Tombé sur la tête

retrouver... Et pour mener à bien cette mission Jean-Pierre loue une voiture et les services d’une guide dont il tombe amoureux, au point d’en oublier son ex-femme. Dans cette histoire on ne sait plus très bien qui espère réinsérer qui?... Jean-Pierre se retrouve alors qu’il doit en fait s’occuper d’Aziz. Il se met en tête, lui l’écrivain raté, d’écrire l’histoire d’Aziz. Il tombe malade puis délire et ensuite meurt. Juste avant de mourir il fait la paix avec lui-même et se revoit dans la forge

la colline en flamme, De peine, de sueur et de soleil cuisant Pour engendrer ma vie et pour me donner l'âme ; Mais je ne serai point ingrat ni malfaisant, « Car j'éprouve une joie immense quand je tombe Dans le gosier d'un homme usé par ses travaux, Et sa chaude poitrine est une douce tombe Où je me plais bien mieux que dans mes froids caveaux. « Entends-tu retentir les refrains des dimanches Et l'espoir qui gazouille en mon sein palpitant ? Les coudes sur la table et retroussant tes

sa mort. La fin de la pièce se termine par une série d’ « effets spéciaux » tels qu’on pouvait les utiliser à l’époque. Le tonnerre gronde et la terre s’ouvre. « (Le tonnerre tombe avec un grand bruit et de grands éclairs sur D. Juan, la terre s'ouvre et l'abîme et il sort de grands feux de l'endroit où il est tombé.) » La fin de Dom Juan présente une véritable scène digne de l’Apocalypse. La dernière exclamation de Dom Juan montre peut-être que le Ciel a eu enfin raison du libertin. Il a

de plus, perce le jeu de sa fille, Dans son désir de la détromper au sujet de M. de Nemours, elle éveille en fait sa jalousie. Mme de Clèves découvre en elle-même un sentiment nouveau, l’amour, et son mari n’en est pas l’objet. Mme de Chartres tombe malade. M. de Nemours, par tous les moyens, cherche à revoir la princesse, laquelle ne peut s’empêcher d’être charmée de sa vue. Mourante, Mme de Chartres adresse à sa fille des recommandations solennelles : elle a deviné sa passion, et l’adjure de

curiosité» (l.4). Le lieu est lui aussi des plus banal: «jusqu'à l'hôtellerie» (l.3), «à Amiens» (l.14), «seule dans la cour» (l.5). Grâce à la périphrase «maîtresse de mon cœur» (l.12) le lecteur peut se rendre compte qu'à la vue de Manon, Des Grieux tombe instantanément amoureux, et qu'il n'est plus maître de lui même. La présence des adverbes ; «aussitôt » (l.4) ; « tout d'un coup » (l.10), « déjà »(l.16) (l.20), et du verbe « s'empressait » (l.6), donne un effet de vitesse à la naissance de ses sentiments

l'aveu de la "généreuse imposture" dont Cyrano ne peut plus garder le secret car il est sur le point de mourir a cause d'un assassinat malsain et organisé. Edmond Rostand fait de cette fin un aveu amoureux à la fois urgent et pudique où tout les masque tombe pour que la vérité éclate au grand jours même si Cyrano n'a pas le temps de profité de la libération de son esprit. Cette scène est autrement symbolique et ses thème ont des valeurs tragique et pathétique car la fin est marqué par la mort, la nuit

complots d'une injuste famille, Son amante aujourd'hui me tienne lieu de fille ! Acte V Scène IV - La reine, Ruy Blas. Ruy Blas fait quelques pas en chancelant vers la reine immobile et glacée, puis il tombe à deux genoux, l'œil fixé à terre, comme s'il n'osait lever les yeux jusqu'à elle. Ruy Blas, d'une voix grave et basse. Maintenant, madame, il faut que je vous dise. – Je n'approcherai

n'est pas une excuse!» Mais la maison n'est plus une demeure c'est l'absence et le silence. Sur un pan de mur le portrait du dictateur est intact les mouches y déposent leurs chiures. Les arbres calcinés tiennent debout. Quand le vent les secoue, il tombe des oiseaux desséchés. Aucune main d'enfant ne les ramasse. Couverts de poussière, ils roulent avec les ronces. C'est cela le désert Une douleur ramenée en ville ou dans un village de la montagne. Il vient de ce territoire une pluie ocre et un vent

travaillait avant l'aurore, Peut s'en aller avant le soir. A vingt ans, deuil et solitude ! Mes yeux, baissés vers le gazon, Perdirent la douce habitude De voir ma mère à la maison. Elle nous quitta pour la tombe ; Et vous savez bien qu'aujourd'hui Je cherche, en cette nuit qui tombe, Un autre ange qui s'est enfui ! Vous savez que je désespère, Que ma force en vain se défend, Et que je souffre comme père, Moi qui souffris tant comme enfant ! Mon œuvre n'est pas terminée, Dites-vous

début Frère s’énerve: il ne sait pas où poser les mains, il pousse de longs soupires, il baisse les yeux, sa voix est un peu saccadée. Le garçon éprouve des difficultés de commencer, de trouver les mots, car il y a trop d’émotions et de pensées dans la tête qui s'embrouillent. Mais grâce à la promesse de Soeur de garder le silence, il arrive à se concentrer. Dès qu’il a pu surmonter son incertitude, les paroles viennent eux-mêmes, librement, comme si le discours a été préparé d’avance. En écoutant ce