Tpe Morphine

antagonistes sur les récepteurs NMDA (Nméthyl-D-Aspartate) au glutamate au niveau médullaire. De faibles doses de kétamine permettent : - un effet antalgique propre au produit ; - une prévention de l’hyperalgésie induite par l’administration de morphine ou morphinomimétiques (tolérance aiguë aux morphiniques du fait de la réduction d’efficacité des récepteurs morphiniques) ; - une épargne morphinique ; - une diminution des risques de mémorisation par sensibilisation centrale secondaires à la

Habituellement, les alcaloïdes sont des dérivés des acides aminés. Bien que beaucoup d'alcaloïdes soient toxiques (comme la strychnine ou l'aconitine), certains sont employés dans la médecine pour, par exemple, leurs propriétés analgésiques (comme la morphine, la codéine), dans le cadre de protocoles de sédation (anesthésie) souvent accompagnés d'hypnotiques, ou comme agent antipaludéen (quinine, chloroquine) ou agent anticancéreux (vinblastine, vincristine). Il existe un type d'alcaloïdes contenant

ECHELLE DOLOPLUS EVALUATION COMPORTEMENTALE DE LA DOULEUR CHEZ LA PERSONNE AGEE NOM : Service : Prénom : DATES Observation comportementale RETENTISSEMENT SOMATIQUE 1• Plaintes somatiques • pas de plainte . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • plaintes uniquement à la sollicitation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . • plaintes spontanées occasionnelles

injectable 5 ampoule toutes les 24h Topalgic [Tramadol] (Autre opioïde) 100mg/2ml en solution injectable 4 ampoule toutes les 24h Inexium [Esomeprazole] (Inhibateur de la pompe à protons] 40mg en solution injectable toutes les 24h Si besoin : Morphine (Analgésique opioïde) en solution injectable sous cutané 10mG si EN>3 Ondansetron (Antagoniste de la serotonine) en solution injectable 2mG si nausées Droleptan (Anesthésique) en solution injectable 2,5mG si nausées et vomissements Loxen (Antihypertenseur)

globules rouge => développement de ceux ci => a maturation passage de moelle oseuse => sang => rein cœur poummon cerveau Oxygénothérapie : phase terminale plutot. Morphine role dans la dyspnée : quelque que soit la forme eupnéisante et entraine depression respi a dose importante ou en cas d’insuff rénale. Dose de morphine adapté, pas de dépréssion respi car elle est eupnéisante et donc régulatrice de la dyspnée. Insuff rénale ( surtt) et aussi en insuff hépatique : attention dans l’intoxication

comportementale On peut être dépendant à un comportement, c'est-à-dire qu’on ne peut s’empêcher de faire quelque chose. Par exemple, on peut être « drogué » à faire énormément de sports ( cela produit à l’intérieur du cerveau une espèce de morphine que le corps fabrique lui-même ) , ou à travailler énormément, ou à jouer des jours et des nuits entières à des jeux vidéo, ou à jouer à des jeux d’argents en ligne ou au casino, ou à avoir certains comportements sexuels, ou encore a voler pour le

trafiquant . Pour sa production : On l'encourt la perpétuité sur des bases d'accusation L'HEROÏNE : Production : L’héroïne est substance dérivé de l'opium semi-synthétique obtenu à partir de la morphine , elle-même tirée du latex du pavot . Elle est obtenue par l'ajout d'acide dans la morphine . L’équipement nécessaire à la production est sommaire même si un laboratoire et des compétences minimums sont requises pour obtenir un produit de qualité. Nombre de laboratoires sont en fait des campements

(antalvic, avafortan, codoliprane, efferalgan, codéiné, dafalgan codéiné, propofan, acupan). *Douleur modérée à sévère (palier III) : utilisation d’antalgiques centraux morphiniques associés ou non à des antalgiques non opiacés et/ou adjuvants (morphine chloridrate inj.skenan, palfium, rubain, dolosal, temgésic). Chaque palier ne sera atteint que lorsque les médicaments du palier précédant, utilisés à dose optimale, se révèlent insuffisant ou inefficaces. Pour conclure, devant ces trois cas

technologique a également joué un rôle important avec l'apparition des seringues hypodermiques. Mais ce sont les travaux des chimistes et de médecins qui sont à l'origine de la multiplication des produits offerts: dérivés de la coca et surtout de l'opium (morphine, puis héroïne). Le regard sur la consommation de drogue change à partir du début du XXe siècle, notamment sous l'influence des Etats-Unis qui se dotent des premières législations prohibant son commerce et qui organisent une première conférence internationale

quelques annes, lalcool (sauf dans les pays pratiquant un islam strict), les produits pharmaceutiques tels les tranquillisants ou les excitants. Dans le second groupe se trouvent le cannabis (marijuana ou haschisch), les stupfiants drivs de lopium (morphine, hrone), les stimulants drivs de la coca (cocane, crack), les molcules de synthse comme le LSD ou lecstasy et les champignons hallucinognes. I. Lalcool Lalcool est la drogue la plus banalise. Il se prsente sous forme de vin, de bire ou de spiritueux