Travail Malédiction

On dit que Vitalie Rimbaud, née Cuif, fille de la campagne et femme mauvaise, souffrante et mauvaise, donna le jour à Arthur Rimbaud. On ne sait pas si d’abord elle maudit et souffrit ensuite, ou si elle maudit d’avoir à souffrir et dans cette malédiction persista; ou si anathème et souffrance liés comme les doigts de sa main en son esprit se chevauchaient, s’échangeaient, se relançaient, de sorte qu’entre ses doigts noirs que leur contact irritait elle broyait sa vie, son fils, ses vivants et ses

l’Espagne, [je les ai fait combattre, et voila qu’ils sont morts ] qu'Hernani trace de lui un portrait tragique. Il se voit comme un homme marqué par la mort, il illustre son aspect maudit par son passé et ses affirmation,[je porte malheur]. Sa malédiction est marqué par des constatations (v. 986/987) dont la deuxième est formulée comme une obligation " je dois «, puis par l'insistance des vers qui reflète le malheur qui accompagne Hernani " mystères funèbres ", " âme de malheur. Un champ lexical

en plus dans le tragique : « cachée v305, dérober v310, noire v310, s’exhaler v316 ». Phèdre est donc entraînée dans le cercle vicieux de sa passion inspirée par les dieux. Tout d’abord, Phèdre est victime de son hérédité. En effet elle subi la malédiction de Vénus car celle ci avait une liaison avec Ares, et Hélios l’a vu car c’est le soleil, il l’a dévoilée, et pour se venger Vénus a maudit sa descendance. Hélios étant le grand père de Phèdre, elle en subi les conséquences. De plus, Racine est un

La malédiction des Atrides est l'histoire d'une famille, que la malédiction qui poursuivit tous ses membres rendit célèbre. Elle commença lorsque Tantale voulu tester l'omniscience des dieux.il les invita à un banquet où il leur donna à manger son fils Pélops. Cependant, les dieux ont tout de suite vu la supercherie, mise à part Déméter qui avait mangé un bout de l'épaule de Pélops. Les dieux redonnèrent la vie à Pélops mais maudirent toute la descendance de Tantale. Un jour Pélops tomba amoureux

Slima (Fatouma) : Sœur du père et tante des enfants de celui-ci, Elle joue le rôle d’une sorcière qui manipule les forces occultes, c’est cette dernière qui a empoisonné le jeune Driss son neveu qui suite à une histoire de jalousie à porter la malédiction au village devenu maudit et aride et déserté des villageois. Victor : L’amie imaginaire et confident de la jeune fille, qui assiste et protège la jeune fille dans ses rêves. Jugement personnel : _ Ce livre ma beaucoup touché il nous montre

ma lâcheté », v. 19 : « tu n’es pas digne »). Le mépris : « dédain » (v. 18). 2. La soumission, l’asservissement : Strophes 2 et 3 : quatre comparaisons et v. 20 : « A ton esclavage maudit »). 3. La colère, la révolte V. 7 et 12 : injures, malédiction jetée / rythme qui évoque le désordre intérieur. 3. L’échec / le spleen : Tentatives pour échapper à cette relation dangereuse où l’amour se confond avec l’esclavage : le poète aspire à la délivrance, appel à l’aide : « conquérir ma liberté

pousse à la plus fatale des passions. D’après la société, il n’y a de faute que s’il y a liberté d’action. Or la vengeance de Vénus met Phèdre dans l’impossibilité d’agir autrement qu’elle ne le fait. De plus elle a tout tenté pour échapper à la malédiction qui l’accable. Elle fait tous ses efforts pour surmonter sa passion. Par exemple elle évite Hyppolite, ou bien souhaite se donner la mort. Ensuite, quand elle parle à Hippolyte, son désir n’était pas de lui avouer sa passion. L’aveu de viendra

L’Avare, Acte IV, Scène 7 [(Il crie au voleur dès le jardin, et vient sans chapeau.)] HARPAGON - Au voleur ! au voleur ! à l’assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! Je suis perdu, je suis assassiné ! On m’a coupé la gorge, on m’a dérobé mon argent ! Qui peut-ce être ? Qu’est-il devenu ? où est-il ? où se cache-t-il ? Que ferais-je pour le trouver ? Où courir ? où ne pas courir ? N’est-il point là ? n’est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête 

monstrueux » = I) et l’apitoiement sur son sort (Thésée en père infortuné dont l’amour filial retient les coups = II). Suscitant donc à la fois TERREUR et PITIE, il est le personnage tragique par excellence, ce qui sera confirmé par l’apothéose de la malédiction (III), moment tragique fusionnant les deux caractéristiques citées ci-dessus : Par sa prière à Neptune, Thésée, sans le savoir devient en même temps « bourreau » de l’innocent et victime de ses propres paroles (cf. l’ironie du sort final) I)

Tiers-Etat, sans que l’on connaisse sa source d’inspiration. Le fabuliste fait une satire traditionnelle des puissants qui se donne tous les droits. En voici le sujet : pour conjurer la colère des Dieux envers les hommes pêcheurs et faire cesser la malédiction de la Peste, le Lion décide de tenir un conseil qui jugera et condamnera le plus coupable. Mais le déroulement du procès fait ressortir la cruauté et la lâcheté des carnivores tous solidaires pour accabler le plus faible. Le conseil n’aura été qu’un