Trafic d'armes

évolutions du champ d’application de la 3ème directive ainsi que ses limites. I ) Définition de la lutte anti blanchiment Le phénomène de blanchiment d'argent est un processus servant à dissimuler la provenance criminelle de capitaux (trafic de drogue, trafic d'armes, corruption, etc.). L'objectif de l'opération, qui se déroule en général en plusieurs étapes, consiste à faire croire que des capitaux et valeurs patrimoniales illégalement acquises ont une source licite et à les insérer dans le circuit

aussi connue pour plusieurs autres crimes organisés, en Sicile et autour du monde. Certains de ces crimes consistent de la corruption politique, l’extorsion, le kidnapping, la fraude, la contrefaçon, l’infiltration d’entreprise légitime, le trafique d’armes et pour la plupart, le trafique de drogues et les assassinats. Les experts du secteur en Italie estiment que leurs activités criminelles dans le monde entier valent plus de 100 milliards de dollars par ans. (www.fbi.gov/about-us/investigate/organizedcrime/italian-mafia)

dispositifs de lutte anti-blanchiment paraissent vulnérables, également blanchir de l'argent consiste à faire camoufler la vraie source de l'argent gagnée lors des activités criminelles tel que le trafic des stupéfiants, la contrebande, la fraude, terrorisme, la corruption ,la drogue , La vente illégale d’armes, les activités de la criminalité organisée, et les réseaux de prostitution… Etant donné que le blanchiment de capitaux touche plusieurs secteurs le plus important dans le Maroc est le secteur

vous remercie d’avoir répondu à l’invitation du Ministre des Affaires étrangères qui a souhaité renouveler la mobilisation contre ce fléau. Vous connaissez la position de la France : la drogue est une gangrène qui menace chaque pays touché par son trafic, qu’il soit producteur, transitaire ou destinataire. Une gangrène répandue sur tous les continents et aggravée par la mondialisation. Une gangrène qu’il faut combattre dans toutes ses dimensions, loin en amont des routes, par une combinaison d’approches

blindées, car ils savent que tout peut arriver et qu’au tout moment le feu peut être ouvert et qu’ils s’engagent dans une guerre non-déclarée, faisant environ 6.000 victimes chaque année. À Rio, il y a en moyenne 800 bidonvilles où règne violence et trafic de drogues ainsi qu’une guerre entre les autorités et les dealeurs. La police commence leurs interventions tôt dans la matinée pour être sûrs de cueillir les trafiquants à leur réveil. L’objectif étant de se débarrasser des dealeurs afin d’investir

disparition Page 6 : 2/ La production de drogues Page 7 : 3/ L’acheminement dans le monde Page 8 : Carte et graphique de l’acheminement dans le monde Page 9 : Conclusion du I° II° Les effets socioéconomiques en Colombie 1/ « L’impact » du trafic de drogue dans l’économie Page 11 : 2/ « L’impact » sur la population Page 12 : Conclusion II° III° L’organisation de la lutte anti-drogue 1/ Le plan Colombie… Page 13 : Suite du 1/. Page 14 : 2/ …et son échec. Conclusion du I°

des bandes tirent régulièrement sur les lampes des halls et des cages d’escalier : rentrer chez soi à la nuit tombée représente une expérience terrifiante. Les appartements vides sont autant de centres d’activité pour les gangs, le trafic de drogue, le stockage d’armes et l’installation illégale de clochards et des criminels que l’on vient de libérer." D’après le Monde Diplomatique, mai 1991 – cité dans Nathan 6° 2000 QUESTIONS 1 Doc n°1 :

souterraine : ce sont des activités légales réalisées illégalement. - La production illégale : il s’agit de la production de biens ou de services dont la vente, la distribution ou la possession interdites par la loi (comme par exemple le trafic de drogue ou d’armes), et des activités productives légales mais exercées par des producteurs n’en n’ayant pas l’autorisation. - La production du secteur informel : production marchande réalisée par des entreprisesnon constituées en societés, avec un capital

et dans les pays de l'ex-Union Soviétique. Les Bratva sont spécialisées dans les crimes et les actions illégales les plus divers tels que, le racket, les enlèvements et les assassinats, la corruption de fonctionnaires et politiques, le trafic de drogues et d'armes, le blanchiment d'argent, la prostitution, le proxénétisme, la traite des femmes, le passage de clandestins, les enlèvements, les extorsions, l'infiltration d'entreprises légales et le "cyber-crime". On les trouve plus specialement à Yekaterinburg

l'aspect judiciaire intérieur, cette politique possède aussi un versant extérieur, le trafic de drogues étant contrôlé par différents cartels, dont le Cartel de Medellín. À peine un an après la chute du mur de Berlin, la politique prohibitionniste de Washington fournit le prétexte de l'opération Juste Cause (décembre 1990), une invasion du Panama afin de capturer Manuel Noriega, le dictateur local, inculpé de trafic de stupéfiants, mais ancien allié des États-Unis. Washington met par ailleurs sur pied