Triptyque Grosse Ville Otto Dix

alliance et a la triple entente. Elle a engendrais de nombreux traumatisme, physique mais aussi mentaux. B, Otto dix : (1881-1969) Origine : Allemand. Etude a Dresde, école d’art appliqué de 1909 à 1914. Engagé volontaire pendant 1er guerre mondiale, il se bats au cote des allemand en France, dans les tranches de l’Artois et champagne Ardenne ( novembre 15 a décembre 16) participe a grosse bataille bords de somme. L’horreur vécu le marque a jamais et devient la base des ces œuvres, il défend l’antimilitarisme

La Guerre d'Otto Dix Otto Dix, La Guerre, 1929-1932, Triptyque avec prédelle, huile sur panneau de bois, dimensions de l'ensemble : 270 x 430 cm. Introduction : La Guerre est une oeuvre d'Otto DIX, peintre allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette oeuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille

que mon père l’avait obtenue. […] Mon père, après la naissance de mon frère unique, partit pour Constantinople. […] Ma mère […] aimait tendrement son mari ; elle le pressa de revenir ; il quitta tout et revint. Je fus le triste fruit de ce retour. Dix mois après, je naquis infirme et malade ; je coûtai la vie à ma mère, et ma naissance fut le premier de mes malheurs. Jean-Jacques Rousseau, Les Confessions, 1766 C)        Lorsque le grand-père et l’oncle Mickaïl étaient partis en visite, l’oncle

d’Edvard Munch - Moon Landing de Neil Armstrong - Autoportrait collectif de Marc Chagall - Autoportrait de Michel Leiris - Autoportrait professionnel d’Henri Matisse 2ème partie : Les Artistes pendant la guerre au XXème siècle. - La Guerre de Otto Dix - « Couplets de la rue Saint-Martin » de Robert Desnos - Prémonition de la guerre civile de Salvador Dali - La Guerre Sino-japonaise photographié par Robert Capa - La Guerre de Marc Chagall Première

5.Expressionnisme en Allemagne.........................................................................................20 Otto Dix............................................................................................................................20 La nouvelle objectivité 1918-1930..............................................................................21 Otto Dix..........................................................................................................................

meuniers qui moue le grain avec l’aide d’un trémie, chapiteau du XIIe siècle. Mais on constate que l’un des deux meuniers on voit des similitudes avec Saint Paul : calvitie frontale plus ou moins prononcée, barbe droite et en pointe, nez aquilin et gros sourcil. À la verrière de Saint Denis, 1145 (verrière perdue) : « l’une des verrière, nous élevant des choses matérielle aux immatérielle, représente l’apôtre Paul tournant la meule et les prophètes y apportant les sacs ». Poème inscrit sur la verrière :

gigantisme et recherche décorative nouvelle. Mélange de différents styles. I. La renaissance babylonienne en Mésopotamie * Les Jardins suspendus de Babylone, une des sept merveilles du monde, servait à montrer la richesse de la ville. A l’entrée de la ville, des animaux androcéphales à cinq pattes (pour être vus de face et de profil) montent la garde. J. L’Art de l’Empire des Perses achéménides Architecture * Synthèse de différents éléments, comme les palais autour de cours intérieures

risque d’être ensemble au même endroit. Ils faisaient en sorte que l’un ou l’autre n’ait pas ses papiers sur lui». Albert Modiano quitta définitivement le foyer familial au début des années soixante. Et Patrick Modiano a cessé de le voir à l’âge de dix-sept ans. Ils se sont brouillés quand le père a rempli d’office les papiers militaires d’incorporation de son fils qui l’a alors traité de «sergent recruteur». Il a appris, par la suite, que “La place de l’Étoile” l’avait beaucoup choqué. En 1978, à

des œuvres de littérature de jeunesse pour le cycle 3 1. Albums Dis-moi Sorbier – coll. Offrir – 32 p. – 11 € Difficulté de lecture : niveau 2 à 3 Par un jeu de questions-réponses, un enfant pousse sa mère à revenir sur les origines de leur ville, et donc sur leurs propres origines. Par un dialogue que n’interrompt aucun narrateur, le fils obtient de sa mère qu’elle fasse revivre la lointaine ascendance. Au cœur de cette situation ordinaire où les occupations matérielles le disputent aux émotions

l’histoire de ces villes marquées par leur passé que sont Berlin, Jérusalem et Washington. Ces oeuvres abordent la question de la matérialisation de la mémoire et de l'inscription des traumatismes dans la structure de la ville. En même temps, l’anonymat de ces lieux dans la ville nous amène à questionner “le statut des lieux de souvenirs et et la perte progressive de la fonction des mémoriaux”(Paul Ardenne). De leur côté, le travail d’Ali Kazma et de Jean-Michel Pancin capte les traces de l'activité