Touareg

de l’azawad. C’est un groupe politique et militaire indépendantiste crée le 16 octobre 2011 par la fusion du mouvement national de l’azawad (MNA) constitué de jeunes intellectuels et de militants politiques, avec les guérilleros de l’ex alliance Touareg Niger-Mali. Pour les dirigeants du MLNA, l’objectif est de se libérer du ‘’colonialisme malien’’ sur le territoire de l’azawad, qui correspond à trois régions administratives maliennes, celles de Tombouctou, de Gao et de Kidal. Pour beaucoup de

nord du Mali, l'armée malienne aux rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et au mouvement salafiste de Ansar Dine, alliés à d'autres mouvements islamistes. Le MNLA revendique l'indépendance de l'Azawad qui correspond aux trois régions maliennes de Kidal, Tombouctou et Gao. Le gouvernement malien refuse ces revendications, défendant l'intégrité du territoire malien. Le mouvement Ansar Dine de l'ancien combattant touareg Iyad ag Ghali défend l'instauration d'une

la population de cette partie Occidentale de l’espace nigérien au vue de toutes les migrations que cette zone avait connu entre le XVIème et le XVIIème siècle. La population est essentiellement composée de Zarma, de Soney, de Hausa, de peuls, de Touareg et de Gurmance. Le fleuve Niger a certainement joué un rôle prépondérant dans le déplacement des populations Zarma. Ainsi, le rive droite portera le nom de « Gurma-ce », la rive gauche « Hausa-ce », l’Aval « Dendi », l’Amont « Danga » et derrière

aussi à sa façon aux artifices de l’Occident moderne.La première histoire est celle des «  hommes bleus », de fiers guerriers nomades du désert saharien qui vivent en parfaite harmonie avec la nature. Durant l’hiver 1909-1910, de nombreuses caravanes touaregs, harassés et chassés du Sud par les soldats chrétiens, dont celle de Nour, se rassemblent en des campements qui s’Étendent autour de la ville sainte de Smara, dans la vallée de la Saguiet el Hamra. Ils sont inquiets de l’avance des troupes des colonisateurs

qu’il ramena de son pèlerinage. L’islam connu ainsi un grand essor. Malheureusement, ses successeurs furent inaptes à sauvegarder l’héritage que leur empereur leurs légua. A la fin 14e siècle, les attaques des Mossis et les incessantes incursions des Touaregs provoquèrent le déclin de l’empire. Enfin en 1445 les Sonrais pillèrent la capitale et le Mali perdit peu à peu sa puissance pour se retrouver dans ses anciennes limites. Toutes les provinces qui avaient été soumises, profitèrent de la situation

de Tamanrasset(1991), le pacte national (1992) et l’Accord d’Alger(2006). L’idéologie d’une suprématie raciale des touaregs a germé. Avec une fierté à peine masquée, le MNLA a revendiqué le massacre d’Aguel-Hoc en février 2012, au vu et au su de la cour pénale internationale(CPI), et, grand paradoxe, dans le même temps crie ‘’au génocide dans l’Azawad’’ dès qu’on touche à un touareg. Il ne fait aucun doute que cette rébellion a des relents racistes. La conclusion à laquelle on parvient, à la lecture

Mali l'armée malienne aux rebelles touaregs du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA) et au mouvement salafiste Ansar Dine, alliés à d'autres mouvements islamistes. Le MNLA revendique l'autodétermination et l'indépendance de l'Azawad qui correspond aux trois régions maliennes de Kidal, Tombouctou et Gao. Le gouvernement malien refuse ces revendications, défendant l'intégrité du territoire malien. Le mouvement Ansar Dine de l'ancien combattant touareg Iyad ag Ghali défend, lui, l'instauration

subit la dictature de Moussa Traoré avant de connaître un régime démocratique (depuis le début des années 1990). En effet, depuis ce jour, les Touaregs qui sont des nomades vivants dans la zone désertique du nord, ont été écartés en raison de leur «peau blanche» du pouvoir par le gouvernement de Bamako tenu par des populations noires. Chaque révoltes des Touaregs ont été écrasées dans le sang. Par exemple: en 1962, deux ans après l’indépendance du Mali, une première rébellion touarègue, limitée à la

de la personne car chaque groupe/famille le met de la même manière. De plus en plus d'hommes portent le chèche, sans être des Touareg : les touristes veulent connaître des Touareg ? on leur en donne ! Sans être une spécialiste, j'en ai remarqué plusieurs à l'aéroport qui semblait déguisés, et j'ai bien eu confirmation que ces hommes n'étaient pas des Touareg. Quand un homme porte le chèche depuis son enfance, sa prestance n'est certes pas la même que celle d'un homme qui le met occasionnellement

annoncé la «fin d'un régime incompétent», la dissolution de «toutes les institutions», la suspension de la Constitution et la mise en place d'un couvre-feu. Rébellion touareg Il a indiqué avoir agi avec des hommes de rang pour répondre «à l'incapacité» d'ATT «à gérer la crise dans le nord du pays» en proie à une rébellion touareg depuis le 17 janvier et à une instabilité orchestrée par des groupes armés islamistes tel al-Qaida au Maghreb islamique (Aqmi). Le lieutenant parlait au nom d'un énigmatique