Traditions Maroccain

CHRISTIAN BOLTANSKI : 1. Biographie  Christian Boltanski est né le 6 septembre 1944 à Paris. Il est issu d’une famille juive. Après une adolescence sans scolarité régulière et sans avoir véritablement reçu de formation artistique traditionnelle, il commence à peindre en 1958 (il n’a que 14 ans). Il se tourne vers l’installation en 1976. Il développe une œuvre où se mêlent réalité et fiction. La mémoire, l’existence et la disparition sont les thèmes récurrents de ses œuvres. Dans un premier

confrères étrangers. Cependant, cette situation n’est pas unique à l’échelle de tout le mouvement. La séparation des dénominations des vieux-croyants avaient toujours pour cause la dissidence par rapport à la question de conservation des rites et traditions considerés comme orthodoxes. La radicalisation de certaines branches s’accompagnait par l’augmentation de distantion envers la société laïque, mais la nécessité de surive a posé le problème de coexistence avec cette société. Pour essayer de

fois-ci, dont elle méprise la passivité avec « donnés, reçus, suivis en forme passive» et l’irréflexion par les 3 compléments « au hasard, sans examen, par habitude ». Femmes auxquelles manquent l’esprit critique, l’examen méthodique,et le rejet des traditions prôné par l’esprit des Lumières alors qu’elle s’est livrée à de « profondes réflexions » , adoptant une démarche active « je les ai créés » pour se construire, laisser mûrir comme un « fruit » ses principes de conduite.

Andalouse au Maroc, celle la résulte de l’afflux massif de réfugier Andalous dès le 12 siècle jusqu’à la fin du 15ème siècle puis par l’exile de Morisques au début du 17ème siècle. Elle est caractérisée par plusieurs aspects : musique, coutume, traditions, langage, architecture ,art culinaire que nous connaissons tous aujourd’hui. Concernant l’Amazigh, la consécration de l’amazighité par la nouvelle constitution en tant que langue nationale officielle constitue un passage nécessaire pour la réconciliation

est la cause de la mésentente qui existe au sein de la famille Benfa. Devant la réticence de la fille, Benfa ne voit d'autres solutions que de l'éloigner au village de son frère Djigui.C'est l'occasion pour Kany de reprendre contact avec certaines traditions ancestrales, de plaider sa cause auprès du père Djigui qui finalement décide d'intervenir en sa faveur. Devant l'autorité de son frère aîné, Benfa s'incline, ce qui provoque l'espoir du jeune couple. Le mariage coutumier n’y échappe pas. En Afrique

s’envole et les traditions de celui-ci. Mais le but d’un voyage ne serait-il justement pas de se rendre dans un pays étranger pour y découvrir toute une nouvelle culture et de nouvelles traditions ? N’est-ce pas aller à la rencontre de l’autre ? Le voyage doit être un exercice pour notre curiosité. Nous devrions tous partir à la découverte de d’autres peuples pour « ne pas mourir idiot » et pouvoir nous demander pourquoi nous ne sommes pas tous égaux par rapport à nos traditions et à notre

ces routines ou ces modes de vie sont reliés à des traditions. Souvent, les traditions sont reliées à la famille ou à la religion. C’est pourquoi, dans ce texte, j’analyserai le texte de Louvigny de Montigny, >. Dans le premier paragraphe, je parlerai de la fête du mardi gras et du mercredi des cèdres et dans le deuxième paragraphe, je parlerai des superstitions qui sont reliés au texte. Premièrement, je trouve que le thème des traditions dans le conte est très présent comme, par exemple

gens et sur le monde. Voyager permet de se faire une propre opinion sur le monde et sur les differentes populations de ce monde. Faire "le globe trotteur" ou "le tour du monde" permet de découvrir les diverses civilisations et leurs coutumes, leurs traditions, de ce monde. Voyager nous permet aussi de connaitre des modes de vies, des habitudes qui nous sont inhabituel, on peut voir differentes manieres de vivre, des sports traditionnels, des spécialités culinaires, des religions, des paysages divers

l’amour, de la paix ou de la compassion dans leurs textes fondateurs. Et pourtant, la violence n’est pas exclue de ces récits fondateurs où elle occupe même une place majeure, comme le montrent les actes de divinités — y compris dans la Bible et la tradition chrétienne — qui n’hésitent pas à user de la violence pour parvenir à leurs fins. Or, la violence implique la souffrance de ceux et celles qui en sont l’objet, et cela trop souvent comme victimes innocentes, victimes dont la figure de Jésus crucifié

pourquoi je crois que l'histoire et le patrimoine sont intimement reliés à toutes les facettes de la création. C'est très intéressant, par exemple, de voir qu'une oeuvre d'art, qui paraît révolutionnaire au moment de sa création, fait partie de la tradition dix à quinze ans plus tard. Tout va vraiment très vite. C'est une façon de construire une continuité. • «Une des Idées que l'on peut qualifier de post-moderne, c'est que si on veut une ville avec une continuité, de l'animation, il faut avoir des