Tpe Shoah

évolué, suivant le message qui voulait être transmis à l’opinion publique. Comment et dans quels contextes ces mémoires ont-elles évolué ? Tout d’abord nous étudierons la mémoire du régime de Vichy, puis nous verrons l’évolution de la mémoire de la Shoah, enfin nous tenterons de mettre en évidence le rôle de l’historien dans les mémoires et l’Histoire. La mémoire de Vichy : Le mythe résistancialiste La période (de 1945 à la fin des années 60), définition et défenseurs (Gaullistes et communistes

l’humanité : nouveau chef d’accusation établi à la suite de la découverte de l’horreur des camps d’extermination. • Ligne Oder/Neisse : nouvelle frontière entre la Pologne et l’Allemagne. Elle ne sera reconnue qu’en 1975 lors de la conférence d’Helsinki. • Shoah : terme désignant aujourd’hui l’extermination de tous les Juifs d’Europe telle que les nazis l’avaient planifiée. Elle fut finalisée lors de la conférence de Wannsee en janvier 1942 et mise en œuvre avec des méthodes industrielles. © HATIER 2009

Bilan de la seconde guerre mondiale Bilan humain. 1) Bilan démographique. La seconde guerre mondiale a fait plus de 50 millions de morts (10 fois plus que la première guerre mondiale ).L' Europe est là plus touchée avec 40 millions de morts. La moitié d'entre eux sont des civils. Cette guerre est aussi responsable de la chute de taux de natalité. On parle des classes creuses qui auront des conséquences pour l'avenir. La guerre a laissée des séquelles sanitaires importantes : des

primordial de s'interroger sur la place qu'occupe la mémoire de la Shoah et du Goulag dans l'Europe élargie à 27. Peut-on intégrer les pays de l'Est dans la construction européenne sur la base d'une mémoire commune ? La réunification du continent européen dans le domaine des cultures mémorielles apparait ainsi plus difficile que la réunification politique. I – Un "rideau de fer mémoriel" 1.L'Europe de l'Ouest et le paradigme dominant de la Shoah Dans l'Europe occidentale post guerre mondiale, s'est créé

juif, David Ben Gourion lance : « Qui veut et peut garantir que ce qui nous est arrivé en Europe ne se reproduira pas ? [...] Il n’y a qu’une sauvegarde : une patrie et un État. » On imagine la force de l’argument en 1945 après la découverte de la Shoah... Or l’opinion occidentale ignore tout des Palestiniens, lesquels ne font pas grand chose pour s’en faire comprendre : les dirigeants arabes palestiniens, en tête le grand mufti (de retour de Berlin où il a supervisé pendant deux ans les divisions

Au moment où la guerre éclate en 1939, W.S. est alors pianiste pour la radio nationale polonaise et mène une vie paisible et insouciante avec ses parents, son frère et ses doeux soeurs dans un quartier de Varsovie. Il ne se doute pas de ce qui va arriver même lorque les bombes allemandes commencent à ravager la capitale polonaise. Suite à la capitulation polonaise, la situation se déteriore encore mais W.S. veut se persuader que les choses vont s'améliorer. Il assiste impuissant à l'exécution en

Introduction :   ➢ ¬      1945 : fin de 6 ans de combats, fin de la conflagration la + imp. que le monde ait connu   ➢ ¬      8 mai 45 : capitulation de l’All   ➢ ¬      2 sept 45 : capitulation du Japon   ➢ ¬      mais dès le début de l’année 1945, c’est le temps des bilans et des premières reconstructions   ➢ ¬      monde différent de celui de 1939 ; bouleversements profonds ds les pays touchés par la guerre ; deux tendances : - -         poursuite du déclin

Le texte fait référence à la Shoah : « wagons plombés », « nombres ». Les Häftlings subissent une déshumanisation, la perte de leur identité. C'est le début du voyage, puis vient le tatouage, la mort est suggérée par diverses images. Évocation de quelques survivants. Strophe 6 : arrêt sur image : le poète est interpelé au plus haut point de la cruauté : c'est l'acmée du poème. Dans les vers 6 et 7, l'image développée exprime la fatalité. Il y a un parallélisme : la main (Allemands) jette les dés

sur 7Introduction En 1939, l’Europe comptait 9 millions de juifs. En 1945, le génocide perpétré contre les juifs a causé la mort de 6 millions d’hommes, de femmes et d’enfants Le meurtre de millions de juifs et d'autres " non-Aryens " pendant la Shoah est le plus grand crime contre l'humanité jamais connu. Il fut rendu possible par une conjonction unique de facteurs : o le contrôle total exercé sur un État moderne par le régime totalitaire national-socialiste o la coopération active ou le consentement

papiers d’identité. De la même façon, ils accordent leur soutien à l’arrestation, la spoliation, l’exclusion et la déportation de juifs étrangers, venus trouvé asile en France, puis de juifs français. Ils participent notamment au génocide juif ou « Shoah » instauré par « la solution finale » de Wannsee en 1942. Cette « solution » est rendue possible par la collaboration policière française et la création d’une police spéciale : la milice. Elle a un rôle similaire à la Gestapo ; à savoir le recensement