Tori et uke

ou sur une épaule et le haut du dos. Un score sera donné pour une réception sur tout le côté du corps, même si le coude est sorti. Décision 4 : Chuter simultanément sur les 2 coudes ou les 2 mains, vers l'arrière : waza-ari pour tori et shido pour uke. Décision 5 : Aucun score ne sera donné pour les techniques de contre où l'attaque initiale du judoka qui contre-attaque ou qui défend est un renversement vers l'arrière. Décision 6 : Pas de score et shido pour seoi-nage

marque (prise en compte de l'activité générale, du volume d'attaque) ? Quel est le niveau des combattants, c'est-à-dire comment celui qui est à l'attaque (dominant-tori) s'y prend-il pour se donner une alternative (selon les réactions de l'adversaire) dans le choix de ses propres moyens d'actions, et pour créer chez cet adversaire (uké-dominé) un degré d'incertitude maximum sur ce qui va se passer (directions et formes de l'attaque) ? L'espace d'affrontement et l'espace de combat sont pris en compte

la saison avec son professeur (pour tous les grades jusqu'à la ceinture marron incluse), qui demande à l'élève d'effectuer certaines techniques qu'il a apprises au cours de la saison. Ces techniques sont à effectuer avec un partenaire : Tori, celui qui saisit, et Uke celui qui « reçoit » l'action de son partenaire. Lors des randoris, combats d'entraînement, il y aura les « souples » qui consistent à se laisser tomber si son partenaire a bien fait sa technique, puis le randori « normal », c'est-à-dire

"déclanchante". Le lancement est la période allant du "signal" à la "mise en action". Le contrôle se renforce durant cette phase … les corps se rapprochent inclinés dans le sens de la projection. Il commence lorsqu’il y a prise en charge du corps d’uke par tori pour le guider sur le dos. Principes opérationnels Technique O-soto-otoshi Le contrôle : placement/déplacement : les moments de force transmis : Le contrôle : placement/déplacement

| | |Qualité rôle |Qualité rôle |Points marqués |ISSUE DU COMBAT | | |de TORI |de UKE | |Victoire/Défaite | | | | |kinza |Y |W |I |

TATAMI : le tapis DOJO : salle où l’on pratique le judo KIMONO ou JUDOGI : vêtement que l’on porte au judo REI : le salut JUDOKA : la personne qui pratique le judo SENSEI : le professeur RANDORI : le combat d’entrainement TORI : celui qui fait l’action UKE : celui sui subit l’action LES DIFFERENTES CEINTURES :  

s’observent et se conseillent en tenant compte évidemment de leurs niveaux respectifs. Le principe consiste toujours à utiliser la force de l’autre pour le faire chuter tout en demeurant soimême parfaitement stable. Les rôles sont attribués : Uke désigne l’agresseur et Tori exécute la technique. Ensuite on inverse les rôles. La plupart des cours débutent d’ailleurs par une série d’exercices de décontraction, d’assouplissements et de respiration qui permettent une meilleure mise en condition, tant physique

self-défense qui peut donc s'apprendre au cours d'études de mouvements de base exécutés avec un partenaire, et d'exercices de combat libres appelés randori, au cours desquels l'adversaire ou "celui qui subit", appelé uke, est projeté au sol et immobilisé par "celui qui projette", appelé tori. Exercices et compétitions se déroulent sur un tatami afin d'amortir les chutes (ukemi). Les pratiquants du judo, les judoka, cherchent à acquérir la souplesse du corps et des membres et la rapidité des déplacements

l’apprentissage. En conséquence, dans le cadre de l’apprentissage de la technique « ogoshi » en judo, pour des élèves de 4ème, nous proposerons de placer les élèves par 3 avec un observateur, un élève réalisant la technique (« Tori ») et un élève subissant la technique (« Uke »). Des changements de groupes seront effectués toutes les 3 minutes. Nous avons choisis cette situation parce qu’elle permettra à l’élève d’observer des élèves tantôt experts et tantôt en cours d’apprentissage afin de faciliter

la saison avec son professeur (pour tous les grades jusqu'à la ceinture marron incluse), qui demande à l'élève d'effectuer certaines techniques qu'il a apprises au cours de la saison. Ces techniques sont à effectuer avec un partenaire : Tori, celui qui saisit, et Uke celui qui « reçoit » l'action de son partenaire. Lors des randoris, combats d'entraînement, il y aura les « souples » qui consistent à se laisser tomber si son partenaire a bien fait sa technique, puis le randori « normal », c'est-à-dire