Tournure De Phrases

à travers le procédé éminemment polémique de l’apostrophe. L’apostrophe est une interpellation quelque peu brutale. Dans les deux premiers vers, l’interpellation est introduite par l’interjection « O ». Dans les vers suivants, une succession de tournures impératives : « Accourez, contemplez » (v.5) et interrogatives : « direz-vous » (v.15 et 17) organise la pression argumentative sur ces destinataires que l’auteur prend à partie. On notera notamment l’agressivité de la formule « direz-vous » qui

plusieurs niveaux de signification. Ses moyens : ils sont tous contenus dans les ressources de l'analyse textuelle, qui permet d'observer, de déduire et d'interpréter tous les procédés d'expression relatifs aux grammaires du discours, du texte et de la phrase. Sa forme : elle est celle d'un texte argumentatif de type scolaire, présentant une introduction, un développement (deux parties minimum) et une conclusion. Sa structure : elle repose sur un plan détaillé, établi au brouillon avant la phase de rédaction

péjoratifs, le registre polémique…  S’agit-il d’un discours commémoratif ? (célébrer un événement passé) : il faudra comparer le présent et le passé.  S’agit-il d’exprimer un souhait, d’encourager quelque chose ou quelqu’un ? Il faudra employer des tournures hypothétiques, le conditionnel, le subjonctif, des modalisateurs…. 3° étape: adopter une stratégie argumentative: convaincre et/ou de persuader ? -- Pour convaincre : le discours suit une logique interne pour faire appel à la raison de son interlocuteur

repos 1er mouvement: - Une métaphore filée seulement en une phrase sur « la vie de la cour » - Courtisans en perpétuelle représentation - L’emploi du substantif « jeu » s’enrichie du sens de la stratégie - L’esprit du jeu caractérisé avec les adjectifs « sérieux, mélancolique » -> oxymore « mélancolique » = humeur noir -> non ludique - La proposition relative « qui applique » absorbe l’être tout entier - « Il » tournure impersonnelle avec verbe d’obligation « il faut » - « Arranger »

Conseils généraux  le plan détaillé, avec les numéros des sections (I., II., 1. 2. etc.), n’apparaît pas. Tout doit être rédigé. Les titres que vous avez donnés au brouillon à ces parties et sous-parties servent toutefois à rédiger les phrases qui introduisent chaque nouveau paragraphe. Respectez une présentation claire et aérée : alinéa à chaque nouveau paragraphe, sauts de ligne (2 lignes entre l’introduction et le développement, et entre le développement et la conclusion ; 1 ligne

l’amusement et l’admiration qu’ils ressentent envers elle. 13/ Dans le passage suivant : - repérez et expliquez la métaphore filée utilisée pour évoquer le personnage de la mère. - que révèle l’utilisation abondante des tournures interrogatives ? - Expliquez la phrase : « A ce compte-là, il fallait te marier avec ton propre portrait. » « C’est ce qu’elle a dit de cette voix-là montante comme une marée d’équinoxe venue du fond de la mer avec tout le poids d’une vieille, d’une très vieille patience

chacun et un langage qui ne force pas, qui n’exagère pas. Car ici les nombreuses négations et les comparaisons de style (l.3/4) témoignent d’une critique ouverte. B) L’ironie de la condamnation Dès le début du texte nous pouvons trouver des tournures négatives dans cet extrait. Il qualifie volontiers son style de « trop serré, désordonné, coupé, particulier ». Mais ce qu’il faut surtout relever ici, l’implicite de cet extrait, c’est que Montaigne lui-même utilise un langage riche et ampoulé

de position, volonté de défendre une chose = objets et symboles du quotidien. Prose poétique,syntaxe, rythme et sonoritésFond inédit = mollusque + forme (prose et §).Plan : Description extérieure de l'huître2ème § : monde intérieur.Dernière phrase : le trésor.Analyse : donner une dimension poétique, le quotidien peut devenir oeuvre d'art en portant un regard différent.Description objective par taille, apparence

à l’ethnocentrisme, Montaigne offre une représentation très critique de la « civilisation » européenne. 1. Que lui reproche-t-il ? Deux choses essentiellement : a. Une certaine étroitesse d’esprit. La ligne 3, principalement, avec la tournure réductrice et restrictive « n’avons autre… que », exprime l’idée que les critères utilisés par les Européens, prétentieux, pour juger (de la « vérité », de la « raison », donc de la supériorité de certains hommes sur d’autres hommes : les sauvages

faiblesse de sa part car il n’arrive pas seul à réfuter le jugement de son contradicteur et formule le souhait au conditionnel optatif d’avoir le secours de «  quelqu’un de ces messieurs ».· Beralde se pose en contradicteur calme et tempéré : les phrases complexes et bien construites sont le reflet de sa pensée, la rigueur de sa langue est celle de son raisonnement, incarnant bien là l’idéal de l’honnête homme classique. Le pronom tonique «  Moi » , l’apostrophe hypocoristique «  mon frère » de la