, chacune étant exprimée par un vers d’une structure semblable : - sujet (« la mère », « le fils », « elle », « il », « le père ») - verbe - Cod 2/ Le temps des verbes • L’emploi presque constant du présent ne permet pas de situer le texte dans une temporalité précise. • La valeur du présent ci peut laisser

Tuniso-Suisse C'est toute une révolution dans cette école primaire. Belle image Tous les gens sont à la fois différents et semblables. C’est l’aspect qui diffère et varie (les habitudes, la couleur, la culture, la race…) Mais nous sommes tous semblables : des êtres humains égaux devant la loi, on a le droit à penser, de croire et de s’exprimer… La presse écrite Le journal communique les informations aux autres. C’est un moyen important

les répétitions de mots comme « songe » répété aux vers 1, 2, 3, 4 ou « ombrage » répété aux vers 5, 6, 7, 8 créent un certain martèlement et renforcent donc cette idée. Par ailleurs, l’utilisation d’adjectifs synonymes : « comparable » (V.3) et « semblable » (V.7) qui annoncent la comparaison avec la vie nous démontre une fois de plus la théorie des phénomènes redondants. De plus, l’emploi du champ lexical du mouvement : « vagabond »(v.2), « passager »(v.4), « remuant »(v.6), « peu stable »(v.6), « tremblant »(v

les deux œuvres, ainsi que les Essais de Montaigne qui étaient également une autobiographie. et dont l'exécution n'aura point d'imitateur : vanité, prétention. Je veux montrer à mes semblables un homme dans toute la vérité de la nature : récurrence du « je ». « montrer » > donner en exemple. « semblables » > tous les hommes. « vérité de la nature » > soucis de vérité, principe rousseauiste, principe des Lumières (l’homme naît bon et pur, il est perverti par la société). et cet homme, ce

(amour de soi ≠ égoïsme) La pitié (=empathie) C’est une passion naturelle qui inspire une répugnance naturelle de voir périr ou souffrir tout être sensible et surtout nos semblables. la pitié est un frein à l’amour de soi et on se base sur elle pour bâtir la morale L’homme ressent de la pitié pour son semblable car il s’identifie spontanément à sa souffrance aucune réflexion n’est faite, si on utilise la raison, alors c’est est un frein à la pitié. Ainsi, à mesure que l’amour-propre