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des ruines)4. Le peuple allemand vit dans une grande misère. Les gens, pour survivre, sont obligés d’aller dans les campagnes, échanger de la nourriture. La situation est aggravée par les migrations de population : La libération des camps de concentration, de travail et des prisons a laissé des millions5 de « personnes déplacées » sur les routes, à la recherche de leur famille, de leur habitation ou à défaut, d’une nouvelle habitation. Les soldats de retour du front se retrouvent dans la même situation

ainsi le pacifisme. On peut faire un lien avec « Home Sweet Home » d’Arman qui est aussi dans le contraste de la guerre avec des couleurs sombres, il ya « Nuit et Brouillard» de Jean Ferrat est une chanson en mémoire des victimes des camps de concentration nazis de la Seconde Guerre mondiale, et en particulier en mémoire de son père, Juif émigré de Russie mort à Auschwitz. CONCLUSION Les trois personnages jouent dans une pièce sombre. Cette toile est une peinture à l’eau avec des traits nets

Nuit et Brouillard est une chanson de Jean Ferrat sortie en décembre 1963 sur l'album éponyme chez Barclay. Jean Ferrat en est l'auteur-Compositeur et l'interprète. Chanson en mémoire des victimes des camps de concentration nazis de la Seconde Guerre mondiale. Nuit et brouillard évoque également pour Jean Ferrat un drame personnel et douloureux, la disparition de son père, juif émigré de Russie, arrêté puis séquestré au camp de Drancy par les autorités françaises, puis déporté (le 30 septembre 1942)

de concentration et d'extermination. Il se situe dans la ville d'Oswiecim. Oswiecim, Auschwitz en allemand est une ville de 10000 habitants dont 4000 juifs (en 1939), située dans la partie orientale de la Haute-Silésie. Elle est entourée de vastes terres en friches, marécageuses, faiblement peuplées et peu fréquentées. Cependant, elle se trouve sur la ligne ferroviaire Katowice-Cracovie et elle est reliée au reste de la Pologne par beaucoup de voies de communication. Ce camp de concentration, dirigé

frère Jean sont déportés en Lituanie par le convoi 73[8]. Simone Veil ne les a jamais revus. Le 13 avril 1944, soit deux semaines après leur arrestation, Simone, sa mère et sa sœur Madeleine sont envoyées de Drancy (convoi n°71), vers le camp de concentration d'Auschwitz-Birkenau où elles arrivent le 15 avril au soir. Un prisonnier parlant français lui conseille de se dire âgée de plus de 18 ans pour passer la sélection et éviter l'extermination. Elle reçoit le matricule 78651 qui lui est tatoué sur

l'organisation et de l'armée laissant Staline seule au pouvoir. Staline sous son régime instaure une particularité a la répartition des pouvoirs notamment a un pouvoir central centre donc sur un chef. Lénine (1870-1924) créa le premier camp de concentration bolchevik (mouvement ouvrier russe partageant les idées de Lénine) en 1918 et le premier camp de travail forcé du Goulag en 1919 fait il ne faisait que reprendre pour le généraliser et le durcir le système carcéral des camps de travail (Katorgas)

Robert ne cesse de s’intensifier. Choqué par la guerre,  il adhère à plusieurs mouvements antifascistes. En février 1944, il est finalement arrêté par les nazis suite à une dénonciation. Il va en prison et est transféré dans plusieurs camps de concentration comme celui de Buchenwald et continue à écrire des poèmes et des lettres à sa compagne Youki restée à Paris. Il est finalement évacué vers le camp de Theresienstadt en Tchécoslovaquie suite à la progression des armées alliées. C'est là-bas qu'il

demeure donc au final seul. On voit d’ailleurs que à peine libéré, il est mis à l’écart, il reste tout de même l’intouchable, le sale, le maigre, le méconnaissable. Pour les Alliés, les faits rapportés par le déporté sur la vie dans le camp de concentration sont tout simplement inimaginables. Le monde extérieur ne veut pas avoir accès à ce savoir effroyable (P 317 : « Frightful, yes, frightful ! Oui vraiment effroyable »). Tout à la fin, le déporté dit au narrateur « wir sind frei » (nous sommes libres)

Raflées dans les grandes villes d’Europe et déportées en train jusqu’en Pologne, de nombreuses personnes mouraient pendant le transport dans les wagons à bestiaux. A l’arrivée, le tri était fait entre les valides qui partaient vers les camps de concentration pour travailler et les autres que les S.S dirigeaient vers les chambres à gaz. En Russie et surtout en Ukraine, les populations juives étaient éliminées par balle par des commandos les Einseitzgruppen, de l’armée allemande. Au cours du Tribunal

revint. Il était l'un des rares survivants du camp d'Auschwitz-Birkenau, autrement appelé Pitchipoï..... Avis : J’ai beaucoup aimé ce livre. C’est un véritable témoignage très touchant de la vie éprouvante des Juifs pendant la guerre (camps de concentration et d’extermination, plus aucun droit ou libertés, ne plus être considéré comme un humain..). Il est très émouvant. Il m’a fait me rendre compte des horreurs que les hommes sont capables de faire et font. Il m’a aussi prouvé que j’étais très chanceuse