Traite arabe

son statut juridique, politique et culturel, ainsi que le but de son enseignement. 2) Histoire et Statut juridique de la langue française au Maroc Le français fut implanté au Maroc en 1912, à la faveur du Protectorat. Depuis la signature du traité de Fès, le 30 mars 1912 jusqu'à la proclamation de l'indépendance le 2 mars 1956, le français était la langue officielle du régime du protectorat et de ses institutions. Lors de l’indépendance, le Maroc a opté pour l’arabe comme langue officielle

Moyen-Age, en Egypte par exemple, où l’arabe prend de l’importance et où les églises coptes connaissent un déclin relatif. Il y a eu une arabisation linguistique assez rapide des Chrétiens syriens ou coptes ; tous les textes coptes sont traduits en arabe dès le XIe siècle, par exemple. Les conversions à l’Islam sont de plus en plus fréquentes durant les  premiers siècles de la domination musulmane, mais les conversions forcées restent toutefois rares à cette époque. Les Chrétiens sous la domination

Histoire et géographie des peuples arabes " Le climat (du Hedjaz*) amaigrit le corps, dessèche la matière cérébrale, fortifie le cœur, détruit les pensées généreuses et prédispose à la haîne " Masudi, Prairies d'Or 977 *La région de la Mecque ; en arabe, la " Barrière " IV Hobal, Allah et ses filles q V Des gens et des livres, Juifs, Chrétiens, Iraniens q VI "Le livre des pays" q VII Mahomet 570610 q VIII Les mythes de la caverne q IX Une secte contre la cité q § 11. — Présentation

Said, comme il le raconte dans A contre voie est «  un arabe éduqué à l’occidental », passionné de littérature, de poésie et de piano. Sa famille , installée en Egypte en 1947, l’envoi étudier aux Etats- unis en 1963, il devient professeur de littérature comparée à l’Université Columbia de New York. Intellectuel et musicologue, grand lecteur de Ardono, Foucault, Edward Saïd aimait se définir comme « intellectuel juif, palestinien, libanais, arabe et américain ». De fait , il n’aura cessé dans ses écrits

acquis ce rang de nouveau géant économique, le Qatar veut aussi mettre en avant son image. Tout d’abord, en lançant sa chaîne Al Jazeera en 1996. La chaîne est rapidement diffusée dans 35 pays différents et permet ainsi de promouvoir l’image du monde arabe à travers le monde. Sur la chaîne, de nombreuses émissions mettant en valeur l’état qatari sont diffusées, à l’inverse on n’évoque jamais les aspects négatifs de pays, on veut ainsi véhiculer une image parfaite du pays et cela fonctionne assez bien

l’écologie), et la mystique comparée. Biographie Né à Belfort en 1956, Eric Geoffroy pratique diverses disciplines universitaires (histoire de l'art, ethnologie, histoire) avant de se consacrer à l'étude de la langue arabe et de l'islam. Il effectue dès lors de nombreux séjours en pays arabe. A l’issue d’une longue quête spirituelle qui l’amène à explorer diverses traditions spirituelles, le soufisme devient sa porte d'entrée en islam à partir de 1984. Il élabore sa thèse sur Le soufisme en Égypte et

blessures » (1976) - prix de l’amitié franco-arabe et plus récemment « Le bonheur conjugal » 2012. Tahar Ben Jelloun, après avoir fréquenté une école primaire de bilingue arabo-francophone, étudie au lycée français de Tanger jusqu'à l’âge de dix-huit ans. Il poursuivit ses études à l’université Mohammed V de Rabat en philosophie, c’est à se moment qu’il écrit ses premiers poèmes. DEFINITIONS : Islam : L’islam est une religion autour du Coran. Dans la langue arabe, le mot Islam signifie soumission.

phonique, c’est – à – dire la présence ou l’absence de certaines voyelles et / ou consonnes dans une langue et pas dans l’autre. A – Les habitudes articulatoires : La langue française est une langue à anticipation vocalique, alors que la langue arabe est une langue à anticipation consonantique. Cela veut dire qu’en français le point d’articulation de la consonne est influencé par la voyelle qui suit cette consonne. Par exemple, dans les mots « si » et « sous », nous avons deux réalisations différentes

œuvre médiévale, car on a plusieurs manuscrits qui divergent (une œuvre résumée, et une œuvre plus complète découverte plus tard). Nous verrons le chapitre qui concerne les Turcs (extérieurs à l’islam) (comment ils étaient regardés dans la littérature arabe au début du 10e siècle, avant qu’ils ne pénètrent dans le monde musulman). Ensuite, nous étudierons des exemples de littérature topographique, ou centrés sur des sujets beaucoup plus régionaux et finalement urbains, puisque le centre d’intérêt de l’auteur

oublier l’Afrique du Nord) vivant sous l’empire ottoman, transmettaient les clichés d’un Arabe obstiné, paresseux, soumis et fataliste. L’Arabe type était doté d’un cerveau « qui manquait sérieusement de symétrie à l’instar des rues pittoresques » des villes arabes.  Il était un individu à qui « la logique faisait défaut ». Lorsque le livre des «Mille et Une Nuits » fut introduit en Europe au début du XVIIIe, les traits des personnages fictifs ont été attribués aux Arabes. Ce discours orientaliste atteindra