Tribune de Genève

HR/PUB/02/4 Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme HCDH Abolir l’esclavage et ses formes contemporaines David Weissbrodt et la Société anti-esclavagiste internationale* Nations Unies New York et Genève 2002 * Directeur : Michael Dottridge NOTE Les appellations employées dans la présente publication et la présentation des données qui y figurent n’impliquent de la part du Secrétariat de l’Organisation des Nations Unies aucune prise de position quant au statut

sont soucieux d'adhérer à l'UNESCO dans l'optique d'obtenir une aide, il en est tout autrement des Etats-Unis, pour qui l'intérêt est manifestement économique. Aux yeux de l'hégémon, l'UNESCO s'est surtout résumée à une arène politique, véritable tribune permettant la légitimation de ses desseins, à savoir : la maximisation de sa puissance par le biais de l'éducation. Cette volonté impérialiste des Etats-Unis, le président Truman l’annonçait déjà dans un discours tenu au Congrès américain, en 1946

«réussite électorale», la composition du premier «gouvernement du changement» a fait l’objet d’un intérêt sans pareil. Le nouveau président, avant même d’avoir prêté serment, est sous la pression de la rue. Sur les plateaux des télévisions, dans les tribunes libres et les revues de presse à succès balancées sur les ondes des radios de Cotonou, la capitale économique, il n’y a de sujet que la formation de ce fameux gouvernement. Pour une première fois, le profil des postulants au poste convoité de ministre

religieuse, l’Etat est séparé de toutes les confessions mais une religion civile existe, les discours sont des sermons. De plus, le président prête serment sur la Bible et sur le dollar. Les Etats-Unis se pensent comme une nation « under God ». Genève est une cité calviniste. En Allemagne, l’unité de 1870 grâce à la défaite française est traduite par un combat religieux. L’Allemagne est composée d’une multitude de petits Etats de confession différente. C’est un véritable combat culturel pour

relaxe d’un cambrioleur en correctionnelle : « Aux cambrioleurs des temps modernes, on oppose la loi romaine » au sujet d’une application de la règle de procédure testis unus testis nullus. Finalement, Saint-Just avait eu raison en s’écriant à la tribune de convention dans le fameux discours où il demandait la mise en accusation de Danton que « le monde est vide depuis les Romains et leur mémoire le remplit et prophétise encore la liberté ». Mais au delà des institutions, nous sommes redevables

barbarie comme le prédisent avec un ravissement à peine dissimulé les plus conservateurs, nous tenons que les croyants ont un rôle décisif à y jouer, non dans la marge, mais au centre même. Si certains pensent comme Monnier, 2008 (Chroniques de la Tribune de Genève) que le monde vit aujourd'hui une phase historique de transition et que son salut, plutôt que de passer par la réforme lourde de ce qui existe depuis longtemps, pourrait donc bien être le fait d'accidents provoqués par des pensées incongrues

aux droits de l’homme et de prendre des sanctions contre les personnes responsables dérive du droit international des traités et conventions, telle que la Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide ou les Conventions de Genève, et du droit international coutumier. De plus, tous les Etats qui ont ratifié le Statut de Rome (voir section 2.4 sur la Cour Pénale Internationale [CPI] ci-dessous) doivent incorporer dans leur droit interne les crimes pour lesquels la CPI a compétence

nouveau, propre à préciser à l'origine, le symbole, le pouvoir spirituel de l'évêque. Et ce fut cathedra, le trône épiscopal, qui était placé dans les églises primitive au fond de l'abside, dans l'axe de l'édifice; l'autel s'élevait en avant de la tribune de façon que l'évêque se trouvant ainsi derrière l'autel, isolé, pût. voir l'officiant en face . En même temps, il pouvait voir l'assemblée des fidèles, et ceux-ci voyaient leur évêque, ce qui explique cette évolution sémantique.. En outre, ecclesia

du malade. Mais si l'on revient au texte d'Hugo, on note significativement que la phrase qui précède cette description n'a pas été citée parce qu'elle ne convenait pas à l'historien : "On vit alors entré dans la salle et monté rapidement à la tribune, un homme jeune encore, vêtu du noir, ayant sur l'habit la plaque et le grand cordon de la légion d'honneur". L'auteur indique également qu'il (Hugo) fait feu de tout bois, trois opuscules successifs en une année : Histoire d'un crime, récit à charge

(Jean) (sous la dir. de ETINNE Jean), La culture, France, édition Bréal (coll. thèmes et débats Sociologie), 2005, 128p. DUCRET (André) (sous la dir. de PEQUIGNOT Bruno)et MOESCHLER (Olivier), Nouveaux regards sur les pratiques culturelles, Genève, Université de Genève, (coll. "Logiques sociales"), 2012,247 p. HOLLINGSWOTH (Mary) (trad. Denis-Armand CANAL et Olivier PLANCHON), L'Homme et l'art Une histoire de l'art, Paris, édition Gründ, 2004, 477p. KRAUSSE (Anna-Carola), Histoire de la peinture de