Trithérapie

l’objectif du plaidoyer (apport théorique et pratique) Schéma : TRANSFORMATION d’un FAIT en UN OBJECTIF de PLAIDOYER [pic] Exemple : Le bureau de l’UNICEF de votre pays vous subventionne pour mettre les femmes enceintes séropositives sous trithérapies dans le cadre de la PTME, mais refuse de faire rentrer le lait maternisé dans le programme. Analyse de la situation au travers du projet associatif : votre association défend les droits et prend en charge des PVVIH depuis 10 ans. Vous avez un

aux antituberculeux (PZA/INH) Arrêt au moins de l’INH et du pyrazinamide pendant 48h au moins de tous les traitements. Reprise des traitements quand les transaminases diminuent Arrêt définitif du Pyrazinamide, Diminution de moitié de l’INH, Trithérapie pendant 3 mois puis bithérapie INH RMP 6 mois (prolongation de 3mois) Surveillance BHC et TP régulières. DOSSIER N°03 Question n° 1 Il s’agit d’un érythème noueux. Dermo-hypodermite inflammatoire des faces d’extension des membres inférieurs

d'une part, les enzymes du VIH nécessaires à sa réplication et, d'autre part, ses mécanismes d'entrée dans la cellule. Grâce à la trithérapie utilisée depuis 1996, la mortalité due au SIDA a chuté, de façon significative, partout où ces nouveaux traitements étaient disponibles[90],[91],[92],[93]. C'est ainsi qu'aux États-Unis, l'utilisation à grande échelle de trithérapies a fait passer le nombre de décès chaque année de 49 000 en 1995 à environ 9 000 en 2001[94]. Ces médicaments peuvent avoir des

| Total | 100.0 | Étude de l’INPES 1994_champs: France En 1194, la pilule est le contraceptif le plus utilisé en France par les Femmes. Le stérilet se place en 2nd position et le préservatif masculin en troisième depuis l’apparition des trithérapies (les gens étaient devenus moins vigilants) 11.1% des femmes interrogées n’ont pas de partenaire, ce qui place cette situation comme principale raison de non utilisation de contraception b)Études 2007 En moyenne: 7 contraceptions

III. TRAITEMENT Aucun traitement ne permet d’éliminer complètement le VIH du corps d’une personne séropositive. Le traitement comporte 2 principaux volets : * Le traitement immédiat appelé trithérapie : c’est un traitement antirétroviral (car le VIH est un rétrovirus). Il consiste à combiner au moins 3 médicaments (antirétroviraux). Ces antirétroviraux ralentissent la progression du VIH en s’attaquant au virus afin de réduire le plus possible

néanmoins des traitements pour ralentir l’évolution de la maladie vers le stade Sida. Ils sont composés d’antiviraux, insuffisamment efficaces pris seuls, mais plutôt efficaces lorsqu’ils sont pris de façon groupée. Lorsqu’ils sont trois, on parle de trithérapie. f- Objectifs Afin que l'École, qui est un relais décisif, contribue le plus efficacement possible à la politique nationale de lutte contre le sida, il est capital de renforcer et pérenniser l'effort d'éducation et de prévention. L'objectif est

faire penser à un risque de contamination et impliquer une consultation médicale. Des tests pourront être réalisés pour rechercher une infection génitale, mais aussi une contamination par le virus de l’hépatite B ou le VIH. Un traitement préventif (trithérapie) peut éventuellement être instauré dans tous les services d’urgences, 24 heures sur 24, à condition d’être entrepris dans les 48 heures après le rapport. Que fait le médecin ? Les IST doivent être dépistées et traitées tôt. Le médecin peut établir

également, on trouve des scientifiques qui, bien qu’étant convaincus par leurs propres théories, s’intéressent à celles qui s’y opposent, trouvant dans cette confrontation d’idées des moyens de développer et d’enrichir leurs connaissances. Les trithérapies que l’on utilise actuellement pour soigner les personnes atteintes du VIH en sont un exemple. Au départ, il s’agissait de trois médicaments distincts proposés par différents laboratoires. Or, devant leur inefficacité, certains se sont demandé ce

non protégé ou rupture de préservatif avec une personne à risque (inconnue séropositive, prostituée, viol) Se rendre dans les 48 h aux urgences de l’hôpital le plus proche Après évaluation des risques, la personne peut être mise sous trithérapie, pendant 1 mois, ce traitement a pour but de stopper l’évolution du virus si il y a eu contact et ainsi de limiter la contamination. La surveillance se fera pendant plusieurs mois. c) Transmission materno-foétale - Pendant la grossesse :

présence de ces anticorps, et indique que la personne a été contaminée ; la séronégativité est le statut sérologique des personnes non infectées. Les traitements actuels se fondent sur l’association de plusieurs antiviraux : le plus courant est la trithérapie (association de trois molécules différentes). Ils permettent de ralentir l’évolution de la maladie, mais non d’éradiquer le virus. La mise au point d’un vaccin s’avère quant à elle très difficile. L’Histoire du Sida En 1983 : En 1983, le virus