Tout Va Pour Le Mieux Pangloss

Chapitre premier Candide vit dans un château avec le baron de Thunder-ten-tronckh, Madame la baronne, leur fille Cunégonde et le précepteur. Candide est très innocent et aperçoit la vie dans le château. Il croit tout ce que le précepteur lui dit, aussi sa théorie qu’ils habitent dans le mieux monde. Un jour Candide et Cunégonde font d’amour, après Cunégonde avait observé le précepteur le faire avec la femme de chambre et voulait aussi l’essayer. Les parents se fâchent et ils le jettent de château.

l'auteur est très déçu et se met a penser tel un pessimiste. Il va alors s'installer à Ferné près de la Suisse, ou il développe son personnage de Candide. Il a écrit un essai sur les moeurs, et beaucoup de pièces de théatre. 1 - Présentation de Candide, 1789. A) Pourquoi Voltaire écrit t'il Candide ? 1755 : Rousseau fit un discour sur l'origine de l'inégalité, pour lui c'est le travail tandis que pour Voltaire c'est tout le contraire. Le désastre de Lisbonne en 1756 permet à Voltaire

- De tous les contes voltairiens Candide reste aujourd'hui l'oeuvre la mieux connue et peut-être la plus lue. Pourtant, ce court récit est l'un des plus violents et des plus pessimistes (quel que puisse être le dénouement) que Voltaire ait jamais écrit. Le monde que traversent en effet Pangloss et son élève apparaît comme le vaste théâtre d'un chaos où les hommes deviennent des marionnettes soumises à la violence et à la cruauté d'une fatalité qu'ils désespèrent de pouvoir identifier. Ainsi

catholique, qui était à ses yeux symbole d’injustice. Dans son conte philosophique Candide, Voltaire met en avant les souffrances vécues et observées par le personnage éponyme. Candide associe tout ce qu’il voit aux nombreuses phrases philosophiques de son précepteur Pangloss, qui a pour divise « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». A travers Candide, Voltaire critique les inégalités sociales et de pouvoir qui étaient très présentes à son époque et dans le monde entier. Donc

afin de critiqué. Extrait de Utopie de THOMAS MORE (16e) Pas d'agitation, atmosphère calme, société en harmonie Pas de contraintes (notion de liberté) Place pour les loisirs Société égalitariste Instruction obligatoire Travaux des femmes et de toutes les catégories sociales => UTOPIE Extrait de Gargantua de RABELAIS (16e) ''Fais ce que tu voudras'' = liberté La vertu (le bien) comme règle Harmonie Pas d'autorité, de soumission Nobles activités (esprit et corps) => UTOPIE Extrait de 1984

critique de l’optimisme philosophique, pour parler ensuite de la conception voltairienne de la philosophie, avant de nous intéresser au dénouement du conte. I - Voltaire et le problème du mal La question du mal au XVIIIe est en partie (et en tout cas pour Voltaire) celle de l’ « optimisme », doctrine philosophique qui procède de Leibniz et consiste à dire que la faiblesse de l’esprit humain lui interdit de pénétrer le « plan divin », les « desseins de la Providence », c’est-à-dire de percevoir

questions QQQOC ( Qui Quoi Quand Où Comment ), c'est lui qui donne la première impression de lecture, c'est lui qui noue le pacte de lecture. Leibniz Pangloss est le représentatif de Leibniz, philosophe allemand optimiste, que Voltaire a pris pour cible. Il détourne ici, le discours du philosophe grâce à l'ironie par le discours. Pour Pangloss, tout est bien dans le meilleur des mondes. Bref introduction Dans ce début de chapitre 1 de Candide, Voltaire donne l'image du meilleur des mondes possibles

protagonistes) et il émoustille les attentes du lecteur. Voltaire utilise les techniques du conte pour enfant pour mieux délivrer ensuite une critique philosophique. Le registre est celui de l’ironie, satire du régime en place La progression est logique, on présente d’abord le lieu puis les protagonistes et leurs idées (philosophie de Pangloss) avant de passer à l’action qui va provoquer le départ de Candide, (moment où il embrasse Cunégonde et que le baron les aperçoit) I Paradis Terrestre

dieu et du sort des humain. Dieu est un être qui ne ressentirait qu’indifférence pour les hommes. Il est donc comme un marionnettiste qui manipule les hommes sans s’en soucier.. C’est alors une parabole satyrique. Le derviche fait alors penser à Pangloss au début du roman. Seulement, celui-ci leur ferme la porte au nez ce qui remet en question « passait pour ». On peut alors revenir sur le « passait pour » qui nous confirme alors l’indice du second degré de Voltaire. Mais, vient ensuite la rencontre

une idée de cacophonie. -"Candide", nom qui ne sonne pas germanique, qui annonce son caractère et prépare sa physionomie, il est "blanc", c'est-à-dire naïf, innoncent, sans expérience. -"Pangloss", construit à partir de deux mots grecs ( symbôles et clichés du savoir ), Pan=tout, gloss=langue : il parle toutes les langues, il maîtrise le langage. b) Réduction des personnages à un détails. -"Cunégonde", comparée à de la nourriture -"la baronne" réduite à son poids ( non négligeable ) -les femmes