Travestissement

XIV. Et surtout, ce choix d’interprétation n’est plus réservé à l’espace liminaire de l’épître dédicatoire souvent adressée au monarque. Il a des conséquences directes en matière textuelle. Quelle est alors la frontière entre l’allégorèse et le travestissement entendu comme actualisation ? 7 Isolons tout d’abord, en guise de contrepoint, le poème intitulé Imitation du Pseaume Quare fremuerunt (1690)[8]  « Imitation du Pseaume Quare fremuerunt gentes […] »,...[8]. S’agissant du texte de départ, il

déguisent en leur mari et prennent leur place à l'assemblée afin d'usurper le pouvoir à Athènes. Gaillardine répète son discours devant ses camarades dans le but de remettre le pouvoir aux femmes. I_ Une farce où triomphe le gros comique. 1) Le travestissement. Femmes se déguisent en homme = Stratagème pour convaincre les hommes de remettre le pouvoir de l'assemblée du peuple aux femmes. Ruse, fourberie, habilité à tromper et manipuler. Confusion sur scène car

l’Europe occidentale a peur du communisme. Il faut donc que l’URSS montre une image rassurante de son pays. | Conclusion | Les personnages sont présentés comme des héros mais cette alliance symbolique illustre ce qu’a été le stalinisme : un travestissement de la réalité. |

femmes où à cette époque elles étaient interdites sur scène. Les comédiens s’inspirent d’un sujet dramatique emprunté à une comédie celle-ci possèdent différents formes dramaturgiques telles que des quiproquos, un goût pour le déguisement, les travestissements de femmes en hommes et les scènes de reconnaissance à la fin de la pièce où les pauvres deviennent les riches.

effusion fraternelle, tutoiement, interrogations (intérêt mutuel). Octave est le confident de Ceolio + auxiliaire. On observe un dévouement profond d’octave qui va de paire avec le besoin de Ceolio. 2) Un désespoir commun Goût pour le travestissement. On observe un même décalage et une même inadaptation au monde. Questions/Réponses ironiques d’Octave, contraire à toute valeurs aristocrates ou bourgeoise. Ceolio obnubilé seulement par une seule figure féminine. 3) Une même aspiration

dans le roman burlesque (roman amusant), il débute en 1720 au «Théâtre-Italien» et au «Théâtre-Français». Son théâtre emprunte ses conventions à la Commedia dell'Arte : il crée des types sur lesquels il peut broder des variations, se sert du travestissement, privilégie l'amour comme ressort de la comédie. Il rédige également des parodies et des journaux, mais il est ruiné par la banqueroute de Law (en Février 1720) et il se consacre alors majoritairement au théâtre; où il renouvelle la comédie en

étant en fermentation dans notre inconscient. Déjà Socrate (La République livre 9) définissait le rêve comme un lieu où les désirs honteux, réprimés le jour, se "trémoussent" pour assouvir leurs penchants. Plus tard, Freud y rajoutera l'idée du travestissement. Le rêve serait une sorte de « soupape de sécurité » permettant à l'Inconscient de s'exprimer sans perturber l'équilibre psychique de l'individu. Selon Freud, « l'interprétation du rêve est la voie royale qui mène à l'inconscient ». Ainsi

avoir voulu démontrer l'existence de Dieu ; quand Don Juan le giffle parce qu'il s'est interposé entre Pierrot et lui ; quand Don Juan veut lui faire retirer son assiette alors qu'il mange ... //Comique de caractère// Comique de situation : le travestissement (acte II, scène 5) Et il y a des personnages de comédie comme Sganarelle, le bouffon, Don Juan, la caricature du libertin et les villageois parlant une sorte de patois. Elle est tragique car le héros est pris au piège par son destin : tout

roi Lion souhaite détenir l'éternelle jouvence et convoque descharlatans pour parvenir à cela ; la seconde, deux courtisans le Loup et le Renard, rivalisent de cruauté pour s'éliminer mutuellement et s'attirer les faveurs du roi. A travers le travestissement animal etle registre burlesque, La Fontaine fait la satire de l'absolutisme royal et des courtisans. I - Une parodie de conte : un roi crédule, une cour de charlatans et de bonimenteurs 1) Le caprice dumonarque : la quête impossible de l'éternelle

cette identification, la pièce pourra d’autant plus m’ébranler en ce qu’elle me représente « tel que je ne saurais - ou n’oserais- me voir ou me rêver (…) ». La représentation théâtrale aurait donc une fonction révélatrice et ce notamment par le travestissement des comédiens qui endossent « des gestes et des accoutrements ». Genet emploi de plus, le terme de « conte », qui, associé au verbe « rêver » souligne l’importance pour le théâtre de ne pas être une transposition du réel mais une autre réalité