Trois petites filles

joyeux parce qu'il était libre. Quand ces pauvres êtres sont hommes, presque toujours la meule de l'ordre social les rencontre et les broie, mais tant qu'ils sont enfants, ils échappent, étant petits. Le moindre trou les sauve. Pourtant, si abandonné que fût cet enfant, il arrivait parfois, tous les deux ou trois mois, qu'il disait : « Tiens, je vas voir maman ! » Alors il quittait le boulevard, le Cirque, la Porte Saint-Martin, descendait aux quais, passait les ponts, gagnait les faubourgs, atteignait

Le petit poucet par Charles Perrault   Il était une fois un bûcheron et une bûcheronne qui avaient sept enfants, tous des garçons. L'aîné n'avait que dix ans et le plus jeune n'en avait que sept. On s'étonnera que le bûcheron ait eu tant d'enfants en si peu de temps; mais c'est que sa femme allait vite en besogne, et n'en faisait pas moins de deux à la fois. Ils étaient très pauvres, et leurs sept enfants les incommodaient beaucoup, parce qu'aucun d'eux ne pouvait encore gagner sa vie. Ce qui

L'apparition de la poupée Barbie, en 1959, peu après Lolita (1955), semble avoir marqué une rupture, un changement dans les pratiques sociales liées à l'enfance et dans la socialisation des petites filles, car elle substitue une poupée femme à une poupée enfant. Ce phénomène était-il vraiment nouveau ? N'y avait-il pas des poupées « mannequins » aux XIXe et XXe siècles ?1 Bleuette, en France, au début du siècle, et bien d'autres, dès le XIVe siècle. Ainsi la poupée Barbie suggérerait seulement

genre « Il est vif, elle est mignonne. Cela commence dès le berceau... et ne s'arrête plus. Aux garçons le bleu, les pirates, les combats, le charmant désordre. Aux filles, le rose, les loisirs d'intérieur et les cahiers bien tenus[...] » → Cet extrait de présentation de l’œuvre de Christian Baudelot « Quoi de neuf chez les filles ? » marque une socialisation différenciée. En deux phrases, de nombreux stéréotypes sont révélés : la beauté attendue de la fille, et le rose, face à la vivacité, le

pensionnaires sur Goriot * La relation entre Eugène et Goriot * La relation de Goriot avec ses filles * Conclusion * Commentaire de texte 11 Biographie de Balzac Honoré de Balzac, écrivain français né en 1799 à Tours, a vécu durant l’époque romantique. Son père, Bernard-François, et sa mère, Laure Sallambier, ont eu encore 3 enfants, après Honoré, deux filles et un garçon. Ce petit dernier, le préféré de la mère, reçut tout son amour, contrairement à Honoré qui sera affecté par

les relations intrafamiliales sont marquées par cette dualité amour absolu/haine. La narratrice elle-même nourrit à la fois un amour désespéré pour sa mère et une haine profonde. Elle a aussi un amour absolu, qui tend même vers l’inceste, pour son petit frère et une haine (qui n’est pas non plus sans amour) pour son frère aîné. La mère aussi a des sentiments très forts pour ses enfants. Elle a d’abord et avant tout cet amour absolu et inconditionnel pour le frère aîné, malgré tous ses défauts. Cette

des personnages récurrents, comme dit précédemment. 2 Référence complète de l’édition utilisée L’édition choisie compte 336 pages qui comprennent le roman en lui-même et un petit dossier complémentaire qui offre des pistes de réflexion. Elle a été publiée aux Editions Larousse 2007, collection « Petits Classiques Larousse ». 3 Identité de l’auteur et brève biographie L’auteur est bien entendu Honoré de Balzac, écrivain français. On peut aussi lui attribuer les activités de

siècle par Elsie Wright et Frances Griffiths à cette époque, Elsie est agée de 16 ans et Frances de 10 ans ; ce sont deux cousines vivant à Cottingley près de Bradford dans la région du Yorkshire anglais. Ces photographies montrent les deux jeunes filles en compagnie de fées et d’autres créatures féériques. Ces photos attirent l’attention du célèbre écrivain écossais Sir Arthur Conan Doyle qui s’en ai servi pour illustrer des articles sur ce sujet ainsi qu’un livre, The coming of fairies. Conan Doyle

voit des filles noires joué au football amériacains,on voit qu’elles sont heureuse de partager ce moments avec leurs amies, les adversaires et les filles ne forment qu’une seule équipe (sans jalousie)dans cette scénes les filles sont vues comme des guérrières on voit qu’elles ont confiances en elle , elle peuvent se defoulés se vider la tete. La femme ici est perçu comme une lionne, Au niveau du sons on entend des paroles innaudibles et des cris de joie,des rires.Après l’entrainement les filles rentrent

pas des noceurs, mais des hommes honorables, des commerçants, des jeunes gens de la ville ; et l'on prenait sa chartreuse en lutinant quelque peu les filles, ou bien on causait sérieusement avec Madame, que tout le monde respectait. Puis on rentrait se coucher avant minuit. Les jeunes gens quelquefois restaient. La maison était familiale, toute petite, peinte en jaune, à l'encoignure d'une rue derrière l'église Saint-Étienne ; et, par les fenêtres, on apercevait le bassin plein de navires qu'on déchargeait