Transsibérien Cendrars

et leurs inexpériences. La prise de conscience finale est trop tardive pour effacer ce qui s’est passé. Les personnages sont devenus eux-mêmes mais trop tard. Fiche de synthèse n*17 Texte 1, Extrait de la Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France, Cendras Ce poème est initialement publié avec une composition en couleur de Sonia Delaunay et l’ensemble constitue un poème-tableau de deux mètres de haut en forme de dépliant. Le thème central du texte est le voyage, rien

avec ceux qu'on a appelé « les Poètes de Dieu » comme Charles Péguy avec son inspiration patriotique et religieuse et la force d'une poésie simple (Jeanne d’arc). C'est aussi le temps des « découvreurs » comme Blaise Cendrars (Les Pâques à New York, 1912 - La Prose du Transsibérien, 1913), Guillaume Apollinaire (Alcools, 1913 - Calligrammes, 1918), en recherchant la présence de la modernité et du quotidien (la rue, le voyage, la technique) et l'éclatement de la forme (disparition de la rime, de la

pôles, entre le deuil et l’ivresse, les poèmes furent répartis au mépris de l’ordre chronologique de création des poèmes, ce qui aurait accentué la résonance autobiographique, sans autre principe évident que celui de varier. Cendrars venant, dans “Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France”, de supprimer la ponctuation dans des vers libres, à son exemple, Apollinaire, à la dernière minute, sur les épreuves, la supprima dans tous les poèmes qu’ils soient de vers réguliers ou de vers

Perse Max Jacob, 24 février 1944… Les « Stèles » de Segalen Paul Valéry : « Le Cimetière marin » À Dada, le surréalisme ! L’idée ? C’est à Tristan… Chapeau, Breton ! Chapeau, Paul Eluard ! Aragon, ton Elsa… Robert Desnos, son pélican À travers chants Cendrars, la folle aventure Michaux, ses choix, ses shoots Les choses de Ponge Prévert fait le Jacques Poèmes de Char : habits à merveilles L’ébéniste du sens : Guillevic Cadou, l’infiniment doux Chapitre 24 - Depuis 1950, la scène Coups de théâtre Les

Jacob, 24 février 1944… Les « Stèles » de Segalen Paul Valéry : « Le Cimetière marin » À Dada, le surréalisme ! L’idée ? C’est à Tristan… Chapeau, Breton ! Chapeau, Paul Eluard ! Aragon, ton Elsa… Robert Desnos, son pélican À travers chants Cendrars, la folle aventure Michaux, ses choix, ses shoots Les choses de Ponge Prévert fait le Jacques Poèmes de Char : habits à merveilles L’ébéniste du sens : Guillevic Cadou, l’infiniment doux Chapitre 24 - Depuis 1950, la scène Coups de théâtre

1911), ou Victor Segalen, de retour de Polynésie (les Immémoriaux, 1907), traitent de l'exotisme dans une langue mélodieuse et maîtrisée. La poésie de Blaise Cendrars, qui est aussi romancier (l'Or, 1925; Moravagine, 1926), puise dans la propre vie aventureuse de l'auteur pour proposer un parcours symbolique du monde (la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France, 1913); audacieuse sur le plan formel, cette poésie est construite pour mimer l'expérience du voyageur (rythme, sonorité, etc

1911), ou Victor Segalen, de retour de Polynésie (les Immémoriaux, 1907), traitent de l'exotisme dans une langue mélodieuse et maîtrisée. La poésie de Blaise Cendrars, qui est aussi romancier (l'Or, 1925; Moravagine, 1926), puise dans la propre vie aventureuse de l'auteur pour proposer un parcours symbolique du monde (la Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France, 1913); audacieuse sur le plan formel, cette poésie est construite pour mimer l'expérience du voyageur (rythme, sonorité, etc

essentiellement instinctives, s’expriment dans la peinture pure mais aussi dans le domaine des arts appliqués, la décoration, la mode, le vitrail. Elle réalise des reliures, des illustrations de livres-poèmes, publie en 1913 avec Blaise Cendrars la Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France, l’un des plus célèbres livres illustrés du XXe siècle, avec Jazz de Matisse. À partir de 1931, elle revient à la peinture pure. À la mort de Robert Delaunay en 1941, elle se retire à Grasse jusqu’à

essentiellement instinctives, s’expriment dans la peinture pure mais aussi dans le domaine des arts appliqués, la décoration, la mode, le vitrail. Elle réalise des reliures, des illustrations de livres-poèmes, publie en 1913 avec Blaise Cendrars la Prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France, l’un des plus célèbres livres illustrés du XXe siècle, avec Jazz de Matisse. À partir de 1931, elle revient à la peinture pure. À la mort de Robert Delaunay en 1941, elle se retire à Grasse jusqu’à

la grande pertinence de cette conception flaubertienne de l’art moderne « allant s’éthérisant » et faisant du style « une manière absolue de voir les choses ». Se reporter notamment aux révolutions poétiques des années 1910 avec Apollinaire et Cendras dans « Situations », aux surréalistes, au chapitre consacré à Proust, grand admirateur de Flaubert, dans « L’écrivain au travail », et au Nouveau Roman bien entendu. Nathalie Sarraute a du reste intitulé un de ses textes critiques Flaubert le précurseur