Toute Relation à Autrui Est Elle Un échange

A première vue, la parole semble être un moyen de communication. Elle permet aux hommes de communiquer entre eux, de partager toutes sortes de choses : leurs goûts, leurs centres d’intérêts, etc… De ce fait, la parole semble être un moyen de rapprochement des hommes. Mais est-elle uniquement ceci ? Dans la majorité des cas, la parole l’est, mais cela arrive aussi que celle-ci désunit les hommes entre eux, elle crée une distance entre eux, elle peut mener à des disputes. Ainsi

: c’est à dire la maxime morale qui inspire l’échange, ou sa référence, voire son fondement. Par opposition à la « règle » ou encore à la « réglementation » juridique ou technique Le sujet étend le plus largement possible la portée de l’interrogation : les échanges ne sont pas envisagés ici dans la seule dimension économique, mais d’une manière universelle, quelle que soit la nature de cet échange : au sein de la matière, de la vie, dans la société. Echanges humains

Sommaire INTRODUCTION ..................................................................................................... 2 1. L’art (L - ES - S - Techn.) ..................................................................................... 3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ......................................................................... 10 4. La conscience (L

sujet. Cette conversation est considérée comme un échange de paroles, et de connaissances. C’est une relation entre des personnes qui se connaissent, ou qui ne se connaissent pas encore; c’est la relation qui se déroule la plus fréquemment dans notre vie. Pour tout ce que nous voulons faire, nous engagerons une conversation, même si ceci est que par intérêt ou pas. Si nous croisons quelqu’un que nous connaissons dans la rue, un échange de paroles sera immédiat «Bonjour»,«Tu va

La société et les échanges Introduction 1 I. L’échange est le fondement de la société 2 A. L’échange permet de satisfaire les besoins individuels (Platon) 2 B. Communauté et société (Durkheim) 3 C. L’économie est imbriquée dans la société (Polanyi) 4 II. Les limites de l’échange 5 A. Le don (Mauss) 5 1. Don et contre-don 5 2. Le potlatch (le pouvoir de donner) 5 B. Les types d’échanges 6 1. Les biens, les femmes et les mots (Clastres) 6 2. Mariage

Sommaire INTRODUCTION ..................................................................................................... 2 1. L’art (L - ES - S - Techn.) ..................................................................................... 3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ......................................................................... 10 4. La conscience (L

Chapitre 1 : La vérité – La raison – La croyance 1) La recherche de la sagesse A partir de l’étymologie du mot philosophie : Philo : celui qui aime, Sophie (Sophia) : la sagesse= savoir =ordre de la connaissance, la vérité, salut= ordre de l’action, bien agir. Chez les grecs anciens : cohésion entre savoir et salut : si on sait, on agit pour le bien, contre le mal Pythagore aurait inventé la philosophie=modestie, humilité, recherche de la connaissance Opposition avec les sophistes qui

Le conflit est-il le fondement de tout rapport avec autrui ? Introduction La vie quotidienne oblige les hommes à avoir des relations entre eux. Tous les jours, nous nous heurtons aux autres. Parfois, nous avons même du mal à exister sans eux. Nous déterminerons d’une certaine façon notre conduite en tenant compte de la leur. Pour satisfaire les besoins primaires de l’existence, chaque individu veut s’imposer aux dépens d’autrui. Il y aura donc des rivalités, des désaccords. L’homme établit

conscience de soi c'est se sentir exister en tant qu'individu distinct, doté d'une identité propre à lui-même. L'homme est le seul animal capable de prendre conscience de ses faits et gestes, il peut donc se prendre lui même comme objet de réflexion et s'analyser. On dit souvent "je suis moi-même" c'est-à-dire qu'être soi-même est d'assumer son originalité. Quand à la solitude, c'est une éclipse des liens avec autrui, l'isolement en est la privation. Nous allons donc nous demander : Est-ce dans la solitude

comprendre autrui ? L’Homme vit en perpétuelle compagnie de personnes qui lui sont plus ou moins familières. La notion d’autrui nous est alors connue dans la mesure où elle rend concret notre conception de l’autre. Ce dernier, provenant du latin « alter » et signifiant contraire, est celui auquel nous nous identifions et prenons exemple pour nous construire et évoluer. Notre vie quotidienne est issue de ce rapport entretenu avec la communauté qui nous entoure et chaque personne a un sens intuitif