Transept

opposition aux représentations plus humaines du Christ souffrant la Passion sur la Croix, ou celle de l'Enfant-Jésus, il s’agit d’un code artistique très présent dans le monde byzantin). L’espace est organisé autour de deux pôles, l’abside et le transept, qui dessinent un espace religieux d’inspiration byzantine et l’estrade royale, qui est le centre d’un espace de représentation du pouvoir. Cette conception du pouvoir très byzantine se remarque particulièrement sur le mur ouest de la nef, l’estrade

du Jugement dernier que nous avons étudié dans la leçon précédente. Les fidèles assistaient à la messe dans la nef (4). Les moines et le prêtre qui célébrait la messe se tenaient dans le chœur (1). Entre l’abside et la nef, les deux parties du transept (2) étaient éclairés par une tour-lanterne (3). La lumière apportée par les fenêtres de cette tour symbolisait la présence de Dieu. Quant au reliquaire (X) qui contenait les reliques de sainte-Foy, il se trouvait dans le chœur de l’église. Le

Architectes, maçons, sculpteurs et manœuvres ; l’Europe du XIIIe siècle se couvre de cathédrales. Tout a commencé en Île-de-France, vers les années 1200. Pour la première fois les voûtes d’ogives croisées s’appuient au sommet de hautes colonnes et les transepts gigantesques se sont flanqués de bas-côtés larges comme des boulevardes. Ce nouveau style, auquel on donnera, plus tard, le nom de « gothique », évoque une foi épurée, dégagée des lourdes masses des basiliques romanes. Petits faits :

architectes et artistes de la renaissance se succèdent tels que Raphaël, Perruzzi, Michel-Ange qui réalisa la grande coupole, Vignole, Giacomo della Porta, Carlo Maderno qui modifia le plan pour en faire une croix latine (la nef plus longue que le transept) et finalement le Bernin (qui était en charge de la construction de deux clochers, mais le premier s'effondra suite à une erreur de calcul… La basilique Saint Pierre n'a donc pas de clocher !). Le Bernin réalisa aussi la place Saint Pierre et

ensevelit presque Beaumont, le jour de la Noël. La neige, s'étant mise à tomber dès le matin, redoubla vers le soir, s'amassa durant toute la nuit. Dans la ville haute, rue des Orfèvres, au bout de laquelle se trouve comme enclavée la façade nord du transept de la cathédrale, elle s'engouffrait, poussée par le vent, et allait battre la porte Sainte-Agnès, l'antique porte romane, presque déjà gothique, très ornée de sculptures sous la nudité du pignon. Le lendemain, à l'aube, il y en eut là près de trois

abondant du stuc* peint, ouvrant ses voûtes à un ciel peint. www.enseigner-autrement.fr Les nouvelles églises sont construites sur un plan central, elliptique (en forme d’ellipse) ou de croix latine, avec des chapelles, et une croisée (de transept) couverte d'une coupole, ainsi que des tours de niveaux divers. Eglise de Wies Eglise Santa Maria Della Salute En France, l'art baroque porte le nom de CLASSICISME. En effet, il ne cède jamais complètement aux débordements baroques, et,

Vallée ; accueille le presbytère de Saint-Pierre du Marché en 1889 (jusqu’à son installation rue Marcel-Aymard après le départ des Dominicaines en 1965). église (reprendre le plan 2/2) : n’existe pratiquement plus ; reste la grande arcade (bras de transept ? communication avec une chapelle ?) ; nef déjà découverte sur le cadastre de 1839 ; quelques éléments du chœur dont le chapiteau représenté. renfermait une merveille qui a échappé à Loudun. un sarcophage de marbre qui servait d’autel et que l’on

usage abondant du stuc* peint, ouvrant ses voûtes à un ciel peint. www.enseigner-autrement.fr Les nouvelles églises sont construites sur un plan central, elliptique (en forme d'ellipse) ou de croix latine, avec des chapelles, et une croisée (de transept) couverte d'une coupole, ainsi que des tours de niveaux divers. Eglise de Wies Eglise Santa Maria Della Salute En France, l'art baroque porte le nom de CLASSICISME. En effet, il ne cède jamais complètement aux débordements baroques, et, s'il adopte

Rue du Plessis. Au XIVe siècle, est entreprise la construction de l'enceinte fortifiée de la ville, sous l'égide de l'abbé Jean de Tréal. Elle comporte 3 portes, 3 poternes et 13 tours. De ces remparts, on peut voir aujourd'hui le flanc nord du transept de l'église, la chapelle des Ducs et les remparts au-dessus du quai St Jacques. Les travaux réalisés au centre-ville ont mis au jour d'autres vestiges des remparts, notamment un bastion en face de l'hôtel de Ville, deux tours (XIVe) et un autre bastion

(construit en 1480) et son baldaquin (construit en 1535) dans un style gothique traditionnel en pierre ciselée. L'intérieur Il est aussi surprenant que l'extérieur, finissant de donner à l'ensemble son caractère unique. La cathédrale ne possède pas de transept, et les rares vitraux ont peu d'intérêt. En revanche, le jubé, les fresques du jugement dernier et la voûte donnent la classe à cette cathédrale. A savoir : Son édification totale a duré deux siècles, de 1282 à 1480. Elle est une des cathédrales