Transept

qui datent de la seconde moitié du 14e siècle (les originaux sont au musée d’Unterlinden). La nef gothique fut édifiée dans le dernier tiers du 13e siècle. On l’attribue à un architecte local Maître Humbret qui a déjà participé à l’achèvement du transept et qui s’est représenté avec l’équerre dans la voussure du Portail StNicolas. Veuillez le situer dans la voussure ! 35 …………………………………………………………. Mais intéressons-nous au portail St-Nicolas. Les deux portes sont séparées par un trumeau et six colonnettes

expriment la douleur à la manière des pleureuses des sarcophages antiques. Des attitudes que nous avons déjà vu chez Giotto et Cimabue où les sentiments s’expriment de manière réaliste : La crucifixion fresque de Cimabue vers 1290 au croisillon nord du transept de l’église supérieur de la basilique de st François d’assise. Il est intéressant de voir apparaitre dans l’art de l’époque une descente de croix d’un caractère si novateur : au lieu d’une croix basse, comme elle l’était jusque là dans l’art français

bien moindres dans les campagnes. Certains témoins muets semblent confirmer cette héca tombe urbaine : ainsi, à Sienne où la commune avait entrepris l'édification d'une immense et orgueilleuse cathédrale dont l'a ncienne n'aurait été qu'un bras du transept, la maladie fit inte rrompre les travaux : la dépopulation et la ruine de la ville rendirent inutile qu'on les reprît jamais; sur l'immense esplanade qui entoure la cathédrale de Sienne, les piliers blancs et noirs du grand édi fice projeté lancent

siècle. C'est un édifice en grès et en schiste, en forme de croix latine, au chevet plat et avec le clocher en façade. La nef est couverte en berceau et lambrissée de bois ayant été restauré en 1729. Un décor y est peint au XIXe siècle. Les autels du transept sont dédiés à la Vierge et à saint Sébastien42,43. La maison de maître au lieu-dit Cochin date probablement de la seconde moitié du XVIIe siècle. Elle se forme d'un corps principal à un étage et de combles, d'une aile en rez-de-chaussée et d'un

figure humaine la plus proche de son fils, vient en tête de tous les sanctifiés. "Mains jointes, le visage grave, concentrée, elle conduit et intercède". Le même recueillement se retrouve avec le groupe sculpté de l'Annonciation dans l'abbatiale, au transept nord. Pierre vient ensuite. Lui, le renégat, il est pourtant le premier des apôtres avec qui le Messie construit l'assemblée des saints : l'Eglise. D'où les vêtements épiscopaux : aube, étole, tunicelle, chasuble et pallium. Avec la crosse dont la

Saint-Nicaise, à présent détruite, un autre grand bâtisseur reposait dans l'édifice qu'il avait construit. Sur sa sépulture, on avait gravé : "Ci-gît Hue Libergié qui commença cette église en l'an 1229 et trépassa l'an 1267." Dans le soubassement du transept sud de Notre-Dame de Paris est gravé de manière notable le nom de Jean de Chelles : "Maître Jean de Chelles a commencé ce travail le 2 des ides du mois de février 1258." Le maître d'ouvrage est de plus en plus suspicieux vis-à-vis du maître d'œuvre

sont généralement réservées aux grandes figures isolées, tandis que celles du bas accueillent les scènes légendaires, placées au plus près des fidèles. On voit aussi survenir les premières roses, ouvertes au pignon des façades occidentales et des transepts. L’ornement se simplifie. Le XIIIe siècle est marqué par un appauvrissement général du décor par rapport au siècle précédent. Nous remarquons en effet une réduction de la bordure en un feuillage très léger ou à des motifs géométriques simples.

Saint-Denis est associée à l'histoire du monde franc. L'église abbatiale a été dénommée « basilique » dès l'époque mérovingienne. L'église s'élève sur l'emplacement d'un cimetière gallo-romain, lieu de sépulture de saint Denis martyrisé vers 250. Le transept de l'église abbatiale, d'une ampleur exceptionnelle, fut destiné à accueillir les tombeaux royaux. Elle est ainsi la nécropole des rois de France depuis les Robertiens et Capétiens directs, même si plusieurs rois mérovingiens puiscarolingiens avaient

bibliothèque. - Bérengère Fortuner, Les arcs de l'Afrique romaine, Epona (Paris), janvier 2002. - Hirscfeld Gustave, Arcs de triomphe et colonnes triomphales, Arthaud, 1937. Arc de triomphe. - Nom donné à l'arcade qui se trouve au milieu des transepts des églises. Primitivement on l'ornait de sculptures et de peintures à fresque, dont le sujet était principalement le triomphe de Jésus. En Angleterre, on voit au-dessous de cette arcade, un roodscreen, clôture en bois, en pierre ou en métal, richement

découpe laser des pièces, le chantier avance beaucoup plus vite que ce que le maître avait prévu. La Sagrada Familia comportera 18 tours, 3 façades, pour représenter la sainte trinité : les façades de la Passion, de la Nativité de chaque côté du transept (qui sont terminées), et de la Gloire du Christ ; un déambulatoire à l’extérieur de l’édifice ; une crypte, où repose Gaudi ; un cloître ; 8 nefs ; et 7 chapelles dans une abside: la Sagrada Familia est une bâtisse aux dimensions colossales. Elle