Tp Compression Bois

plus important pour les femmes sauf chez les employées. • les conditions d’emploi des femmes sont souvent des facteurs aggravants des conditions de travail : postes peu qualifiés, précarité (CDD, CDI instable, temps partiel subi : 31 % des femmes à TP versus 6 % des hommes dont respectivement 31 % des femmes et 40 % des hommes veulent travailler plus). Jennifer Bué de la DARES en conclut (séminaire interne ANACT « Genre » du 27 juin 2008) qu’il y a un « effet de genre » des conditions de travail

des ménages sur la période 1995-1997 100% 80% 60% 40% 20% 0% ré frig ér ate co mb lav ur iné eré linge frig ér ate mi cro ur -o n co des ng é lav late u eva r iss sè elle ch elin ge (d tél on év tp i lus sion ieu c rs oule tél ur é ma visio n gn éto s) sc op ch aîn e e ca hi-fi mé sc op e (d on un tp lus e v ieu oitu r rs vo e itu re s) Téléphone 91,0 91,7 95,6 84,5 95,6 87,8 77,2 90,8 98,1 98,0 73,8 91,3 99% 90% 92% 79% 54% 59% 58% 47% 47% 35% 24% 15% 45% 27% 20% 28% 15% 15% Equipement

rétiniens pour un peu plus d’un million de cellules ganglionnaires (Imbert, 2001), dont les axones véhiculeront l’information lumineuse jusqu’au corps genouillé latéral, qui est un noyau externe du thalamus. On prend alors la mesure du taux de « compression » de l’information employé par le système visuel humain. Figure 10 : Coupe de l’œil. La rétine tapisse le fond de l’œil, à l’exception de la naissance du nerf optique, qui correspond à la tache aveugle. La fovéa et la macula lutéa sont les zones

organisations situées dans des fuseaux horaires différents qui doivent travailler ensemble font appel au stockage temporaire (”store-and-forward”) et aux bases communes de données comme moyen de compenser les différences horaires. Mais, cette impression de compression du temps et de l’espace inoculée par les NTIC s’explique peut-être plus par une augmentation de la largeur de la bande passante des réseaux de communication, que par l’augmentation des vitesses de transmission proprement dite (Madnick, 1995, p.

ou d’opérations de prêts/emprunts) et consistent de plus en plus à prendre des risques en profitant d’opportunités ponctuelles ; ces opérations relèvent de la spéculation [cf. l’analyse du phénomène en dossier 3B, p. 104, ainsi qu’une illustration en TP 2, p. 107]. latif (certains opérateurs y intervenant au travers d’opérations à risque). Ce marché connaît une forte progression de ses transactions depuis une vingtaine d’années. Un taux de change entre chaque paire de devises est mis à jour quasi

ou d’opérations de prêts/emprunts) et consistent de plus en plus à prendre des risques en profitant d’opportunités ponctuelles ; ces opérations relèvent de la spéculation [cf. l’analyse du phénomène en dossier 3B, p. 104, ainsi qu’une illustration en TP 2, p. 107]. Doc. 4, p. 97 1. En 1989 : 350+240+30 = 620. En 2010 : 1 490 + 2 240 + 251 = 3 981. Augmentation 1989-2010 : 3 981  620 = 6,42 Entre 1989 et 2010, le volume quotidien des transactions sur le marché des changes a été multiplié par 6

demander les indicateurs fondamentaux pour connaître les valeurs essentielles. Suivant le très classique adage « ce qui n’est pas mesuré, n’est pas géré », le reste n’est souvent, au mieux, qu’objectifs secondaires et, bonnes intentions ou langue de bois. Plus encore, comme on le verra dans le chapitre consacré aux ressources humaines, les indicateurs expriment concrètement les attentes normatives de l’organisation vis-à-vis de ses membres et constituent un puissant levier d’acculturation. Au point

demander les indicateurs fondamentaux pour connaître les valeurs essentielles. Suivant le très classique adage « ce qui n’est pas mesuré, n’est pas géré », le reste n’est souvent, au mieux, qu’objectifs secondaires et, bonnes intentions ou langue de bois. Plus encore, comme on le verra dans le chapitre consacré aux ressources humaines, les indicateurs expriment concrètement les attentes normatives de l’organisation vis-à-vis de ses membres et constituent un puissant levier d’acculturation. Au point