Trézène

est prisonnière d'une livrée de valet et d'un maître attaché à perdre la réputation de la reine en lui donnant « son laquais pour amant ». Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte

précautions » vers 301 →désarroi sur lequel appuie la diérèse→ elle ne peut pas y échapper : une force supérieure s’acharne sur elle.  Ajoute « cruelle destinée » →2 exclamatives → très touchée par ce qu’elle vit.  « Par mon époux lui-même à Trézène amené, j’ai revu l’ennemi que j’avais éloigné » → rechute  Comme elle le dit à la fin de l’extrait, vers 305 et 306, je cite : « Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachées, c’est Vénus toute entière à sa proie attachée » : → Phèdre = jouet

Hippolyte tentent d’échapper à cette passion ? * Phèdre cherche à apaiser Vénus (la déesse de l’amour) en lui offrant de nombreux sacrifices, elle recourt ensuite à des moyens plus humains, elle décide d’éviter Hippolyte en obtenant son exil à Trézène Malgré toutes ces tentations Hippolyte et Phèdre sont réunis * Hippolyte essai d’éviter Aricie en partant au plus loin, cherchant la solitude afin d’éviter Aricie, pour l’oublier. II Une passion destructrice a- La déchéance

respirais, Œnone. Et depuis son absence, Mes jours moins agités coulaient dans l’innocence ; Soumise à mon époux, et cachant mes ennuis, De son fatal hymen je cultivais les fruits. Vaines précautions ! Cruelle destinée ! Par mon époux lui-même à Trézène amenée, J’ai revu l’Ennemi que j’avais éloigné : Ma blessure trop vive aussitôt a saigné. Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée : C’est Vénus toute4 entière à sa proie attachée.

fils, en pensant que son mari, le roi d’Athènes, Thésée est mort. Hippolyte est amoureux d’Aricie, c’est un amour interdit à la vue de son père, car Aricie est issue d’une famille ennemie. Emporté par cet amour les deux décident de fuir, loin de Trézène. Cette fuite pressante cause la mort d’Hippolyte. Malgré sa mort soudaine, elle est aussi tragique. (La mort d’Hippolyte est tragique.) En premier lieu, la mort d’Hippolyte est tragique, car c’est un événement terrible (atroce). À cet effet

de l’ascendance, dont nous venons de parler, peut être lue comme un détour de soi, et une impossibilité de s’assumer. La pièce s’ouvre sur une sortie, et même une double sortie de ceux qui vont constituer le nœud du drame : Hippolyte veut quitter Trézène pour retrouver son père, et Phèdre s’exiler de la vie. Cette démarche d’évitement est inscrite en creux dans tout le passage dont il donne la clé. 1) La parole soufflée D’un point de vue dramatique, puisque c'est à une pièce de théâtre que

Résumé – Compte-rendu de lecture - Structure Phèdre est une pièce en 5 actes qui comporte au total 30 scènes et 1654 vers en alexandrins. 
 I : Les deux aveux.
 Hippolyte annonce à Théramène, son confident, sa volonté de fuir le palais de Trézène à cause de deux femmes. Il veut s'éloigner de Phèdre, sa belle-mère qui lui donne l'impression d'être détesté et d'Aricie, la femme qu'il aime d'un amour impossible étant donné qu'elle est la sœur des pallantides, ennemis jurés de Thésée, son père

du roi Minos, Phédre, elle est donc le personnage principal de cette pièce, d'où le titre. L'histoire se déroule en Créte, à Cnossos. Le thème géneral de l'extrait étudié est le combat entre Hippolyte et un monstre terrifiant, cela ce passe à Trézenes. Cet extrait écrit dans le registre épique vante les mérites du héros Hippolyte. Pour rédiger ce commentaire une question se pose, comment est composé le registre épique et comment est-il inséré dans le texte? Les divers procédés visant à relever

Acte1 / Scène 1 : 1) Thésée entreprit de débarrasser des bandits et des bêtes monstrueuses qui infestaient la route côtière menant de Trézène à Athènes. Il ne cherchait pas d’histoire, mais se vengeait de tous ceux qui osaient s'attaquer à lui. Le châtiment qu'il leur infligeait était à la mesure leur crime. Thésée avait plutôt recours à l'adresse qu'à la force, il codifia l'art de la lutte, dont les principes n'avaient jusqu'alors pas été très bien stables. A Crommyon, il chassa et tua une féroce

percée d'un coup de flèche par Molpadie, qui fut elle­même tuée par Thésée, et on  montre aussi son tombeau à Athènes.​ ” ​ Pausanias, Livre I Attique, Chapitre II    Plusieurs versions nous racontent l’histoire d’Antiope. Elle aurait, selon​  Hègias de  Trézène ​ combattu son propre peuple et remit sa ville dans les mains d’Héracles, par  amour pour Thésée. Un combat aurait donc éclaté et Antiope aurait été accusée de  trahison.   Mais selon les Athéniens, ce seraient les Amazones qui seraient venues attaquer