Trithérapie

Traitement Il n'existe aucun médicament pour détruire le virus du SIDA après une infection. En France, depuis 1996, les individus séropositifs pour le VIH ont un traitement à base de 3 médicaments appelés antiviraux. Ce traitement (ou trithérapie) empèche la pénétration et multplication/propagation du virus à l'intérieur des lyphocytes. Il prolonge, ainsi, la vie des séropositifs en évitant le développement d'un SIDA déclaré.

vulnérable : homosexuel(le)s, prostitué(e)s, adultes jeunes et célibataires, grands voyageurs. Les autorités sanitaires mettent en avant une utilisation moins systématique ou même l'abandon du préservatif. Le VIH a augmenter avec l'arrivée des trithérapies dans le traitement. Une plus grande liberté sexuelle et une précocité des rapports sexuels, c'est à dire que aujourd'hui il est fréquent que des pré-adolescent (12-13 ans) est de relations sexuels, a cette age la connaissance du danger d'un

CPK | COMBIVIR® est l’association fixe de deux médicaments antirétroviraux (zidovudine + lamivudine) de la même famille, actifs contre le VIH, toujours utilisés en association avec un ou d’autres antirétroviraux. Le Combivir fait parti de la trithérapie de M. X Crixivan : Classe | MoléculeDCI | Famille | Effets Indésirables | Surveillance | Antirétroviral | Indinavir | Inhibiteur de protéase | -Troubles digestifs : nausées, vomissements, inconfort abdominal - Lithiase rénale- Hyperbilirubinémie-

système immunitaire, comme la trithérapie* qui utilise des molécules antirétrovirales. Dans certains cas, le virus résiste, il peut donc devenir insensible à certains traitements grâce à des mutations génétiques. Il existe une molécule appelée CCR5* dont une infime partie de la population dispose et qui permettrait le ralentissement ou même l'absence de l'infection par le VIH. En 1887, le premier composé antirétrovirale est découvert. En 1996, l'arrivé des trithérapies bouleverse l'histoire du virus

hétérosexuels (27 % par rapport homosexuels), et les femmes représentent 38 % des nouvelles infections à VIH diagnostiquées. D'après le Sidaction, 12 % des nouvelles contaminations concernent les jeunes de 15 à 24 ans en 2005. * Grâce à la trithérapie puis à la quadrithérapie, le taux de mortalité due au SIDA a baissé de 75 à 85 % dans les pays développés. • Répartition géographique : plus de 95 % des personnes infectées par le VIH vivent dans les pays en voie de développement, surtout en Afrique

20minutes : « vient soulager les douleurs, nausées et autres vomissements liées soit directement à la maladie soit au traitement utilisé contre celle-ci (chimiothérapie, etc.). Le cannabis a également le don de stimuler l’appétit des séropositifs traités par trithérapie. » En d’autres terme l’usage du cannabis à des fins thérapeutiques représente pour l’instant l’un des meilleurs moyens de permettre aux victimes des maladies les plus graves de ne plus se sentir enfermé dans leur douleur. II. Des conséquences

tumeurs peuvent aussi être associées au SIDA (lymphomes, maladie de Kaposi). 9. Non il n’existe pas de vaccin 10. Il n'y a pas à l'heure actuelle de traitement permettant de guérir du sida, malgré l'existence de traitements comme les trithérapies rétrovirales qui permettent de contenir l'action du virus avec plus ou moins d'efficacité ; on dénombre de nombreux morts chaque jour en particulier dans les pays en développement où ces traitements sont difficilement accessibles en raison de leur

conclusion LE SIDA SYNDROME D'immuno deficience acquise;maladie du systéme immunitaire provoquée par le virus HIV1ouHIV2.EN l'absence de traitement empechant le developpement du virus(bi ou trithérapie),le maladie est quasiment toujours mortelle.il n'éxiste a ce jour pas de traitement de guerir definitivement du sida.

plus rare, il faut cependant éviter le contact avec le sang d'une personne qui a une plaie. · En se soignant A l'heure actuelle il n'y a ni vaccin ni traitement permettant de guérir du sida, mais il existe des traitements comme les trithérapies qui permettent le ralentissement de l'évolution de la maladie. Ces traitements, à prendre chaque jour, à vie, sont contraignants (30 à 35 comprimés par jour), mais ils permettent de vivre plus longtemps et dans de meilleures conditions (passage

propagation de la maladie. En effet, à cette époque, la stigmatisation des malades reste très pesante. On parle encore de la maladie des 4 H pour  hémophile , homosexuel, haïtien,  héroïnomane . En 1996, la trithérapie, un traitement antirétroviral, est introduite en France. Ce traitement a permis de réduire considérablement le nombre de décès liés au SIDA. Au cours des années 1990, le SIDA est devenu une préoccupation majeure pour les autorités sanitaires et