Tragique L étranger

Texte Tragique B) Mise en garde contre les dangers de l’orgueil Coq = fierté, orgueil  chp lex gloire, victoire MAIS aussi défaite  Orgueil mène à la défaite v. 23 : Métonymie du coq insiste sur l’orgueil Morale à l’impératif = mise en garde  Critique de l’orgueil de la noblesse méprisante C) Une critique de la guerre Pol belliciste de Louis XIV critiquée  Chp lex guerre Coq = symbole de la France  texte polémique Texte 2 : « De la Cour », La Bruyère I. Un regard étranger A) La

le parricide s’arrêter, le poignard levé, et vous faire l’éloge de l’amour ») Le message délivré par le jardinier est contraire à la tragédie. Question : pourquoi Giraudoux a-t-il choisi la tragédie pour passer ce message ? • Un personnage tragique ne peut pas délivrer ce message. Agathe et le président, qui appartiennent un peu à la tragédie, mais plutôt au drame bourgeois, ne sont pas assez purs. -Jardinier se pose en intermédiaire entre les personnages et les dieux. Si le jardinier est

dignité qu’elle n’a jamais eu) La mort de Clytemnestre est pathétique mais pas tragique en raison de son manque de dignité. II - La mort tragique d’Égisthe A) Une lenteur solennelle Ce récit dure plus longtemps que celui de la mort de Clytemnestre : phrases longues, juxtapositions fréquentes, ainsi que la coordination. Répétition de "lutter" équivalent à son courage. Anaphore de "Alors" B) Un personnage tragique 1) Un drame intérieur : il meurt en criminel alors qu’il s’est transformé

ses hallucinations) B) Registre pathétique. - pitié et poignant : mouvement du corps (pauvre corps tordu’ etc..) liens entre Dide et Silv (‘attira S vers sa poitrine’ etc..) et discours de Tante (‘que de lames’, ‘j’ai souffert’ etc.. -détails étranges : escargot et larmes d’argent. Escargots représentent la frustration d’Adélaïde, ce qu’elle ne peut exterioriser et qui se reporte sur l’escargot. Larmes d’argent = larmes d’Adélaïde + souffrance exprimée à travers les escargots. C) Une tension

scènes imaginaires C. Permeke (1886-1952) Dans le mouvement allemand : E. Kirchner (1880-1938) G. Klimt (1862-1918) Norvège : Munch (1883-1944) Russie : M. Chagall (1887-1985) Toutes les peintures ont été peintes au 20e siecle. Angoisse, sens du tragique et volonté outrancière de les exprimer avec un maximum d’intensité. Le peintre ferme les yeux sur ce qu’il voit pour exprimer ce qu’il sent en fonction de son tempérament. Le peintre ne cherche pas à représenter la réalité ni l’impression qu’il en

écriT son premier poème Les Pâques. Il le publie à Paris en 1912 sous le pseudonyme de Blaise Cendrars. En 1913, il écrit son poème le plus célèbre, la prose du Transsibérien. Dès le début de la première guerre mondiale il s'engage comme volontaire étranger dans l'armée. En 1915, il est amputé du bras droit. Il est naturalisé français le 16 février 1916. En 1925, il écrit l'Or. Ce succès mondial va faire de lui, durant les années 1920, un romancier de l'aventure. Dans les années 1930, il devient grand

Toinette joue la parodie du désespoir tragique pour duper Béline. Si le registre n qu’elle emploie est celui de la tragédie, le public complice de son stratagème perçoit son exagération comique. Ainsi, Toinette multiplie les interjections – « Ah » (l.1,4) répété trois fois, « hélas » (l.8) - associées à des phrases exclamatives. Elle emploie le champ lexical du tragique dans une énumération saisissante digne d’un alexandrin classique : « Dieu », « malheur », « étrange accident » (l.1). Le terme « mort

malheureux et funeste. Il consiste en la résolution ou l’élimination des obstacles qui constituaient le nœud. Il doit être vraisemblable et rapide. Le dénouement dans la comédie: toujours heureux, repose parfois sur l'intervention d'un personnage étranger à l'action. Le dénouement dans le drame : apporte une résolution au conflit. Il peut être l'aboutissement logique des tensions, le fruit d'une ultime péripétie, un retournement de situation. Les formes conventionnelles du dialogue théâtral Définition

le pouvoir du roman n’est pas de délivrer une legon pu sophique, mais de soulever des questions @ partir de la vie d’un héros roman révéle une conception de l’existence. Celle proposée par C dans L’Etranger est tragique. En effet, le meurtre commis par Me apparait comme le résultat d’un enchainement inéluctable retour sur la plage, la rencontre fortuite avec l’un des ‘partici rixe, le soleil aveuglant : tout est involontaire, et tout s’enchaine jusqu’au coup meurtrier

donc une phrase nominale, qui est monotone. - Vers 8 : C'est encore une phrase nominale, elle n'a pas de verbe. Et il y a encore une coupe parfaite. Le passé plein de gloire est mis en valeur et opposé avec le présent tragique de la défaite. Ce vers mesure toute la défaite tragique de Napoléon. Il pourrait servir de titre. Maintenant, Hugo va nous présenter une série de gros plans sur l'armée. - Vers 10 : Pour la troisième fois, "il neigeait" apparaît. On a l'impression que la neige le fait exprès