Tout est fatal

parle de l’homosexualité féminine. Son poème « Sonnet d’Automne » traite de l’amour entre un homme et une femme : un homme accablé et une femme inaccessible et oubliée. Nous verrons dans ce sonnet en alexandrin, comment nous est perçu cette femme « fatal » ; mais aussi quelle est la conception de l’amour du poète ? Et quel est l’état d’esprit du poète ? Pour ce faire, nous allons faire un plan en deux paries; premièrement, nous allons voir qu’une définition tragique de l’amour se dessine, puis nous

Plan La fatalité : 1. Force surnaturelle qui semble déterminé d’avance le cours des évènements. 2. Caractère fatal (ruine, mort,…) 3. Concours de circonstance facheuse, imprévues et inévitable (malédiction) THÈSE : Dans les deux poèmes, les sujets semblent projeter un futur sombre, une fin fatale qui sont semblable. SOIT… Les deux poètes parlent d’un futur sombre qui est sans sotie de secours pour leurs sujets. Citation  pour la cage d’oiseau : « C’est un oiseau tenu captif/ La mort dans

d'explications, elles disparaissent. Peu de temps après, deux seigneurs envoyés par Duncan (le roi) viennent annoncer à Macbeth qu'il le nomme duc de Cawdor pour le récompenser. Macbeth fait part de cette rencontre à son épouse, mais elle le pousse tout de même à assassiner Duncan. Les fils de Duncan (Malcolm et Donalbain) s'enfuient, de peur de se faire tuer à leur tour, laissant le trône à Macbeth. Ce dernier vit dans la crainte de perdre sa couronne et les remords s'emparent de lui à cause de

directe, par les formules qui tiennent en un seul vers "Je porte le malheur à tout ce qui m'entoure !", il évoque également sa conduite en tant que chef des armées; on retrouve le personnage vis-à-vis de son pays; "Je les ai fait combattre, et voilà qu'ils sont morts !", mais il évoque également sa relation avec Dona Sol en insistant sur le caractère maudit de sa situation et de sa destinée "Voila ce que je fais de tout ce qui m'epouse !". Hernani est un personnage maudit, il l'affirme lui même

vous−même fatale.

 Phèdre
 : Oenone, qui l'eût cru ? j'avais une rivale !

 Oenone
 : Comment ?

 Phèdre
Hippolyte aime, et je n'en puis douter.
Ce farouche ennemi qu'on ne pouvait dompter,
Qu'offensait le respect, qu'importunait la plainte,
Ce tigre, que jamais je n'abordai sans crainte,
Soumis, apprivoisé, reconnaît un vainqueur ;
Aricie a trouvé le chemin de son coeur.

 Oenone
 : Aricie ? Phèdre
 : Ah ! douleur non encore éprouvée !
A quel nouveau tourment je me suis réservée !
Tout ce que

ans après leur rencontre.) L’auteur distingue d’abord cette « amitié sincère » des « simples accointances », puis il brosse le tableau touchant d’une union fusionnelle entre les deux hommes. Enfin, il élève leur rencontre au rang d’une « nécessité fatale ». I- Distinction entre « amitié véritable » et « relation » 1. Montaigne nous met en garde contre les amitiés superficielles Pour cela il délimite les notions et définit les termes par opposition : il oppose la façon commune de concevoir l’amitié

Lol V Stein Intro : début du roman, Lol est sur le point de se marier avec Mickael, homme plus agé qu’elle. Les personnages sont à un bal à T. Beach. Une femme apparaît : Tout se produit ici dans un intervalle de silence, dans l'entre-deux des danses…. PBt : comment M. Duras renouvelle-t-elle un topos de la littérature en faisant de Lol un personnage atypique ? AXE1 : UN RECIT COMPLEXE ET NOVATEUR 1- La question du narrateur : un texte problématique • Tatiana : narratrice, témoin, commentaire : personnage

français : Manon Lescaut, Abbé Prevost (1731)INTRODUCTION : Nous allons étudier un extrait de Manon Lescaut de l'Abbé Prevost datant de 1731. Cette oeuvre est un roman racontant la passion fatale du Chevalier Desgrieux et de la jeune Manon Lescaut. Cet extrait présente une rencontre amoureuse innatendue et fatale. Nous allons alors montrer le caractère exceptionnel de cette rencontre. En premier lieu, nous présenterons la rencontre en elle-même. En second lieu, nous étudierons le caractère des personnages

meurtrier empourpré de son sang : allitération   Ainsi j’allais sans espoir de dommage, Le jour qu’un œil sur l’avril de mon âge Tira d’un coup mille traits dans mon flanc. Comment est décrit l’être aimé ? L’œil synecdoque, regard foudroyant, fatal, comme des flèches. Femme comme irréelle, non décrite. Puissance dominatrice. IDEALISE Comment se décrit Ronsard, ses sentiments ? Comme un être libre, insouciant, ivre de la vie, de volupté différente. Victime / proie. Le chevreuil symbolise

1. Rodriguez est tiraillé entre son devoir de vengeance envers son père (l’honneur familiale) et l’amour qu’il éprouve pour Chimène : ce sont deux aspects qui sont à priori inconciliables . Tout le long du texte, il va donner des arguments péjoratifs ou améliratifs sous forme d’opposition en alternance. En effet dans la première strophe on peut relever différents termes appartenant d’une part aux champs lexicals de la douleur et de la mort : « atteinte .. mortelle «  (vers 2) malheureux objet