Travail Malédiction

fonction du poète ? I) Le poète voit : I°) lien entre la divinité et le poète  Chp lexical du religieux + (v 1)= volonté divine  Intermédiaire Dieu/homme  Capacité du poète à appartenir à deux mondes (v 14)  Chp lexical de la malédiction par rapport au ordre  (v 11/12) // ac fig biblique de St JB ki prépare la venu II°) rôle du prophète  discours oratoire = prévision  chp lex du prophète + vbes de perception et vision  jeu sur la temporalité : poète dans le pst et le futur

contre Hippolyte. Scène 2 : Thésée maudit et bannit son fils, en demandant à Neptune de le punir. Hippolyte tente alors de se défendre et avoue son amour pour Aricie, mais Thésée refuse de le croire. Scène 3 : Thésée, outragé, réitère sa malédiction et implore à nouveau la vengeance de Neptune. Scène 4 : Phèdre, alertée par la colère de Thésée, s’apprête à avouer la vérité, mais son mari lui apprend l’amour d’Hippolyte pour Aricie. Scène 5 : Folle de jalousie, Phèdre se tait et laisse

sobriété, art de l’impression, la musicalité. A travers les vocations discrètes du malheur de l'amour perdu : « La chanson grise » et le seul remède à la violence irrationnel des émotions et des souvenirs. Seul espoir pour Verlaine de faire échec à la malédiction saturnienne qu'il sent peser sur lui. 2) Quel est le rôle de la femme ? Dans cet opus l’image de la femme est moins présente, elle transperce à travers la description de certains paysages ainsi dans « Soleils Couchants » on peut diviser l’image

La Malédiction paternelle Le Fils ingrat 1777 |  |[pic] |Le Fils ingrat est le | | |Jean-Baptiste Greuze, Le Fils ingrat, 1777 - © [Louvre.edu] - 1999 |premier élément du | | | |diptyque : La malédiction | | |

emporter par Neptune. Phèdre, de son côté, a un lien avec la déesse Vénus, mais contrairement à Thésée, elle n’est pas la protégée de la divinité mais plutôt la victime de sa malédiction. En effet, la lignée du Soleil est maudite par la déesse Vénus après qu’elle se vit piégée par l’aïeul de Phèdre. Elle lance donc une malédiction sur le Soleil et ses descendants qui connaîtront de la malchance en amour. Phèdre étant la petite-fille de ce dernier subit donc la haine de la déesse. Phèdre est consciente

ennemi. Cela lui fit esquisser un léger sourire. Mais quelque chose le dérangeait. Un messager des dieux le surprit dans son sommeil la veille et lui prédit un oracle. Arès, dieu de la guerre, protecteur de Carhartt, lança sur Adrian une lourde malédiction : il sera tué par le Borgore, une créature divine redoutée de tous. Mais il essaya de ne pas penser au sort qui l'attendait, et préféra profiter de son instant de gloire. Dix longues années étaient passées sans que l'oracle se soit produit. La

France qui se vide de ses ressources : perte du lait. La mère qui va mourir ne l’est pas à la fin de l'extrait car c'est elle qui parle. Elle maudit finalement ses enfants. Le fait de parler de cette idée de la mort est une prosopopée. C'est une malédiction qui porte sur Esaü et Jacob. D'Aubigné a changé le jugement car Jacob n'est pas coupable, initialement, de cette guerre. II - Violence Le texte est d'un réalisme très criant. Il y a quelques détails abstraits : "il brise le partage…l'usage"

que Œdipe se croit égal aux Dieux et qu’il est un personnage vaniteux . En effet , il représente les Dieux «  Mais pour que cette prière soit exaucée c’est moi qui parlerai. » (L 216 , 217) , et ce met sur le même rang que eux : il juge , « Les malédiction que je viens de lancer» (L 250) , décide, « voila comment j‘entend servir la cause du dieu, et celle de la victime » (L 245) , proclame , «  c’est donc à vous tous , Thébains , que j’adresse la proclamation » (L 224) . Œdipe parle a la première

génération. Mr Coste a perdu son épouse et ses deux fils dans des circonstances tragiques, il a donc peur pour ses filles et cherche des maris « auxquels rien n'arrive jamais ». Elles se marient avec deux frères de la famille de M..... Néanmoins la malédiction de la famille continue à tuer les membre de cette famille, jusqu'à ce que ne survive qu'une seule descendante, Julie. Jolie et pleine de charité, qui elle est victime de moqueries à cause de la réputation de sa famille, dès son enfance. Elle en

son cœur. Au vers 688, l'opposition entre « tu me haïssais plus » et « je ne t'aimais pas moins » signifie que plus Hippolyte déteste Phèdre, plus cette dernière l'aime. Cela explique t-il la relation entre amour et haine ? Toujours est-il que la malédiction se confirme. Le fait est vérifié par le vers 689 où les « malheurs » d'Hippolyte lui « prêtaient encor[e] de nouveaux charmes », et Phèdre cherche encore une justification à l'amplification de son amour. Pour Phèdre, la passion s'apparente à une