Transitivité

Nom_client : Vraie mais Nom_client ( code_client n’est pas vraie. Astuce : trouver les identifiants (clés) : Toutes les propriétés d’une entité « dépendent fonctionnellement » de l’identifiant ( Dépendances fonctionnelles directes (éliminer la transitivité) Exemple : Num_prof ( code_matière Code_matière ( nom_matière Num_prof ( nom_matière DF Transitive à éliminer. Dépendances fonctionnelles directes (Exo précédent) [pic] Remarque : introduction de l'information codeTVA

x1, et préfère le vecteur x 1 au vecteur x2, alors le vecteur x0 sera aussi préféré à x2. Si x0 f x1 et si x1 f x2 alors x0 f x2. C’est l’hypothèse dite de transitivité des préférences. Exemple : Vous préférer le métro au bus, le bus à l’automobile, alors vous devez aussi préférer le métro à l’automobile. ATTENTION : l’hypothèse de transitivité semble très naturelle mais elle est pourtant moins naturelle qu’il n’y paraît. 1/ Considérons en effet l’exemple suivant : Soit un individu qui dispose de

atteinte que lorsque la fermeture sera complète c’est-à-dire que lorsque le sentiment d’interdépendances nécessaires (entre les deux notions) sera présent. Cela amène deux propriétés caractéristiques des structures de ce niveau : la transitivité et les conservations. La transitivité à un rapport fort avec l’anticipation que l’enfant avait acquis auparavant ainsi que le fait de traité deux choses simultanément, en fait il devient capable d’anticipé que si A<B et que B<C alors A<C. De plus la conservation

ËÇ---------------------------------------ËÇ--------------------------------------ttËÇÇa / ËÇÇa bzg------------------------------------bzg------------------------------------- azzg / bzzg/ ttbzag Au niveau syntaxique la transitivité d’un verbe constitue en quelque sorte le point de rencontre de domaine de la syntaxe, cette transitivité connue une homogénéité entre quelques variations et une différance entre d’autres variations, en trouve dans ce domaine des verbes transitifs et d’autres intransitifs. Des verbes intransitifs

X2 ». Ce principe signifie que l’individu n’a à aucun moment besoin de quantifier l’utilité ou la satisfaction que chacun des deux paniers de biens lui apporte car il n’a en fait qu’à les comparer. De cette relation d’ordre découle le principe de transitivité qui intervient si on introduit un troisième panier de biens X3 aux deux précédents. En effet, en supposant que le consommateur adopte une attitude logique dans ses choix, si X1 est préféré à X2 et que X2 est lui-même préféré à X3, alors on a X1

li´ees par un chemin dans le CP-net reliant un ancˆetre Xσ(r) (ayant une priorit´e maximale) ` a un descendant Xj . L’ensemble de ces chemins peut ˆetre associ´e a une chaˆıne de flips d’am´elioration `a partir de ` ω jusqu’` a ω, donc par transitivit´e on a aussi ω N ω. Nous avons remarqu´e qu’il y a des cas o` u l’ordre Pareto sym´etrique avec le codage possibiliste capture exactement l’ordre des CP-nets. La proposition suivante indique une classe de situations particuli`eres o` u c’est

doivent juger un acte pas sur un cas particulier mais dans ses conséquences générales Ne pas prendre en compte seulement le résultat d’une action mais aussi la méthodologie du choix Problèmes : Le plaisir : comment le mesurer ? Pas forcément de transitivité des préférences => paradoxe de Condorcet (X : C > B > A ; Y : A > C > B et Z : B > A > C => selon choix de méthodologie on peut finir sur A, B ou C) Le manque d’information influence nos décisions Qui est concerné ? =>

consommateur est donc jugé capable de faire un choix (maturité). Il faut éviter la mésaventure de l’âne de BURIDAN. • Axiome de réflexivité La relation est réflexive si X ≥ X. Tout assortiment est au moins aussi désirable que luimême. • Axiome de transitivité des préférences Le consommateur doit être cohérent dans ses choix. Si X f Y et si Y f Z alors X f Z Si X ~ Y et si Y ~ Z alors X~ Z Cette propriété peut ne pas être vérifiée chez de jeunes enfants. • Axiome de non saturation Si un assortiment comprend

R, on peut en déduire d'autres à partir des trois propriétés suivantes : a) transitivité : si X -> Y, et Y -> Z, alors X -> Z, b) augmentation : si X -> Y, alors XZ -> Y pour tout groupe Z d'attributs appartenant au schéma de relation, c) réflexivité : si X contient Y, alors X -> Y. A partir de ces trois axiomes de base, on peut déduire d'autres règles : d) union : si X -> Y et Y -> Z, alors X -> YZ, e) pseudo-transitivité : si X -> Y et WY -> Z, alors WX -> Z, f) décomposition : si X -> Y et Z contenu

propriété-attribut décrivent l’état d’une relation sémantique. Nous les classons par catégories : – les attributs algébriques, qui définissent l’état interne d'une relation. Ils concernent des propriétés comme la réflexivité, la symétrie, l'antisymétrie ou la transitivité d'une relation, ainsi que les notions de relation d’ordre et de relation d’équivalence qui peuvent en être déduites ; – les attributs fonctionnels, qui définissent l’état d’une relation vis-à-vis des objets qu’elle met en jeu. Ils permettent ainsi