Tôtes

parbleu, dans des cas pareils tout le monde est frère et doit s'aider. Allons, Mesdames, pas de cérémonie, acceptez, que diable! Savons-nous si nous trouverons seulement une maison où passer la nuit? Du train dont nous allons, nous ne serons pas à Tôtes avant demain midi." On hésitait, personne n'osant assumer la responsabilité du "oui". Mais le comte trancha la question. Il se tourna vers la grosse fille intimidée, et, prenant son grand air de gentilhomme, il lui dit: "Nous acceptons avec reconnaissance

: un « démocrate » et une prostituée (Boule de Suif). Le voyage dure plus longtemps que prévu et tous acceptent, malgré leurs scrupules, de partager le repas que Boule de Suif est seule à avoir prévu. Les voyageurs font étape dans une auberge à Tôtes, occupée par les allemands. Un officier leur interdit de repartir tant que Boule de Suif n’aura pas accepté ses avances. Les otages d’abord indignés par cette proposition finissent par tenter de convaincre la jeune femme de céder au chantage. La prostituée

l’accent, ce qui lui permet d’être traitée avec respect par l’auteur. Elle est le personnage singulier de la nouvelle et, tout comme Cornudet, elle est présentée de manière individuelle. * Trois autres personnages entrent en scène, à l’auberge de Tôtes : - le couple d’aubergistes, les Follenvie : Les aubergistes sont eux aussi caricaturaux. Ils représentent une partie de la population que la guerre et l’occupant effraient. - l’officier allemand : L’officier prussien fait, comme les deux religieuses

devrais quit- ter le pays avec mon mari et, à l’étranger, je ne sourais plus ce que les miens devien- draient dans cette ville où la vie d’un chien compte plus que celle d’un être humain. - Ma chère Carla, vous êtes vraiment une exception. Totes vos amies, en effet, n’ont qu’un désir : épouser un étranger, de façon à quitter le plus vitre possible ce pays où, comme disent presque tous vos com- patriotes, les Allemand n’ont plus d’avenir. - Je le sais bien mais que voulez-vous, mon père

effet, les rues, villes ou encore monuments historiques existent encore de nos jours (“Rouen“, “la Seine“, “le Pont-Audemer“, “Saint-Sever“, “Bourg-Achard“, “les routes de Darnétal“, “Bois-Guillaume“, “côte Sainte-Catherine“, “Havre“, “l’Angleterre“, “Tôtes“). L’auteur ne se contente pas de retracer une histoire mais aussi le parcours de la diligence. Tous les aspects de la vie quotidienne sont décrits avec précision. Maupassant montre comment on vivait à l’époque et il va chercher des petits détails

caractérisé par un regroupement d’individus désirant la même chose.Sager Dissertation Dans no sits democratic, Pegagement olga xt vars ‘Vengagenen poligoe est ls pelsénenun act manifest vooné de Darpe ae paige por esr sr se rinatons de interpele s totes polligus, exe ples modals de cet engagement polite Done canmens pion expiqar engagement ple? Nese verons ‘Tato que engagemenpotique pen ferns foes, pas das un Second emp ais verona ngage pote mii curs ‘emp 1 engagement pliique pend dient forme

observe ensuite une diabolisation de la charette grâce à la gradation des termes suivant “traison” “murtre” “larrons” en effet être un voleur était le pire défaut à l’époque et suscite une grande honte. -Au vers 335 le complément circonstanciel “par totes les rues” inssite sur le spectacle de honte auquel se livre celui qui est condamné à monter sur la charette. Aux yeux de tous le coupable est honteux. -L’anaphore “ne” aux vers 337 renforce l’idée d’exclusion évoquée précédemment et montre la négation

bloqué les routes. Les voyageurs ont faim et seule Boule de Suif a pensé à emporter des provisions, qu'elle partage généreusement avec les autres occupants de la diligence ; et il ne lui reste plus rien. Les voyageurs font étape dans une auberge à Tôtes occupée par les Prussiens. Pour pouvoir passer, Boule De Suif doit livrer son corps à un général Prussien, mais elle refuse car elle est trop patriotique : c’est une Bonapartiste qui refuse de livrer son corps à l’ennemi. Le lendemain matin, l’officier

narrateur, c’est donc un narrateur omniscient. L’histoire débute à Rouen alors que la ville est sous l’occupation des prussiens. Dix personnes décide de fuir Rouen, pour cella il prennent une diligence qui les emmènera a Dieppe en s’arrêtant a Tôtes. Ce groupe de dix personnes est composé d’une prostitué surnommé Boule de Suif de son prénom Elisabeth Rousset, un démocrate et opposant politique appelé Cornudet, un couple de commerçants : Monsieur et Madame Loiseaux, un couple de bourgeois : Monsieur

d’héroïque. Elle a fait un miracle parce qu’elle les a sauvé du taureau qui voulait les tuer mais elle ne voulait pas la gloire. Ce type d’action héroïque était similaire à ce qui s’est passé à Boule de Suif. Tous les voyageurs doivent rester à Tôtes jusqu’à ce que l’officier prussien obtienne ce qu’il veut – coucher avec Élisabeth Rousset parce qu’elle est un courtisane. Elle refuse ses ordres deux fois parce qu’elle est française et les Prussiens sont les ennemis. Les autres découvrent ce que