Transept

de la justice et un sceptre, ainsi qu’une épée étaient entreposés. Nous avons d'ailleurs choisi de prendre l'épée comme arme du crime. Nous sommes ensuite sorti pour pouvoir accéder à l’autre partie de la basilique, et nous avons remarqué qu’au transept nord du bâtiment se trouve sculpté la décapitation de Saint Denis, nous avons donc choisi de nous en inspirer pour notre roman policier. Il nous restait dorénavant plus qu’à trouver le lieu du meurtre ou le lieu où le cadavre serait caché. En entrant

décors monumentaux à fresques. C'est le cas à Assise. À partir de 1277, il travaille dans l'église supérieure de la basilique Saint François. Il y décore les deux bras du transept, le chœur, ainsi que la voûte de la croisée du transept. Il réalise 16 fresque monumentales partant du transept nord, en passant par l'abside jusqu'au transept sud. Fresque probablement conçue par les théologiens franciscains. Cycle apocalyptique en partie mais qui s'attarde également sur les vies de Saint Pierre et Saint Paul

Caractéristiques • Remplages multiples à rosaces ou trèfles • Murs totalement ajourés : triforium ajouré ( chœur St Denis 1230) • Pilier et son chapiteau remplacés par des faisceaux de colonnettes ND de Paris (rose transept nord)  St Corentin (Quimper) Amiens : chœur et transept GOTHIQUE RAYONNANT (1250-1375) Exemple Saint Urbain (Troyes, 1266) 10 GOTHIQUE RAYONNANT (1250-1375) Façade - Pignons des portails ajourés, de plus en plus acérés et débordants - Remplages ajourés accolés au devant

plan en croix latine, deux sacristies placées de part et d'autre du choeur à pans coupés, un clocher-porche surmonté d'une flèche en maçonnerie ou en charpente. L'architecte préfère cependant les plans allongés, comme à Pleurtuit ou à Bédée, où le transept est peu saillant. Il s'inspire également du type vitréen, à bas-côtés à pignons multiples, à Cesson et à Etrelles. Fidèle aux modèles français de l'art roman comme à Maxent, Arthur Regnault s'inspire plus directement de l'architecture romano-byzantine

la cathédrale et inscrit au sol ; la trinité avec le rectangle et le cercle. On dit que toutes trois de surface égale portèrent le graal. La table carrée représente le Fils, elle est située au centre de la croix formée par le chœur, la nef et le transept. Elle marque la séparation entre le profane et le sacré. Le carré représente le principe de l’incarnation pleine et réussie, la connaissance secrète de la matière. Le carré symbolise toujours la puissance de la matière et celle de celui qui règne

et la hauteur des arcs pour donner plus de luminosité à la salle. Ses plans sont peu novateurs, ils reproduisent ceux d'une basilique cruciforme à 5 travées dans la nef de dimensions colossales (95 m de long pour la plus grande), et trois dans le transept. La principale, est assortie de multiples piliers comportant de multiples ramifications. Les trois façades du monument représentent, chacune, un moment de la vie du Christ : la passion, qui évoque les derniers jours de la vie du christ, la

la statue de marbre blanc. Le dôme couvert de fresques donne l'illusion d'un ciel rempli de chérubins avec la lumière qui descend du Saint- Esprit symbolisé par une colombe. La statue, composée entre 1647 et 1657, est située dans la chapelle du transept gauche. Toutes les dorures, le marbre, les frises finement sculptées…sont considérées comme un véritable chef-d’œuvre   Thérèse d’avila statue en marbre 350cm de hauteur                 Sainte Thérèse d’Ávila (1515 / 1582) était une mystique

Viollet-le-Duc assumera seul le chantier. Les travaux durent de 1844 au 1864. L'important programme entraînera la construction de la sacristie (qui abrite aujourd'hui le Trésor), sur le flanc sud, l'érection d'une nouvelle flèche à la croisée du transept, et l'apparition d'une nouvelle statuaire - pas toujours conforme au projet initial - à laquelle sera associé l'atelier de Victor Geoffroy-Dechaume, peintures murales dans les chapelles latérales, réfection complète du grand orgue. Viollet-le-Duc

trouve le tabernacle (petit meuble avec une porte) dans lequel est entreposée l'Hostie consacrée. Autrefois le chœur était réservé aux prêtres. Dans les églises importantes la nef est séparée du chœur par le transept, salle perpendiculaire aux deux autres parties de l'église. Le transept accueille aussi les fidèles. Dans les églises très importantes, en particulier celles de pèlerinage, le chœur est entouré par un déambulatoire, couloir vouté fréquenté par les fidèles; de nombreuses petites

mètres du sol), et c’est sur une base octogonale (42 mètres de diamètre) que fut entreprise l’élévation de la coupole (40 mètres de hauteur) sans l’intermédiaire de pendentifs et sans système 3 3 d’échafaudages. Le dôme s’élève à la croisée du transept au-dessus du maître autel. Les difficultés architectoniques furent résolues par le choix d’un dôme ogival qui s’auto-soutient par son profil, et par l’emboîtage hardi de deux coupoles : les pressions étant réparties d’une manière égale aux « angles