Tournure De Phrases

analyses On explore un texte littéraire à travers divers niveaux d’analyse : 1. Le niveau lexical : étude du sens des mots, de la constitution de champs lexicaux, de la polysémie, etc. 2. Le niveau grammatical : étude de la phrase, des effets stylistiques des types de phrase, de l’emploi des temps, des modes, des pronoms, des articulations du discours... 3. Le niveau rhétorique : étude de la composition du discours, des figures et des registres littéraires. 4. Le niveau rythmique et prosodique

l'emploi du « on » dans le texte. De quel type de pronom s'agit-il? Quelles sont ici ses différentes valeurs ? « On » : pronom indéfini neutre dans ce contexte, ici sujet de la phrase, employé dans des phrases ayant valeur de « vérité » générale ou communément acquise, ancrée dans les mœurs. 2. Dans les deux premières phrases du texte relevez les verbes ou adverbes qui marquent le caractère hypothétique de la réflexion. « Primitivement ; seulement ; tenté de ; croirions ; durent » Utilisation du

cohérence de votre raisonnement. Evitez, pour cela, les phrases du type « Maintenant, passons à la deuxième partie ... » : chaque étape doit venir logiquement. • Le plus important est de répondre au projet de lecture. Pour assurer la cohérence de votre exposé, n’hésitez pas à faire le lien régulièrement entre vos idées et le projet de lecture. • Appuyez-vous sur le texte. Il vaut mieux citer un extrait pertinent pour chaque idée que 3-4 phrases sans intérêt. • Faites des allers-retours entre la

un contexte historique particulier qui se met en place, « le Président Poincaré » - un climat chaud vu l'allusion aux « oeufs à la coque » - le lieu qui est Paris, « Place de Clichy » - la mise en avant d'un narrateur/personnage dès la deuxième phrase. L'expression « Moi, je » appuie sur sa présence, son individualité très marquée. Nous sommes dans une narration interne qui permet le phénomène d'identification. La première fausse piste créée par Céline réside dans l'impression donnée de faire

Texte 1 Puis nous revenions à son travail de la journée. Là, il est heureux de me lire toute fraîche éclose la phrase qu'il vient de terminer ; j'assiste, témoin immobile, à la lente création de ces pages si durement élaborées. Le soir, la même lampe nous éclaire ; moi assise au bord de la large table, je m'occupe à quelque ouvrage d'aiguille, ou je lis ; lui se débat sous l’effort du travail ; tantôt penché en avant il écrit fiévreusement, se renverse en arrière, empoigne les deux bras de son fauteuil

1  : Première phrase exprime l’étonnement avec énergie = adjectif « étonnants » en position d’attribut du COD rejeté en fin de phrase où il se trouve mis en valeur. Utilisation du substantif « caprices » = véritable sujet de la lettre, « la mode » n’est que complément du nom. Donc sujet du texte est le « caprice » = enthousiasmes passagers, changements brusques de l’humeur = instabilité dont la mode est un symptôme. l. 2-4  : Deuxième phrase se compose en trois temps :

mangé). C’est… qui, c’est… que → En français comme en espagnol, cette tournure sert à mettre en valeur un élément de la phrase. Par exemple : > C’est en août que nous partirons : l’élément qui est mis en valeur ici est la période, le complément circonstanciel > C’est avec Pierre que nous partirons : l’élément mis en valeur ici est « avec Pierre » : complément circonstanciel d’accompagnement → Pour passer de ces tournures françaises à la structure espagnole équivalente, on doit prêter attention

m’occuper plus que de raison et par créer, au moins dans mon imagination, […] dont je mettais à épier les moindres signes. » p.34 Une phrase, extraite parmi tant d’autre, composant l’œuvre de Julien Gracq, Le Rivage des Syrtes. Qui offre, de mon point de vu, la clef afin déchiffrer la complexité de ce texte. Alliant à la perfection un langage fluide et précis, chaque phrase est réfléchie. La sonorité d’un mot n’est pas placée au hasard provoquant ainsi un enchainement lent et logique du roman. Son style

un exemple long à partir d'un roi d'Angleterre, Henri VII. La phrase suivante est la mise en place de cet exemple. Montaigne se détache du « nous » par une implication personnelle « J'en sçay ». Il s'implique d'autant plus par le verbe savoir et par l'utilisation de passé composé qui marque alors une forme de proximité et une forme de vérité de l'exemple puisque l'auteur l'atteste, il connaît l'histoire. Toute la première phrase de l'exemple est la mise en place de la situation initiale. La

femmes et l'idée de propriété de l'homme sur la femme. Conséquence : pas de partage   jalousie   conflits   Deux procédés essentiels    Hyperboles dénonçant la sauvagerie des occidentaux "folles", "féroces", "haïr"    Même construction des phrases : deux temps avec "et" = valeur d'opposition   antithèse 2ème étape Le vieillard récuse le droit de Bougainville à la possession du territoire et à l'esclavage. "Nous sommes libres, et voilà que tu as enfoui dans notre terre le titre de notre