Toute Notre Dignité Consiste Dans La Pensée

été prescrite et mise à sa disposition par un médecin. * l’euthanasie indirecte : c’est l’administration d’antalgiques dont la conséquence seconde et non recherchée est la mort ; * l’euthanasie passive : c’est la dernière forme, qui consiste à refuser ou à arrêter un traitement nécessaire au maintien de la vie. Nous avons vous définir certains mots en rapport avec l’euthanasie que nous utiliserons dans notre exposé : Lexique : Soins palliatifs : Antalgiques : C’est un médicament

L’obéissance est-elle compatible avec la liberté ? La liberté absolue consiste à agir selon ses désirs sans rencontrer d’obstacle. En ce sens, elle s’oppose à toute forme de contrainte, qu’il s’agisse d’interdiction ou de commandement. Mais, soyons réalistes : voilà bien une définition utopique, qui est peu représentative de ce qu’est la liberté « réelle », la liberté mise en situation. Tôt ou tard, donc, l’être humain sera confronté à des choix et aux conséquences qui en découlent. La liberté

disponibilité permanente, sa sympathie à toute épreuve et sa bonne humeur tant agréable. Enfin, je désirerais adresser mes derniers remerciements accompagnés de tout mon respect et de toute mon estime à des personnes qui, à partir du moment où je les ai rencontrées, où je les ai entendues parler, où j’ai écouté ce qu’elles avaient à m’apprendre, ont modifié ma perception du monde à tout jamais. Ils sont au nombre de quatre, je leurs dois tout. La richesse de leur pensée et de leurs propos sont des richesses

misérable. C'est donc être misérable que de se connaître misérable ; mais c'est être grand que de connaître qu'on est misérable. […] Pensée fait la grandeur de l'homme. […] Je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête (car ce n'est que l'expérience qui nous apprend que la tête est plus nécessaire que les pieds). Mais je ne puis concevoir un homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. […] L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il

lui-même et prenant pour centre la personne humaine elle-même, qui se met en demeure de décider et de se juger. Ce mouvement intérieur est dans toute pensée : car celui qui ne se dit pas finalement "Que dois-je penser ?" ne peut pas être dit penser. La conscience est toujours implicitement morale ; et l'immoralité consiste toujours à ne point vouloir penser qu'on pense, et à ajourner le jugement intérieur. On nomme bien inconscients ceux qui ne se posent aucune question d'eux-mêmes à eux-mêmes. Ce qui n'exclut

qui est par nature différent de moi. Le philosophe Descartes pour qui le sujet parvient à la certitude d’exister comme être (« je pense donc je suis »), ne semble pas accorder assez d’importance à autrui dans la conscience que le sujet a de lui-même. Dans le rapport entre autrui et moi, « je » suis donc au centre et « autrui » existe tel que « je » le vois et le pense : autrui n’existe donc que par rapport à moi. Or, l’expérience quotidienne montre avec acuité que l’autre, parce qu’il est différent

Toute conscience est-elle une illusion de soi ? « Ne te mens pas a toi-même », laisse entendre que je n’aurai pas moi-même une image faussée, que je n’aurai pas conscience de ce que je suis réellement. Si la question de la perception de soi est liée à celle de la conscience alors « qui-suis-je réellement ? ». Nous avons conscience d’être quelqu’un mais la question de savoir si la perception de nous même est exacte, ou si nous ne sommes pas les mieux placés pour nous observer. Alors certes, si

" Les nouvelles générations devraient apprendre de la Déclaration universelle les principes fondamentaux d’une société démocratique basée sur le respect de la dignité humaine. Ce massage est d'une importance indéniable dans le monde d'aujourd'hui, où de graves violations des droits de l'homme détruisent les vies de millions de gens. Je pense que les violations des droits de l'homme pourraient être évitées, du moins en partie, si la Déclaration universelle était mieux connue et Internationalisée par

peut observer, à la lecture de son catéchisme, que les catholiques rejettent totalement l’euthanasie. « Quel qu’en soient les motifs et les moyens, l’euthanasie directe est moralement irrecevable. Elle constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne et au respect du Dieu Vivant, son créateur. » On peut donc comprendre, grâce à cet extrait du catéchisme, que les catholiques pensent que Dieu donne la vie et donc, que Lui seul peut la reprendre. Des textes de l’Eglise Catholique

méfiants à l’égard de l’idée de nature humaine? -> lié au mot nature -> renvoi à ce qui est donné à la naissance, à ce qui est innée. Or lorsque l’on observe l’homme dans son comportement: bipédie, manière approprié d’utiliser ses mains, la parole, la pensée. Ce n’est pas des données innées mais acquises. L’idée qu’un homme est un homme -> culture “on ne naît pas homme ont le devient”, on le devient dans un cadre culturel, historique et social Ex: enfant sauvage: pas recueilli dans un monde social, ne