Toulouse Métropole

y a 8 départements qui ont chacun une préfecture. Ariège (Foix) Aveyron (Rodez) Gers (Auch) Haute-Garonne (Toulouse) Haute-Pyrénées (Tarbes) Lot (Cahors) Tarn (Albi) Tarn-et-Garonne (Montauban) Question 2 : Le drapeau du Midi-Pyrénées reprend le logo du Conseil Régional, à savoir la croix de Toulouse, également appelée « croix occitane ». Cet emblème des comtes de Toulouse a été introduit pour la première fois par le sceau de Raymond VI en 1211. Elle s’imposera comme emblème toulousain

tout le royaume : une disette tous les trois ans, une famine tous les dix ans jusque vers 1380. Le bilan démographique dans le monde urbain est effrayant : Paris passe de deux cent treize mille habitants en 1328 à cent mille au début du XVe siècle. Toulouse de trente mille vers 1355 à vingt mille vers 1450. Reims perd quant à elle la moitié de sa population, qui chute de dix-huit mille habitants en 1315 à neuf mille en 1422. La série de fléaux qui touche le royaume au XIVe siècle ne fait qu’amplifier

avec d'anciennes hérétiques converties puis à Toulouse, en 1216, une communauté de frères prêcheurs dont les membres sont aujourd'hui connus sous le nom de dominicains. Mais ses prédications se révèlent impuissantes à éradiquer l'hérésie. Celle-ci attire tant les paysans que la bourgeoisie des villes. Elle bénéficie de la protection bienveillante des seigneurs. Elle arrive même à se structurer en Église véritable, avec quatre évêchés : Albi, Agen, Toulouse et Carcassonne. C'est en définitive la croisade

« TOULOUSE » Nougaro La première version de « Toulouse » rendait compte de l’amertume de l’auteur-compositeur-interprète Claude Nougaro vis-à-vis de cette ville d’enfance dans laquelle il a connu des moments douloureux. Mais une simple conversation avec son épouse change tout : il décide que son texte ne doit pas être « un chant de rancune » mais au contraire un hommage rendu à cette ville qui l’a vu naître et dans laquelle il connaît ses premiers émois artistiques. De cette prise de conscience

lourds. II - Le réseau urbain français : 1ère aire urbaine = Paris avec ses 11 millions d’habitants - 2ème aire urbaine = Lyon avec ses 2,1 millions d’habitants - 3ème aire urbaine = Marseille avec ses 1,7 millions d’habitants - 4ème aire urbaine = Toulouse avec ses 1,2 millions d’habitants - 5ème aire urbaine = Lilles avec ses 1,1 millions d’habitants - 6ème aire urbaine = Bordeaux et Nice qui ont chacun 1 million d’habitants. 1°) L’aire urbaine parisienne : 90 des sièges sociaux des grandes entreprises

d'urbain : du latin Urbs → la ville ( Rome ). Le Pape donne sa bénédiction Urbi et Orbi ( à Rome, et le monde entier ). Polis ( Grec ) → la cité au sens société ( avec constitution etc... ) → politique, métropole ( France Métropolitaine → cité mère, ville importante ) etc... Métropole : Ville « importante » avec un certain degré d'imprécision et une ville qui connait un phénomène de métropolisation → concentration dans une ville des activités économiques, de fonction, de hautes technologie

inégale sur le territoire. Cette urbanisation se traduit aussi par un étalement spectaculaire des espaces urbains. Et depuis les dernières décennies, on assiste à un processus de métropolisation, c’est-à-dire la transformation des grandes villes en métropoles par la concentration des fonctions de commandement (activités de décision, conception, direction). 1) Urbanisation et mouvements de population a) L’urbanisation a accentué les contrastes du peuplement L’urbanisation a commencé à s’accélérer

démographique de l’ensemble de la France. Pour limiter leur poids, la DATAR (Délégation interministérielle à l’aménagement du territoire et à l’attractivité régionale) a par exemple eu initiative de créer les « métropoles d’équilibre » : Lyon-Saint-Étienne Grenoble, Aix-Marseille, Lille-Roubaix-Tourcoing, Toulouse, Bordeaux, Nantes-Saint-Nazaire, Strasbourg, Nancy-Metz. Abandonné en 1982, ce concept est difficilement intégrable sur un fond de carte représentant une seule région française. Toutefois, son objectif

pourquoi de nombreuses villes cherchent à accéder au statut de métropole, c’est à dire des centres urbains qui concentrent des décisions, de commandement, de services diversifiés et développés. Mais la métropolisation est aussi un processus hiérarchique issu de la mondialisation, ce qui explique qu’il n’est envisagé que pour les villes à envergures internationales. En France, seule la capitale peut être considérée comme une métropole de rang mondial, on parle de macrocéphalie parisienne. Paris polarise

quinzaine d’autres agglomérations d’Asie ou | | |d’Amérique latine. Certes, le poids économique de l’Europe permet à Londres et Paris de figurer pour quelque temps encore aux | | |premiers rangs des palmarès mondiaux, et à quelques autres métropoles de capter certains bénéfices de la nouvelle phase de | | |mondialisation : une étude récente atteste du bon rayonnement à l’international de Madrid, Amsterdam, Barcelone, Berlin, Milan, Rome,| | |Stockholm et Vienne (Rozenblat, Cicille