Travail Malédiction

Le personnage d'Oreste est représenté de manières différentes. Dans la mythologie grecque , Oreste est frappé par la malédiction des Atrides car il est le fils d'Agamemnon et de Clytemnestre. Il était jeune lorsque son père fut assassiné par sa mère et son amant.Il alla se réfugié chez son oncle , Strophios, et se lia d'une grande amitié avec son cousin, Pylade . Ce dernier sera le compagnon des malheurs d'Oreste.Quand il atteignit l'âge adulte, il vengea la mort de son père en tuant sa mère

voulais juste te protéger...(il lâcha un long soupir qui ne fut plus que silence de mort) (Luka se releva furieux et regarda la jeune femme pour qui quelques instant plus tôt il ne ressentait que de l'amour le mal étant révélé et la déesse venger la malédiction ne fessait plus effet il était face a la femme qui avait engendrer la mort de ces 2 parents il commença a avancer vers elle , elle avait les yeux pleins de larmes et compris qu'il ne voulais qu'une seul chose sa mort... ) Scène 2 :

progression du dialogue parvient à faire de Camille une héroïne tragique. Nous allons dans un premier temps nous intéresser à l’incompréhension qui règne entre les deux personnages, Camille et Horace, puis dans un second temps nous pencher sur la malédiction posée par Camille et le fratricide commit. Horace et Camille ont une vision différentes des valeurs et ont des priorités pas forcément en accord. Horace rentre victorieux de sa bataille contre les Cuiraces et en est très fier en effet lorsque

simple ''bon annif Yara'' et c'était la même phrase a chaque année. Il ne s'est jamais produit un anniversaire sans que mes larmes coulent de mes yeux. A vrai dire, je pleurais presque tout les jours, ma mère me répétait sans arrêt '' Yara, tu es la malédiction qu'Allah m'a infligé a cause des péchés que j'ai commis au courant de ma jeunesse.'' A l'école c'était tout une autre atmosphère car j'avais de bonnes copines Yasmine et Salma. Elles étaient chrétiennes mais moi ça me faisait ni chaud ni froid

prend le plus souvent le visage de la fatalité toujours hostile au héros. Le héros tragique apparaît toujours comme un personnage maudit, marqué par la haine injustifiée des dieux ou bien il subit la malédiction attachée à sa famille qui se répand de génération en génération. Chez Racine cette malédiction est liée à son jansénisme. La fatalité dépossède l’être de sa volonté et lui dicte une conduite forcée. Très visible dans Phèdre « objet infortuné », victime de Vénus « C’est Vénus toute entière à

éclaire t-il la fonction du poète ? I) Le poète voit : I°) lien entre la divinité et le poète Chp lexical du religieux + (v 1)= volonté divine Intermédiaire Dieu/homme Capacité du poète à appartenir à deux mondes (v 14) Chp lexical de la malédiction par rapport au ordre (v 11/12) // ac fig biblique de St JB ki prépare la venu II°) rôle du prophète discours oratoire = prévision chp lex du prophète + vbes de perception et vision jeu sur la temporalité : poète dans le pst et le futur (v

La malediction des pharaons Pourquoi la malédiction des pharaons passionne-t-elle autant les écrivains et les cinéastes ? Les pharaons fascinent depuis toujours par leurs richessses,leur puissance, leur histoire, leurs monuments architecturaux, leur vie dans l’au-delà et plus particulièrement la malédiction prédite a ceux qui viendront troubler leur repos. Celle-ci inspire beaucoup les écrivais et les cinéastes qui la reprenne dans différents genres. Quest-qu’un pharaon ? Un pharaon

c’est une malédiction que le héros, Hernani, porte en lui comme une grave maladie contagieuse  au V2 « je porte malheur  à tout ce qui m’entoure  » : la malédiction est un topos de la tragédie. Comme dans de nombreuses pièces du même genre, le héros porte en lui la malédiction, il ne peut rien contre, c’est souvent même un héritage familial.(la malédiction d’Œdipe en est un exemple). Non seulement la malédiction est sur lui mais elle se répercute sur les autres(Œdipe avec sa malédiction a tué son

que la femme, c'est la Vie que désirait créer l'artiste, il rivalisait bien avec Dieu dans son ambition : fantasme de tout le XIX (et plus) par exemple Frankenstein. Ambiance : Mélancolique; gothique (vieux château abandonné depuis peu, une malédiction? Une fuite?), solitude, nostalgie passéiste, amour de l'art. Effet : emporté par le caractère intriguant de l'histoire, le lecteur découvre grâce au narrateur la présence d'un tableau stupéfiant dont "le charme était une expression vitale adéquate

cessé de le répéter depuis le début de la pièce : « Le dessein en est pris, je pars, cher Théramène, Et quitte le séjour de l’aimable Trézène. » (v. 1-2) Dans la scène 6 de l’acte V, alors que Thésée voudrait revenir sur la malédiction qu’il a lancée, Théramène entre en scène pour faire le plus long récit du théâtre classique : il raconte au père la mort tragique du fils. Un « monstre furieux » est sorti des flots ; Hippolyte l’a combattu, mais ses chevaux sont devenus fous. Pris