Tolstoi

une note positive ou négative, selon le message que l'auteur cherche à faire passer et le genre de son roman. Dans ce corpus de cinq documents, qui s'étend sur près d'un siècle -de Manon Lescaut,, écrit en 1733 par l'Abbé Prévost, à l'œuvre de Tolstoï, Anna Karénine, parut en 1878- les auteurs ont tous choisis la mort de leur héroïne pour terminer leur récit. Cependant, certains d'entre eux ont donné une fin plutôt positive et emplie d'espoir à leur protagoniste, tandis que d'autres les ont plongées

chiffres ou images sans importance, comme des idées ou des expériences personnelles, des approches du monde et des critiques auxquelles on n’aurait jamais eu accès dans le cas contraire. Ma première vraie lecture fut celle de « Guerre et Paix »  de Léon Tolstoï et cela me fascina. Certains de mes camarades préfèrent s’occuper la tête et l’esprit avec des lectures plus légères avec par exemple « La Vie parisienne », une presse illustrée, mais je ressens de plus en plus un besoin vital de comprendre, d’avoir

FICHE DE LECTURE Référence de l’ouvrage : Titre : LA MORT D’IVAN ILITCH (Nouvelle écrite en 1886) Auteur : Léon TOLSTOÏ (1828 – 1910) Edition : Librio Nombre de page : 94 Traduction : Nouvelle traduction du Russe par Jacques IMBERT LA MORT D’IVAN ILITCH Biographie : Léon Tolstoï naît au sein d'une ancienne famille appartenant à la noblesse russe. Il perd ses parents très tôt et est élevé par une tante. Son parcours universitaire n'est pas formidable mais il s'intéresse à la littérature

principaux du roman : la musique (soprano et accompagnateur) et l'inégalité des richesses. Nous passerons ensuite à la présentation des personnages principaux de l'histoire. Le chapitre suivant est composé de la présentation des artistes dans l'oeuvre (Tolstoi et Beethoven). Ce dossier documentaire sera cloturé par la présentation d'une sonate de Beethoven et une conclusion. Sans plus attendre, je vous invite à vous plonger dans un autre monde, celle de la musique. L’accompagnatrice, de Nina Berberova (Actes

l’hebdomadaire An-Nahar International, ancien rédacteur en chef de Jeune Afrique, il consacre aujourd’hui l’essentiel de son temps à l’écriture de ses livres. L'auteur se dit influencé, entre autres, par les œuvres de Thomas Mann, Albert Camus, Léon Tolstoï, Marguerite Yourcenar, Charles Dickens, Stefan Zweig, ainsi que par Omar Khayyam et la poésie de langue arabe. Les romans de Amin Maalouf sont marqués par ses expériences de la guerre civile et de l’immigration. Ils sont caractérisés (entre autres)

pour sauver à Emma. L'auteur vise à punir Emma à cause de la vie qu'elle a eut, et toutes les mauvaises attitudes et actes qu'elle a réalisé. Nous pouvons établir une relation entre l’œuvre de Flaubert et la fameuse œuvre de l’auteur russe Léon Tolstoï : « Anna Karénine ». Dans les deux ouvres le personnage principal est une femme (Emma et Ana). Ces deux personnages terminent en se suicidant, car elles ne sont pas fières de leur vie. L'intentionnalité des autres, est-elle aussi commune : réaliser

  de  donner  à  la  langue  russe  ses  lettres  de  noblesse.   Les   auteurs   russes,   les   musiciens   russes…   lui   emboitèrent   le   pas  :   Gogol,   Dostoïevski,   Tolstoï,  Tourgueniev,  Tchekhov,  Boulgakov…    Ils   sont   influencés   par   la   littérature   réaliste   française  :   Zola,   Maupassant…   avec   une   sentiment  religieux  renforcé.

bonheur est explorée dans de nombreux récits littéraires et pose quelques questions : est-ce une entreprise atteignable ? Est-ce une illusion ? Dépend-t-elle de l’individu ? Est-elle une quête intéressante ? Au début de son roman, Anna Karénine, Léon Tolstoï écrit « Les familles heureuses se ressemblent toutes seul le malheur les distinguent », il semblerait effectivement que les auteurs se soit plus souvent penchés sur des destins tragiques. Alors pourquoi le bonheur semble-t-il être une quête constante 

littéraire. Et cela ne va naturellement pas de soi. L’approche de Dominique Rabaté est à mi-chemin entre la littérature et la philosophie. Il se sert d’exemples à la fois issus de la sphère littéraire (et notamment de La Mort d’Ivan Ilitch de Léon Tolstoï et Voyage au Phare de Virginia Woolf) mais il renforce également son propos à l’aide de nombreux exemples, comme autant de béquilles, issus du monde de la philosophie (Walter Benjamin, Georg Lukàcs ou encore Paul Ricoeur pour n’en citer que trois)

l’imitation : il est tenu par une réalité existante ou ayant existé. C’est le cas dans le roman de Marcel Proust, Le Temps Retrouvé, dans lequel l’auteur se met en scène pour transposer l’expérience de sa vie. Il en est de même pour Guerre et Paix de Léon TOLSTOÏ : même si la trame de fond du roman est inventée, la description historique faite par l’auteur correspond au réel, Campagne de Russie menée par Napoléon. Nous retrouvons aussi cette « photocopie » de la réalité dans les romans qui font la satire