Tomographie

 V) La perception visuelle 1-Grâce aux techniques de tomographie par émission de positons( TEP) et d’imagerie par résonnance ( IRM ), on peut observer les variations du débit sanguin. Or plus le nombre de cellules nerveuses est en action, est élevé, plus le débit sanguin est important. On peut donc surveiller l’activité du cerveau et localiser avec une grande précision les aires du cerveau activées lors d’une tâche précise. 2-L’étude des cas cliniques permet de localiser

tissus cérébraux. Des vaccins sont actuellement testés chez l’homme. Ils sont porteurs de nombreux espoirs. Les avancées technologiques et le dépistage précoce L’imagerie cérébrale a aussi énormément progressé. IRM, scanner et PET scan (tomographie  par émission de positrons) font avancer quotidiennement la compréhension du cerveau, de son activité et de la maladie. Les évolutions de l’imagerie médicale sont une source de progrès notamment pour la prévention de la maladie et le diagnostic

gigantocellulaire dans 0,4 % des cas [2]. En outre, Blockmans signale chez 56 % des patients présentant une MH ou une pseudopolyarthrite rhizomélique (PPR), une fixation du 18-F glucose au niveau de l’arche aortique thoracique, étudiés par tomographie par émission de positons (PET scan) [3]. Les atteintes extracrâniennes sont découvertes le plus souvent à la faveur de la décroissance de la corticothérapie. Elles ne sont révélatrices de la MH que dans 6 % des cas dans la série d’Evans [4]

masse et leur vitesse ?) la science ne peut vraiment objectiver l’esprit ou prouver que l’esprit est matériel et n’est que le nom que nous donnons à des phénomènes dotés pour nous (humains) d’importance. Cf. techniques d’imagerie cérébrale (tomographie à émission de positrons) : elles peuvent nous faire voir (donc localiser) la zone du cerveau mise en branle quand nous pensons, faisons des calculs logiques, jouons d’un instrument de musique, etc. Mais pas ce à quoi nous pensons, et surtout, ce

nécessitant des opérations parfois longues et complexes. Il existe aujourd'hui plusieurs méthodes d'imagerie médicale, dont les plus répandues sont : Les rayons X, l'imagerie par résonance magnétique (IRM), tomographie par ordinateur (CT scan) , médecine nucléaire, ultrasons, échographie, tomographie par émission de positrons (PET scan) … Bien que toutes ces méthodes se distinguent par le fonctionnement et leurs capacités d'imagerie, elles ont toutes un point en commun: elles produisent des images de

D’ANATOMIE CLINIQUE CRANIO-CERVICO-FACIALE PRESENTE ET SOUTENU LE SEPTEMBRE 2007 PAR Jean-Nicolas Mazilu Dirigé par Monsieur le Professeur Jean-François Gaudy P L A N I- Introduction II-Tomographie numérisée A- Généralités B- Tomographie numérisée et coefficient d’atténuation 1- Introduction 2- Fiabilité des coefficients d’atténuation 2.1- Aspect polychromatique du faisceau de rayons X 2.2- Dispersion

correctes et de leur latence. B/ L’étude de l’activité corticale peut se faire par différentes techniques : - l’EEG (électroencéphalogramme) permet de suivre le décours temporel des phénomènes étudiés sur des zones réduites, - la TEP (tomographie par émission de positrons), injection de glucose radioactif => rayons gamma : montrent le cerveau en activité. - l’IRM (imagerie par résonance magnétique) permet de localiser les phénomènes sur une image détaillée des tissus mous du cerveau.

. . . . . . . . . . . 1.1.2.1 Imagerie et détermination des volumes à irradier (volumes cibles) 1.1.2.1.1 Le scanner . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2.1.2 Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) . . . . . . . 1.1.2.1.3 La Tomographie par émission de positons (TEP) . . . . 1.1.2.1.4 L’echographie (les ultrasons) . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2.1.5 Définition des volumes cibles . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.2.2 Evolution et optimisation des techniques de traitement . .

cerveau. L'IRM f repose sur le fait que lorsqu'une zone est activée dans le cerveau, un flux d'hémoglobine se déplace vers cette zone. On peut donc observer de cette façon les modifications de débit sanguin liés à l'activité cérébrale. La TEP (tomographie par émission de positons) ou Pet Scan, la scintigraphie cérébrale sont deux des techniques fonctionnelles encore utilisées aujourd'hui. L'activité cérébrale reposant sur des phénomènes électriques, on peut aussi pour l'étudier en mesurer l'activité

circulatoire, inflammatoire ou cancéreuse. Ces produits ont des durées de demi-vie de 6 à 73 heures et sont livrés aux hôpitaux par l’industrie radiopharmaceutique sur une base bihebdomadaire. Depuis le milieu des années 80, une technique proche, la Tomographie par Emission de Positrons ou « TEP », s’est largement implantée dans les grandes institutions de recherche médicale. La spécificité des caméras TEP 2 réside dans leur aptitude à localiser des sources d’émetteurs de positrons. Leur résolution et