Travestissement

Lion souhaite détenir l'éternelle jouvence et convoque des charlatans pour parvenir à cela ; la seconde, deux courtisans le Loup et le Renard, rivalisent de cruauté pour s'éliminer mutuellement et s'attirer les faveurs du roi.  A travers le travestissement animal et le registre burlesque, La Fontaine fait la satire de l'absolutisme royal et des courtisans.  Jean de la Fontaine a écrit 243 Fables, ce sont des récits incontournables de la langue française.

parce qu'à de nombreuses reprises dans l'oeuvre le Comte Almaviva se déguise pour tromper Bartholo, et même Rosine. Pour le déguisement, c'est ce que j'entendais! Il fait partie des "astuces" de comédie et surtout de la comedia dell'arte. Le travestissement permet les quiproquos et les rebondissements de l'intrigue. Le ton est donné dès le début de la pièce : jeu sur l'apparence/réelle personnalité; intrigues; rebondissements; quiproquos.... Le thème du déguisement indique aussi de nombreux jeux

l'époque et les moyens financiers dont disposent une troupe, celle-ci contient entre dix et vingt acteurs. Les comédiens incarnent des personnages représentatifs de quelques caractères fondamentaux comme l'ingéniosité, la naîveté, la ruse et le travestissement qui sont présents dans chaque canevas ( un capitain, deux valet, une ou deux servants). Chaque caractère dispose d'un costume et de masque où les couleurs varient entre le brun, le noir ainsi que le bourge. Ils sont souvent expressifs et ils dégagent

les artistes sont censés présenter aux spectateurs des spectacles conformes aux attentes des spectateurs. ▪ une cause matérielle: la matière sur laquelle l’homme agit. La matière ici peut varier entre corps et voix et entre danse, chant, travestissement… autrement dit ce sont les moyens auxquels l’artiste recours afin de performer sa mission. ▪ une cause efficiente: la maîtrise technique et l’effort fourni par l’artiste pour transformer la matière et la rendre conforme à l’idée initiale

faisant rire. Molière utilise pour cela tous les ressorts du comique. Par exemple, dans la scène 10 de l’acte III, lorsque Toinette se fait passer auprès du naïf Argan pour un médecin, le comique de situation domine, renforcé par la drôlerie du travestissement de Toinette, ce que souligne la mise en scène de Colette Roumanoff. Le rire peut aussi être provoqué par les mots, comme les insultes proférées par Argan à l’encontre de sa servante (I,5) : « Carogne ! » ou par des répétitions comme avec le fameux « 

le mauvais riche de Bossuet cf. textes de Pascal ou de La Bruyère sur la vanité des grands cf. La Fontaine lui-même, évoquant une certaine critique de la société sous le masque des animaux cf. les Lettres Persanes de Montesquieu : travestissement oriental qui permet la critique. . 1. Un homme vit une couleuvre. Après la pièce précédente , si confuse et si embrouillée, voici une fable remarquable par l'unité, la simplicité et l'évidence de son résultat. A la vérité, il n'est pas de

scène: il va être donné, mais cette fois-ci avec un public unanime. Les comédiens vont devenir bons spectateurs de ballets. Ils vont se fondre avec les spectateurs et ça se termine avec le ballet des provinces. Étape suivante du mensonge: double travestissement avec le costume et le faux Turc. Ça fait rire le public en entendant une fausse langue. La traduction du Turc c'est oriental. Le rire est aussi empathique, il rit de ce qu'il vient de se passer. Le noble est dans la même position que le spectateur

Intro : Cet extrait est issu de l’acte 1 scène 1 de la comédie « Les jeux de l’Amour et du hasard » de Marivaux écrite en 1730. Marivaux utilise la technique du marivaudage à travers un jeu de travestissement qui oppose mariage, amour, et condition sociale pour dépeindre la société du 18èmes siècle. Cette scène est une scène d’exposition, nous verrons en quoi elle est originale. Nous verrons cela a travers une discussion animé par des conflits de 2 personnalités qui expose la scène. I. Une discussion

mystérieux « portant un masque » (ex : Dom Juan avec une duplicité acharnée.). On a donc une récurrence de thèmes comme l’inconstance, l’illusion (pièce de théâtre L'Illusion comique de Corneille), les figures minérales, la métamorphose, le travestissement ou le déguisement (comme dans L'Astrée), le rêve, le songe (La vie est un songe de Calderòn de La Barca), le sommeil, le miroir, le double, le corps humain, la vanité des choses (« Vanité des vanités, tout n’est que vanité »). Une place primordiale

le rôle que joue désormais l'image dans notre vie quotidienne. Est-elle une information objective ? Un reflet fidèle ? Donc un moyen nécessaire pour que nous continuions d'être des citoyens conscients et libres ? Ou est-elle, au contraire, un travestissement, un traficotage d'émotions qui fait de nous des marionnettes aux mains de ses producteurs ? Et si nous renversions les perspectives d’analyse en n’examinant non pas l'image en tant que telle, mais le «VOIR», l'acte du regard qui, à la fois, rassemble