Travail Malédiction

L'édition de 1861 des Fleurs du mal est la seconde et la dernière édition publiée du vivant de l'auteur. Même si la structure de l'oeuvre est toujours axée autour des 5 parties de l'édition de 1857 (Spleen et Idéal, Fleurs du Mal, Révolte, Le Vin, La Mort), Baudelaire ajoute ici 32 poèmes et procède à toutes sortes de corrections et de réagencements. Ainsi, dès le fameux Au Lecteur : « Dans nos cerveaux malsains, comme un million d'helminthes, / Grouille, chante et ripaille un peuple de Démon » devient

toute entière à sa proie attachée ». Cet amour incestueux est empreint de toutes les formes de la fatalité présentes habituellement dans les tragédies de Racine. La passion qu’elle nourrit semble lui être imposée, et ce peut être lié à la malédiction lancée par Vénus sur la famille de l’héroïne, qui entraînera chez Phèdre une lutte fatale entre la passion et la raison. Comme premier signe de la fatalité, l’amour ressenti est subi par l’héroïne. Elle n’a pas cherché à le provoquer, et ses

décrit plus (« Fugitive beauté », « le regard »), mais dit ce qu’il ressent : il indique qu’elle ne s’arrêtera pas, qu’il ne peut la retenir. Il reprend le procédé au v. 12, phrase nominale : vers heurté grâce aux signes de ponctuation (2-4-2-4). La malédiction du poète est sûre. Les ! accentuent l’effet mélodramatique, la souffrance. Le v. 10 montre toute l’ambiguïté de la vision de cette femme : l’œil du v. 7 est repris par le regard du v. 10. C’est un regard qui le « fait soudainement renaître », alors

son bel amant, contrainte de déménager dans un médiocre appartement avec ses trois enfants. Blanche-neige avait en plus des sept nains, son mari, ses enfants à charge au quotidien. Et surmenée par les nombreuses tâches ménagères, le stress du travail et les dépenses financières, elle ne pouvait se refuser un ou quelques verres. Ce fut ensuite le tour de Cendrillon, qui après quelques explications, demanda conseils à ses fidèles amies. L'une dit : « tu n'as qu'à partir et refaire ta vie ! »

avait un grand défaut il a été maudit par un mage. Ce mage se prénommai Striera il était fourbe et puissant; si un jour quelqu’un devait enlever la malédiction à Neva la malédiction ce révoltera et le mage devra car c’était lui sinon il deviendrai aussitôt un dragon noir au yeux rouges. Un jour un druide nommé Vartan essaya d’enlever la malédiction mais sans vint aucun de ses pouvoirs ne fonctionnai mais il y en n’avait une qui pourrais fonctionné. Neva se demandai si le mage disait vrai ou non

le moindre discernement ou la moindre pitié. Alors qu'il massacre un cerf, sa biche et leur faon, il se trouve soudainement défait de ses armes, le cerf blessé se tourne face à lui pour l'encorner mais s'arrête mystérieusement et lui lance une malédiction : « Maudit ! maudit ! maudit ! un jour, cœur féroce, tu assassineras ton père et ta mère. » Julien épouvanté retourne au château et se cloitre plusieurs jours. Il finit par reprendre ses études et son entrainement jusqu'au jour où croyant voir

DECLENCHEUR (ou modificateur) : C’est ce qui fait changer la situation de départ et ce qui va déclencher l’action. Cela peut être un événement, une rencontre, un problème etc. Exemple : On n’a pas invité la 13ème sage-femme du royaume, cela engendre une malédiction. ACTION : C’est là que le héros se lance dans l’action pour résoudre le problème, il part à la quête de la solution, pour vaincre il affronte des épreuves. Exemple : La Belle grandit, se pique à un fuseau oublié. Tout le château est plongé

Dans les tragédies grecques et latines, la fatalité est en fait une malédiction que les dieux ont prononcée : le héros est maudit parce que lui ou sa famille ont commis une faute. Il aura beau se débattre, son sort est scellé. Dans le théâtre classique, cette fatalité peut provenir d’une malédiction divine (Phèdre expliquant que c’est Vénus qui est responsable de cet amour coupable qu’elle ressent pour Hippolyte), d’une malédiction familiale (Agrippine explique ainsi la cruauté de son fils Néron dans

déchirement du poète entre le Spleen et l’Idéal. Nous évoquerons donc l’envol de l’esprit du poète vers un ailleurs lumineux à cause de la médiocrité du monde puis nous montrerons que le désir du poète est voué à l’échec car il est victime de malédiction et donc condamné au spleen. I La recherche de l’Idéal a)L’élévation de l’esprit Le titre du poème se retrouve développé dans les deux premiers quatrains qui constituent une seule phrase grâce à un enjambement audacieux. En effet le Q1 n’est constitué

souverain dans sa solitude. -Poème traduit l’ascension vertigineuse de l’esprit du poète vers l’Idéal grâce au rythme, à la syntaxe et au lexique mélioratif. + Poème élégiaque reflétant (en demi-teinte) la tragique condition du poète, victime d’une malédiction qui l’empêche d’accéder au bonheur et l’englue dans les » vastes chagrins » du monde.→ rend le poème plus puissant. -Nb Important de poème de B exprimant cette souffrance terrestre dont il ne peut s’extraire. B a hérité de la souffrance des Romantiques