Travail Plaisir Souffrance

COMPOSITION – EXERCICE 1Sujet : Le travail peut-il rendre heureux ?« Le baromètre national du bonheur au travail », voici une étude publiée en 2017 par la Fabrique Spinoza et l’Institut Think , exposant ainsi le lien qu’uni travail et bonheur. Ce n’est par ailleurs, ni la première fois que ces deux liens sont associés ensemble, et certainement, ni la dernière. En effet, chaque année, de nombreux articles et de nombreuses études voient

place à l’ataraxie de l’âme. Le plaisir permet de chasser la douleur, mais le plaisir n’est pas nécessaire lorsque la douleur est absente, c’est pourquoi « le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse ». Le plaisir est présenté comme « le bien primitif et conforme à notre nature », il est à la source de nos choix ainsi que de nos rejets. Nous n’aspirons pas à tout, la conséquence étant que nous laissons filer de nombreux plaisirs. Et cependant « tout plaisir n’est pas à rechercher » comme

construire ? 1/ L’approche rationnelle du désir et sa critique Cf. Platon : le désir est lié au manque (le Banquet) et ne peut être assouvi (le tonneau des Danaïdes du Gorgias). Il vient de et conduit à la souffrance. Cf. Schopenhauer : vivre c’est souffrir et le désir est la cause principale de souffrance dans l’existence. Il faut y renoncer pour atteindre un état d’extinction du désir (Nirvana). Cf. Les sagesses orientales et les formes d’ascétisme Cf. La critique chrétienne de la concupiscence et

Le côté thérapeutique de l'art a été très popularisé et élargi grâce au travail de Freud. Ce dernier explique que l'artiste doit son activité créatrice à des mécanismes qui s'apparentent à ceux de la production des rêves. La création est une transposition des passions sur un plan supérieur, une sublimation. Pour Freud, la création artistique est une façon de rester enfant,: on ne sort pas de l'enfance, devenir adulte, c'est choisir un moyen de rester enfant. L'art nous permet d'échapper à la

disant que les sources de a souffrance viennent de notre corps, du monde extérieur et de nos relations avec les autres hommes. Dans la recherche du bonheur, Freud nous parle de procédé tel que s’éloigner de la société, « s’isoler volontairement, se tenir à distance des autres c’est là la protection la plus immédiate contre la souffrance ». Il faut fuir le monde extérieur. D’autres méthodes telles que le yoga, comme on l’enseigne en orient permettent d’éviter la souffrance, avec cette exemple on peut

scarla miguez LUXE ET PLAISIR Nous avons tous une notion commune de ce qu’est le luxe, sans réellement pouvoir le définir. D’abord, on pense principalement à l’industrie de luxe : la haute couture, la mode, les parfums, l’art. Ensuite nous pensons au faste, à l’abondance, l’excès même, la débauche et la luxure. Tous ces mots se réfèrent à la consommation excessive de biens non nécessaires, de plaisirs matériels infinis, à la jouissance permanente. Cependant, on parle aussi de « s’offrir le

et le monde extérieur comme source de sensations affluant vers lui. À l’origine le moi contient tout, ultérieurement il se sépare de lui un monde extérieur par les fréquentes et inévitables sensations de douleur et de déplaisir que le principe de plaisir commande de supprimer et d’éviter. Pouvons-nous supposer l’hypothèse d’une survivance de l’originel à côté de l’ultérieur qui est né de lui ? Dans la vie de l’âme ce qui fut une fois formé ne peut disparaître. Exemple du développement de

de philosophie *** Le travail est le sens que prend notre commerce avec la nature. Il est évident que ce travail est une nécessité pour de multiples raisons, la première étant l’argent qui va servir à satisfaire nos besoins. Pourtant, le penchant naturel de l‘homme est la paresse, il est donc évident que ce travail qui demande un effort, une peine, est considéré par le sens commun comme une contrainte. Alors travailler moins, serait-ce mieux vivre ? Par travailler moins, on entend la durée,

nous trouvions très vite un nouvel objet de convoitise que l'on s'imaginait volontiers être une source de satisfaction autrement dit de plaisir. Puisque nous trouvons toujours un nouvel objet de désir, nous pouvons nous demander s'il est possible de combler ses désirs. Et une fois satisfaits nous rendent-ils heureux? En effet nous ressentons un certain plaisir suite à l’atteinte de notre but, cependant nous ne ressentons pas ce bonheur perpétuellement, il est éphémère. De plus il arrive que ce

une tendance consciente vers un objet jugé ou imaginé bon, c'est-à-dire source possible de satisfaction ou de plaisir. Si le désir s'achemine vers la satisfaction que l’Homme ne ressent pas encore, est-il principalement une force positive, ou est-ce qu’il représente une insatisfaction? Le désir est vécu comme manque. Sa satisfaction engendre le plaisir. Il est ainsi, en lui-même, une souffrance, celle d’une tension vitale, d’un tourment, d’une agitation, qui ne s’achève que provisoirement. Car le désir