Traitement Du Recouvrement Des Valeurs Et La Gestion Des Incidents De Paiement

Anonyme à capital fixe. Selon le Rapport d’activité 2002, le capital fixe s’élève aujourd’hui à hauteur d’au moins 51% par les Banques Populaires Régionales et l’Etat. L’organisme central (BCP) assure la gestion des excédents de trésorerie des Banques Populaires Régionales, et la gestion des services d’intérêt commun aux organismes du Crédit Populaire du Maroc (International- Informatique- Marketing stratégique…). Les Banques Populaires Régionales, quant à elles, sont à capital variable, à Directoire

Section 1 : Le Groupe Axa Assurance au Maroc …………………………………….16 I- Fiche signalétique …………………………………………………………….16 II- Historique …………………………………………………………………….16 III- Métier ……………………………………………………………………..17 IV- Ambition …………………………………………………………………..17 V- Valeur ……………………………………………………………………...17 VI- Organigramme du Groupe AXA Assurance du Maroc …………………...18 Section 2 : Présentation de l’Agent Général « Assurance Al Moussafir » ………..19 I- Fiche signalétique …………………………………………………………19 II- Organigramme ……………………………………………………………

globale sont arrivées à une conclusion nouvelle : Concourir individuellement est une stratégie perdante. Une conséquence directe de cette affirmation a été un changement inévitable dans les stratégies de ces entreprises, qui ont mis au point une gestion et une synchronisation de leurs chaînes logistiques. Ceci leur a permis d’obtenir des avantages compétitifs dans un climat hostile de grande variété des produits, de haute variabilité des demandes et d’importantes compétitions globales. En effet

CHAPITRE PREMIER LES IMPÔTS SUR LE REVENU SECTION 1 L’IMPÔT SUR LES TRAITEMENTS ET SALAIRES § 1 REVENUS SOUMIS À L’IMPÔT Article 1er Il est institué au profit du budget de l’Etat un Impôt sur les Traitements et Salaires applicable à toutes les sommes payées dans l’année aux salariés par les employeurs publics et privés, directement ou par l’entremise d’un tiers, en contrepartie ou à l’occasion du travail, notamment à titre de traitements, indemnités, émoluments, commissions, participations, primes, gratifications

L’évaluation du risque de crédit en fonction des accords de Bâle II Cas de la Banque Populaire régionale de Marrakech-Beni Mellal Les accords de bale II et la gestion du risque de crédit Table des matières Introduction générale……………………………………………………………………………..…...5 Première partie : enjeux Bâle II pour la gestion du risque de crédit………………………….……8 Introduction à la première partie………………………………………………………………….....9 Chapitre I : fondements théoriques du risque de crédit……………………………………..….....10 Section

MEMOIRE MASTERE SPECIALISE EN CONTROLE DE GESTION MISE EN PLACE D’OUTILS DE SUIVI DU RISQUE DE CREDIT REALISE PAR : YOUSSEF RAZI DIRECTEUR DE RECHERCHE : M. ANDALOUS AZZEDINE. SUFFRAGANT M.Le MOUEFFAK MOHAMED 2005/2006 ISCAE Mastère Spécialisé en Contrôle de Gestion Dédicaces Je dédie ce travail À mes parents, que je remercie pour tous les sacrifices qu’ils ont consentis, ainsi qu’à leur éternel soutien moral et matériel. À la petite HAJAR, ainsi qu’à tous les membres

1 UNIVERSITE DE DROIT D'ECONOMIE ET DES SCIENCES D'AIX-MARSEILLE FACULTE DE DROIT ET DE SCIENCE POLITIQUE D'AIX-MARSEILLE Centre de Droit Maritime et des Transports LE PAIEMENT DU FRET Mémoire de Master 2 professionnel de Droit Maritime et des Transports Présenté par Mona GRID Sous la direction de Maître Christian SCAPEL Année Universitaire 2008 / 2009 2 REMERCIEMENTS Que les professeurs Pierre Bonassies et Christian Scapel trouvent ici l’expression de ma profonde gratitude ; tous deux

ceci depuis les réformes marquantes des années 1990, ont été mis sur pieds au sein de la BEAC et de tous ses centres et agences un service de la centrale des risques ; et récemment des services de la centrale des bilans et de la centrale des incidents de paiement. L’information produite par ces différents services est de nature à améliorer la prise de décision (en matière d’évaluation des risques encourus) par les établissements financiers et donc à rendre plus efficiente la distribution des crédits

ressortissants de l’UMOA - Administration provisoire, retrait d’agrément, liquidation - Voies de recours - Relations particulières avec la Commission Bancaire 31 31 32 33 34 V - Autres aspects de l’activité financière dans l’UMOA 36 - Instruments de paiement - Relations financières extérieures - Marché financier régional - Systèmes financiers décentralisés - Autres dispositions 37 37 38 39 40 Guide du banquier de l’UMOA 5 Nomenclature des annexes 42 I - Conditions générales d’exercice de l’activité

...... 7 3.1 LASER CONSUMER FINANCE (LCF) : L’OFFRE DU CREDIT DIRECT AU GRAND PUBLIC ...................................... 7 3.2 LASER MARKETING & FINANCIAL SERVICES (LM&FS) : L’OFFRE PARTENAIRE.............................................. 8 4 GESTION DES RISQUES................................................................................................................................... 11 5 RESSOURCES HUMAINES...............................................................................