Touareg

grimper jusqu'à 55°C alors que la nuit, il descend souvent à 0°C. Dans ces conditions, seuls peu d'animaux arrivent à survivre : on peut voir des fennecs, des gerboises, des vipères, des scorpions, mais principalement des dromadaires, utilisés par les Touaregs pour se déplacer. Ce sont des nomades qui se déplacent d'oasis en oasis pour abreuver leurs troupeaux, souvent composés de moutons, de chèvres et de dromadaires.  

mesure que nous nous enfoncions dans le pays. C’était un voyage extraordinaire, je pense que l’évènement qui m’a le plus marqué est lorsque nous sommes arrivés dans «l’akakus». Jean Paul, notre organisateur, nous à fait rencontrer le chef des touareg de toute la région : Niger, Algérie, Libye. Grâce à mon père, j’ai vécu cela en tout sécurité et c’était pour moi une grande expérience que je renouvellerais avec plaisir. Je conseillerais à tout le monde de partir à l’aventure, mais dans de bonnes

KHADAFI jusqu'à la chute de ce dernier ont emporté dans leur fuite tout un lot d’arsenal militaire pouvant mettre déroute toute une armée digne de confiance. Peut-on le dire. Ces groupes islamistes composés d’une part de dj adise et d’autre part de touareg se réclament tous les deux le nord du Mali histoire de faire appliquer la loi de DIEU : La charia. De son coté La transition militaire a Bamako, écartée par la CEDEAO ne semble pas comprendre les exigences de celle- ci. Les bérets verts du camp

l’'ouverture des discussions entre les deux camps l'armée malienne prend Anéfis verrou stratégique tenu par les combattants touaregs à une centaine de kilomètres de Kidal. Le lendemain, l'émissaire du président malien Tiebile Dramé demande que deux autres groupes armés du Nord, le mouvement arabe de l'Azawad et les milices Gandakoye participent aux négociations. Refus des touaregs et de la médiation burkinabè. Inquiets de l'instabilité au Mali, les 15 Etats membres de la CEDEAO ont imposé des

certains dialectes, dans les oasis, ne sont parlés que par quelques dizaines de personnes. C’est la raison pour laquelle les cartes d’extension de la langue berbère n’ont pas grande signification. Le territoire saharien couvert par les dialectes touareg (tamahaq) en Algérie, Libye, Mali et Niger est immense mais les nomades berbérophones qui le parcourent et les rares cultivateurs de même langue ne doivent guère dépasser le nombre de 250 ou 300 000. Ils sont à peine plus nombreux que les habitants

d'uranium ne permit pas au gouvernement de contrebalancer cette dégradation économique. Dans le même temps, la désertification posa avec acuité la question touarègue: mal intégré dans une économie de bouleversement climatique et de crise, le peuple touareg entra en rébellion et se manifesta par des révoltes armées, des attaques et des sabotages. En 1974, un coup d'État militaire renversa Diori Hamani et porta le lieutenant-colonel Seyni Kountché à la tête de l'État. Celui-ci imposa au pays une dictature

(Lacoste-Dujardin, 2002). Des pratiques culturelles s'exercent arbitrairement sur les femmes kabyles dans leur vie familiale (Tillion, 1966), dont l'enjeu est de maintenir 8 l'honneur familial (Ibid.). En ce qui concerne, les Chawis, les Chalhis, les Touaregs, les M'zabs, etc., qui sont des appartenances berbères tout comme les Kabyles, ils se sont par contre assimilés à la culture arabo-islamique, peut-être à cause de leur situation géographique. Dans la période coloniale de l'Algérie, les Kabyles

nord) < itaw-ttew (touareg) ; tti < tty "retourner, renverser" - kabyle : ndu (nda) "baratter" < ndw (touareg, Maroc) - fsu "bourgeonner, s'épanouir" < fsw/fsy - ddu "aller (avec) < ddw < wdw : Cf. touareg : idaw-ddew "aller en compagnie" et Maroc : tawada "marche, fait d'aller" - amenzu "précoce" d'un radical nzi < nzy "être au matin, être le premier" (touareg). e)- Chute dialectale de radicales labiales ou nasales : - kabyle, Maroc central... : kker, "se lever" < nker (touareg, Maroc) - kabyle (local

* Les Mzabites : sont des Berbères vivant principalement dans la région du Mzab algérien. La plupart sont ibadites, et parlent une variante amazighe mozabite. Ils constituent actuellement 60 % des habitants de la vallée du Mzab ; * Et les Touaregs : sont un peuple de Berbères nomades vivant dans le désert. Leur langue est le tamajaq ou tamasheq ou encore tamahaq selon les régions. Ils utilisent un alphabet appelé tifinagh. Ce sont les descendants des premiers habitants de l'Afrique du Nord ;

pour l'agriculture. Tout les hommes sont capables de vivre dans le désert en prenant certaines précautions comme porter des habits adéquats et en s'hydratant suffisamment. Mais certains peuples sont plus habitués à cette forte chaleur, tel que les Touaregs, les Bédouins et les nomades. Ces peuples ont appris à vivre dans ces milieux, par exemple ils organisent leur parcours en fonction des oasis. Avec leurs bêtes, ils s'installent pour quelques temps et plantent des palmiers pour faire de l'ombre à