Toxicité aiguë

toxiques sont des aldéhyde², en particulier l'acétaldéhyde³ dont la toxicité est importante. Les esters, qui désignent un groupement caractéristique formé d'un atome de carbone lié à un atome d'oxygène par une double liaison et simultanément à un groupement alcoxyle du type -O-R’, sont aussi toxiques. Enfin, les autres produits toxiques que l’on peut trouver sont des alcools autres que l'éthanol notamment le méthanol dont la toxicité sur le nerf optique est redoutable. A ces substances il faut associer

prophylactique (préventif) à 1/2 dose chez les patients : • sous AAS, AINS ou anticoagulants • âgés • avec plus de 2 poussées par an. - Traitement endoscopique ou chirurgical Fibroscopie pour dilater une sténose ou stopper un saignement. III. GASTRITE AIGUE ULCERO-HEMORRAGIQUE Inflammation de la muqueuse gastrique & début duodénum avec lésions superficielles + ou – érosives, disséminées et hémorragiques. Lésions sont labiles (changeantes). Étiologies stress majeur (post-op, polytraumatisés, grands brûlés

tissus périphériques qui ont pour résultat de provoquer un excès d'influx douloureux dans le système nerveux. • Ex : les brûlures, les traumatismes, les suites opératoires et un grand nombre de maladies. • C’est le plus souvent une douleur aiguë. • Le traitement fait appel aux antalgiques de palier I, II et III selon l’OMS Douleur neurogène (neuropathique) • Est due à des lésions du système nerveux que ce soit au niveau périphérique (ex : la section d'un nerf, le membre fantôme

reflux gastro-oesophagien. Le transit alimentaire normal (oesophage > estomac > intestin) n’est plus correctement suivi. Le bol alimentaire est refoulé de l’estomac vers l’œsophage, entraînant des brûlures et des aigreurs. L’alcool a également une toxicité directe sur l’œsophage. Il favorise la pénétration d’agents cytotoxiques au travers de sa muqueuse. Ceci entraîne une inflammation de l’œsophage : l’oesophagite. Cette inflammation peut évoluer en ulcère chez les alcoolo dépendants. L’alcool peut

............................................................................................................. 110 9.4. LA TOXICITE DES ANESTHESIQUES LOCAUX .................................................................. 110 9.4.1. LA TOXICITE LOCALE.......................................................................................................... 110 9.4.2 TOXICITE GENERALE............................................................................................................ 111 9

transpiration excessive, somnolence, nausées, vomissements. Fréquents : vertiges, palpitations, bouche sèche, rétention urinaire. LOVENOX (anticoagulant): risques d'ecchymoses, de gingivorragie, risque embolique Paracétamol (antalgique palier 1): risque de toxicité hépatique, réactions allergique cutané, anomalie de la NFP Augmentin: nausées, éruption cutanée, démangeaisons, maux de tête Réactions humaines physiques: ● Insomnie ● Perte de poids Réactions humaines psychologiques: ● Anxiété ● Depression ● Refus

physiques et intellectuelles, dépression (en association avec ravensare) Impuissance fonctionnelles Dans les états grippaux, angines, bronchites, otites Diarrhées infectieuses, colites et entérocolites, manque d’appétit, digestion difficile Cystite aigüe, bactérienne, candidosique Vermifuge. Voie cutanée : • • • • Furoncle,engelure, impétigo, abcès, verrue Acné Folliculite Préparation musculaire à l’effort Bains : • Action stimulante et tonique, favorisant la circulation • Cellulite HE CAROTTE

agricoles en renforçant la pousse des plantes. Elle a eu pour majeur conséquence la pollution des eaux superficielles et profondes par les nitrates ce qui va nécessiter par la suite un budget important afin de les nettoyer. Ces substances ont une toxicité aigüe et chronique élevée pour l’homme et les animaux. Le développement des engrais naturels est une étape importante de la production et permet à l’entreprise qui l’utilise de se créer une image bénéfique aux yeux des consommateurs de plus en plus

n’engendre que l’effet thérapeutique. 2- Sélectivité : - Le médicament en plus de la spécificité d’action, une forme de sélectivité (localisation préférentielle) doit être développée. 62 3- Toxicité : -Les molécules destinées à la thérapeutique humaine doivent subir, avant tout essai clinique, des tests de toxicité aiguë et chronique chez l’animal, dont le + classique est la DL50. - L’index thérapeutique évalué en expérimentation animale à cause de la DL50, est le rapport DL50/DE50. 4- Variations individuelles

provenant de la circulation veineuse. La fréquence est d’environ 100 000 cas par an en France. Les EP graves, obstruant plus de 50% du lit vasculaire, représentent 5% de l’ensemble des embolies pulmonaires aiguës. La mortalité hospitalière globale de l’EP aiguë est inférieure à 10%, elle atteint 25% quand existe un choc cardiogénique et plus de 65% quand survient un arrêt circulatoire. Parmi tous les patients avec TVP proximale symptomatique des membres inférieurs, 40-60% ont une embolie pulmonaire asymptomatique