Toute Violence Est Elle Sans Raison

Georges Franju a dit « la violence n'est pas le but. La violence est le moyen ». En matière de contrats, il arrive qu'un contractant obtienne le consentement de son co-contractant par la violence. Pour être valable, le consentement doit émaner d’une volonté saine, libre et éclairée. L’article 1109 du Code Civil dispose qu’ « il n'y a point de consentement valable, si le consentement n'a été donné que par erreur, ou s'il a été extorqué par violence ou surpris par dol ». Ainsi, les vices du consentement

enseigne actuellement à l’Université Paris 5 au Laboratoire d’Ethique Médicale dans le Département de médecine légale et à l’Institut de criminologie de Paris. Il est aussi expert auprès des tribunaux. Il a écrit ou coécrit 13 ouvrages comme « Les violences sexuelles sur les enfants » paru en Mars 1999 aux éditions PUF, collection Que Sais-Je ? ou « Les droits des victimes : victimologie et psychotraumatologie » paru en 2003 aux éditions Dalloz, coécrit avec Serge Portelli et Sophie Clément. L’ouvrage

Agressivité, conflit, violences dans les soinsAgressivité = signifiant aller vers, ce qui est synonyme de contact · se rapproche plus de la mauvaise humeur.Violence = a pour sens agir de force sur quelqu’un ou quelque chose, abus de force, menace Donc 2 concepts bien différents  : aller vers ou agir de forceLe cadre c’est tout ce qui fait le vivre ensemble (règlement, loi, …)L’agressivité à l’opposé de la violence  :

hyperbolique désigne la joie, l’enthousiasme, ivre : perte des repères, dérision, folie : rupture totale avec le monde de la raison. Les poètes maudits : en proie a une fatalité intérieure. extrait étudié : 7/25 premiers quatrains, en alexandrins. I. La rupture A. L’ennui B. La rupture, violente et brutale C. Révolte D. Effet de fermeture II. Initiation/Transition A. Violence de la tempête, des éléments déchainés B. Inversion des valeurs C. Mer Liberatrice III. La découverte d’un monde nouveau

de marginalisation de ces poètes, qui se sentent exclus de leur société contemporaine pour deux raisons: des raisons morales: ils vivent en marge des codes sociaux et moraux de leur époque (drogues, alcoolisme, homosexualité pour Verlaine et Rimbaud, errance) --> on sait que le procès des Fleurs du Mal en 51 et la condamnation de celui-ci pour "outrage aux bonnes mœurs" a anéanti Baudelaire des raisons esthétiques: leurs textes, très novateurs, sont très peu appréciés de leurs contemporains, voire

désordre économique, la destruction de l'infrastructure freine toute possibilité de développement. - elle provoque aussi le désordre social : orphelinat, veuves, handicapés blessés de guerre , vole ,viole banditisme....bref il n'y a plus de sécurité et on a peur de tout  - les cultures, les arts et les sciences sont menacés : il est très difficile en période de guerre d'assurer le développement de ces domaines - la guerre bloque aussi toute forme d'échange nationaux ou internationaux, en effet , la peur

autoritarisme. Il a longuement évoqué un chaos social nihiliste éloigné de la conception de la vie en société. Cette doctrine se positionne en dehors du champ politique et est en rupture avec lui dès qu’il est confondu avec la scène politicienne. Sa raison d’être et son objectif sont l’autoémancipation (et donc l’auto libération) collective des travailleurs vis-à-vis des pouvoirs qui les exploitent. Pour en revenir à Bertolt Brecht, celui-ci rejoignit, en 1924, le Deutsches Theater où il rencontra

aspects : voir sur l’amour avec Julie, et sur l’éducation avec Emile (tant du point de vue du respect de l’enfant que de la prise en compte des phases différenciées de l’éducation, et aussi en ce qui concerne le primat de l’expérience personnelle sur toute autre forme d’apprentissage), pour ne rien dire du bouleversement conceptuel opéré – même avec le contractualisme classique – par l’apparition de la volonté générale dans Du contrat social) ; elle s’inscrit dans la continuité de la tradition par d’autres

cas de déséquilibre du contrat. Les vices du consentement sont au nombre de trois : l’erreur et le dol, qui altèrent le consentement dans son caractère éclairé, et la violence qui attente à sa liberté. En présence d’un vice du consentement, la nullité du contrat peut être prononcée. I . L’erreur L’erreur est toute fausse représentation de la réalité qui a conduit une personne à contracter, alors qu’elle ne l’aurait pas fait si elle avait connu la réalité. Autrement dit, la l’errans

est-elle plus forte que la vengeance ? Le désir de punir C’est a posteriori qu’on justifie le châtiment. Car avant la raison, le désir. Résultant d’une émotion violente, en général la colère, le châtiment passe pour être administré froidement. Mais au cœur de toute punition, le plaisir de tenir quelqu’un en son pouvoir, de montrer qui est le plus fort. À tort ou à raison, le punisseur, fût-il un tueur en série, a la ferme assurance d’être du bon côté, du côté de la loi, de l’ordre, du bon droit