Traite des Blanches

ne pouvant réellement être différenciée entre les colons et les dominés, « c’est la relation de pouvoir colonial qui crée la distinction entre les races ». L’exploitation des hommes et des femmes par les pouvoirs coloniaux, « l’esclavage et la traite des esclaves constituent la forme la plus extrême de l’exploitation coloniale moderne », nous dis Simon Katzenellenbogen, l’établissement de ce traitement des populations noires mais pas seulement découle directement du racisme et du concept de race

"devenus civilisés" sans distinction de race » et mandate une commission chargée de faire des propositions en la matière. À cette époque, la totalité de la population urbaine noire vient de dépasser pour la première fois celle de la population urbaine blanche pour atteindre 1,5 million de personnes. Dans ce cadre, Jan Smuts donne son approbation aux conclusions du rapport de la commission Fagan qui préconise une libéralisation du système racial en commençant par l’abolition des réserves ethniques ainsi

comme Malcom X. Premièrement, le racisme aux États-Unis découle du fait que lorsque les Américains ont commencé à développer leurs industries et leur société. Les premiers esclaves africains arrivèrent en 1619 et ils n’étaient pas si mal traités; ils dormaient, mangeaient, travaillaient avec les Européens sous contrat, se mariaient parfois avec eux, étaient libérés pour un tiers d'entre eux. Par contre, vers la fin du XVIIe siècle, il avait besoin de beaucoup de main-d'œuvre pour travailler

de Julie, il s’attarde sur son visage. Il est mis en valeur par des adjectifs mélioratifs ou des formules hyperboliques « Parfaitement blanche »l3354 « D’une finesse prodigieuse »l3357 « Les torsions de son cou, si variées, si expressives »l3359 -Analogie entre le portrait de Julie et les peintures de chinois Qui met en valeur la finesse des traits de Julie : « le fini merveilleux » ; « fantastique », illustration de l’art pictural, « peintres » qui elle aussi est très fine. -Le portrait

métis, composée de son père et de l’épouse blanche de son père, qu’on rencontre de partout, « même dans les meilleures maison » souligne Albert Londres. On remarque que le journaliste utilise l’expression « Madame-à-papa » pour désigner la belle mère du métis, cela nous montre bien le peu d’attachement qui rattache le métis à l’épouse de son père. De plus, le terme « les séjours » insiste encore sur le fait que l’accueil du métis au sein de la famille blanche n’est que provisoire, le reporter utilise

enlacé, un paysage graphique : fil = ligne de l’art Ouverture du recueil montagneux, le ciel graphique et lignes du Ligne verticale : acte créateur poème / aiguille = plume La toile blanche(p.14) L’absence. Le vide. Trois objets source d’absence : contenants sans contenu (entonnoir vide, manteau sans corps, Toile blanche = espace Deux lectures du manque gant sans main.) pictural encore vierge Le don(p.26) Lignes courbes. Chevelure-fleuve, aux lignesPrésence et plénitude. serrées et noueuses, qui crée

Présentation, Portrait d'André Gide à 21 ans. J'ai choisi le portrait d'André Gide à 21 ans, il a était peint en 1890 par Jacques Emile Blanche. C'est un portrait d'un ami du peintre, il réalise en tout 3 portraits de son ami, dont celui-ci. Le peintre acquiert rapidement une réputation pour ses portraits. Le tableau est peint avec de l'huile sur toile. André Gide était un écrivain. Le peintre et le modèle se sont rencontrer probablement à un dîner chez la

connais trop bien cette main, Pleine de grâce et de caprice, Qui d’un brin de fil souple et fin A noué ton pâle calice. Cette main-là, petite fleur, Ni Phidias ni Praxitèle N’en auraient pu trouver la sœur Qu’en prenant Vénus pour modèle. Elle est blanche, elle est douce et belle, Franche, dit-on, et plus encor ; A qui saurait s’emparer d’elle Elle peut ouvrir un trésor. Mais elle est sage, elle est sévère ; Quelque mal pourrait m’arriver. Fleurette, craignons sa colère. Ne dis rien, laisse-moi

PICASSO, 1937 peintre espagnol Cette peinture représente des malheureux espagnols qui vont être fusillés par des soldats Napoléoniens après l'insurrection de la journée du 2.05.1808. Au centre du groupe des condamnés, un homme vêtu d'une chemise blanche, lève les bras au ciel, les fusils sont braqués sur eux. Il est exposé au Musée du Prado, Madrid en Espagne La toile nous montre un ensemble de personnages et d’animaux dans un espace fermé. Il s’agit d’une représentation de la ville de Guernica

belle figure et d’une taille extraordinaire » l. 18 « d’hommes mieux faits ni mieux proportionnés ; pour peindre Hercule et Mars, on ne trouverait nulle part d’aussi beaux modèles. » l. 24-25 « Rien ne distingue leurs traits de ceux des Européens » l. 25 « Elles ont les traits assez délicats ; mais ce qui les distingue, c’est la beauté de leurs corps » l. 30-31 « Nègre » l. 1 « Le pays des cannibales » l. 2 « Le pays des Nègres rouges » l. 5 « « peaux noires et rouges, aux scarifications