Tony Blair

Féin et les unionistes. Ces parties ont toutefois renoncé officiellement à la violence avec l’accord de paix signé en avril 1998 et qui a été ratifié par un référendum en Ulster et en Eire. C’est l’accord du vendredi saint, réalisé sous l’égide de Tony Blair. Le point essentiel est le renoncement à la violence. Le clivage sur la question anglaise se superpose au clivage religieux entre catholiques et protestants. L’adhésion de l’Eire en 1973 va produire un boom économique dans un pays caractérisé

vice-président Tony Parker . Mais ce n'est pas le seul car d'autres stars ,notamment françaises ,reviennent dans leur patrie tels que Nicolas Batum (de Portland vers SLUC Nancy) , Rony Turiaf (de New York Knicks vers l'ASVEL) , Boris Diaw (de Charlotte Bobcats vers JSA Bordeaux) et bien d'autres. Le Lock-Out ne profite pas qu'aux clubs européens . En effet , certains joueurs ont décidé de signer des piges de luxe en Chine , en Turquie ou en Russie . L'ASVEL profite du lock-out pour faire signer Tony Parker

professionnelle leur permettant de rembourser progressivement leurs études. Expérimentation à grande échelle et réussie dans d'autres pays, notamment l'Australie et la Nouvelle-Zélande, à condition d'encadrer le dispositif pour ne pas décourager les familles. Tony Blair s'en est inspiré pour sa réforme des universités de 2004 : frais de scolarité variables d'une filière à l'autre, et à paiement différé, en fonction des revenus du diplômé. La lutte contre l'échec dans le secondaire et à l'université Les échecs prématurés

unioniste Fédéralistes Fonctionnalistes - Partisan d'une Europe des étatsmembres - Principe d'intergouvernementalité - Les états restent souverain et décident ensemble - Courant symboliser par Charles de Gaulle, Margaret Tatcher ou Tony Blair - Partisan d'une échelle supranationales - Partisan d'institutions qui dépassent le cadre des étatsnations. - C'est un idéal, pour les fédéralistes, l'état-nation a vécu avec l'accélération de la mondialisation - Cette approche = portée

s’aggrave donc dans une première période elle est face à une récession particulièrement forte avec une reprise de la croissance ensuite mais a nouveau une crise. Ce qui est sur néanmoins c’est dans la fin des années 90’s sous le gouvernement de Tony Blair que la grande Bretagne voit une augmentation économique forte du au tournant thatchérien. b. Aux USA : les présidences Reagan (1981/89)(Discours d’investiture). Profondément anti communiste. Acteur mais longue expérience politique

celle-ci : on dit qu’il est me garant de la constitution. Le chef de l’exécutif, en Grande-Bretagne, comme nous l’avons souligné précédemment est le Premier Ministre (actuellement c’est M. Gordon Brown, leader du parti travailliste, qui a succédé à Tony Blair). Les pouvoirs du Premier Ministre sont considérables, à tel point qu’il est parfois qualifié de véritable monarque, exerçant une sorte de « dictature » au sein d’un régime démocratique. Son autorité sur le gouvernement est sans limite : fort

primo-ministériel Fédéralisme Etat unitaire Pouvoir législatif Parlement bicaméral : chambre des communes élue au scrutin uninominal majoritaire à un tour (« First past the post ») pour 5 ans + chambre des Lords dont le pouvoir est de plus en plus faible (Tony Blair – réforme en 1999) Pouvoir exécutif Le monarque est le chef de l’Etat (SAR Elizabeth II), le Prime Minister (David Cameron) est nommé par celui-ci à la tête du gouvernement (c’est le chef du parti majoritaire au législative) Initiative législative

répercussions sérieuses et durables. Si les désaccords initiaux sont exacerbés par des malentendus – et certaines frictions personnelles- l’aggravation de la situation semble plus délibérée et orchestrée à la fois par Washington et Paris. A l’Ouest Tony Blair et José Maria Aznar, le 1er ministre espagnol n’apprécient guerre l’attitude teintée de condescendance de J. Chirac. Silvio Berlusconi, qui se sent mis au ban de l’Europe, se rapproche de Bush. En soutenant les USA, il contribue à empêcher que

lobbies ethniques, des think tanks et des médias par rapport à la politique américaine. Forces et faiblesses de la puissance américaine : Que l’on qualifie le monde d’unipolaire ou de multipolaire, suivant la controverse qui a opposé en 2003 Tony Blair à Jacques Chirac, la puissance américaine est écrasante mais elle doit composer avec d’autres forces. Les Etats-Unis n’ont pas les moyens de devenir un ‘’empire’’ universel. La puissance militaire est le premier facteur de l’hégémonie américaine

sommet du sommet du G8 en 2005. Il y a eu d'autres conséquences : Ils ont failli faire passer le projet d'une taxation de certains capitaux au parlement européenn. Ce projet a été repoussé dès avant la première lecture sous les pressions de Tony Blair sur les députés travaillistes anglais. Le rejet du référendum sur la Constitution européenne en France est en partie dû aux critiques altermondialistes, mais plus généralement des partis et mouvements politiques non-gouvernementaux. Ce résultat